Blog Notes de Golf Canada

Un gros merci à nos membres

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(Chuck Russell/ Golf Canada)

Je profite de la fin de la saison de golf 2016 pour vous remercier de soutenir le golf par le truchement de votre adhésion à Golf Canada et à votre association de golf provinciale.

Les cotisations que vous avez versées en 2016 sont réinvesties dans le golf :

  • Golf en milieu scolaire est présent dans 3 108 écoles canadiennes;
  • Premiers élans a accueilli 85 000 golfeurs juniors dans 536 établissements participants;
  • 145 événements Vert la guérison, d’un bout à l’autre du Canada, ont collecté 354 000 $ pour la recherche sur le cancer du sein;
  • Présentation de compétitions nationales, provinciales et régionales;
  • Évaluation de parcours et indice Slope; séminaires sur les règles et le handicap; formation et certification des entraîneurs;
  • Préservation de l’histoire du golf grâce au Musée et Temple de la renommée du golf canadien.

 

Il est réjouissant d’avoir vu de si nombreux membres s’impliquer dans le golf cette saison :

  • Près de 310 000 golfeurs de tout le pays possèdent leur carte de membre;
  • Les membres de Golf Canada ont inscrit plus de 7 millions de scores après leurs parties aux clubs membres;
  • Le golfeur membre typique a joué environ 20 parties cette saison;
  • 35 millions de visites sur les pages du site Web de Golf Canada, ce qui en fait la source no 1 d’information pour les nouvelles de golf.

Les athlètes d’Équipe Canada ont continué de s’illustrer sur la scène internationale. Exemples : Jared du Toit offre une performance étincelante lors de l’Omnium canadien RBC; Hugo Bernard est couronné champion amateur du Canada pour la première fois; Mackenzie Hughes connaît une saison exceptionnelle avec des victoires sur le Circuit Web.com et le PGA TOUR; Brooke Henderson devient la première Canadienne à gagner un championnat majeur depuis Sandra Post en remportant le Championnat de la LPGA KPMG; Brooke Henderson, Alena Sharp, David Hearn et Graham DeLaet représentent fièrement le Canada à Rio de Janeiro où le golf revient dans le giron olympique après une absence de 112 ans.

Golf Canada et les associations de golf provinciales investissent dans la santé générale du golf, ce qui ne serait pas possible sans la contribution des membres. Les initiatives dues aux cotisations visent à créer une nouvelle génération de golfeurs et de passionnés de golf pour assurer la vitalité de ce sport.

Merci de votre soutien continu à ce grand sport qu’est le golf.

Salutations cordiales,
Scott


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Journée nationale du golf au Parlement – L’industrie a plaidé en faveur de l’équité fiscale

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Parliament Hill (Simon Hayter/Getty Images)

OTTAWA – Aujourd’hui, l’Alliance nationale des associations de golf (NAGA) est sur la pour souligner sa Journée nationale du golf et discuter avec les parlementaires de l’industrie du golf au Canada.

« Le golf est l’un des sports les plus appréciés des Canadiens et dépasse grandement la pratique d’autres sports », a déclaré Scott Simmons, président de la NAGA et chef de la direction de Golf Canada. « On compte environ 5,7 millions de golfeurs canadiens et 2 400 terrains de golf et champs de pratique au Canada, et l’industrie représente plus de 14 milliards de dollars par année du PIB du Canada. »

Bien que le golf continue d’être un passe-temps favori pour les Canadiens, il est important de souligner que les petites entreprises de l’industrie du golf ont subi l’impact d’une faible économie depuis plusieurs années. Les taux de participation et de l’emploi ont sensiblement diminué. La législation fiscale fédérale devenue désuète impose une disparité concurrentielle importante à l’industrie du golf et ne peut plus être maintenue.

« Le golf est l’option la plus efficace pour les gens d’affaires d’investir dans les relations avec les clients, de réaliser des ventes et de créer des emplois », affirme Jeff Calderwood, PDG de l’Association nationale des propriétaires de terrains de golf du Canada. « La Loi de l’impôt sur le revenu prévoit que les dépenses nécessaires sont appliquées à toutes les industries concurrentes telles que les restaurants, les concerts, les événements sportifs, la participation à tous les autres sports, le théâtre et plus encore. Cependant, les déductions pour les dépenses relatives au divertissement des clients sur les terrains de golf ne sont pas permises en raison d’un article de la loi qui date de 45 ans et qui a été écrit à une époque où le golf était une petite niche du marché pour les plus fortunés. Nous sommes maintenant en 2016 et le golf n’est pas seulement le sport de participation le plus populaire, mais aussi le choix de divertissement le plus convoité des entreprises. »

Pour éviter cette situation désavantageuse à l’égard d’une industrie aussi importante formée de petites entreprises, la même déduction de 50 pour cent doit être appliquée aux dépenses encourues pour divertir les clients sur les terrains de golf. Ces déductions ne comprennent pas les droits d’adhésion à un club de golf. M. Calderwood a fait la remarque que l’expression « plus d’affaires sont conclues sur un parcours de golf que dans une salle de conférence » est bien connue en raison de l’efficacité de divertir les clients sur un terrain de golf. « Mais nous pouvons offrir ces avantages uniquement si la Loi de l’impôt sur le revenu nous permet d’être sur un pied d’égalité avec tous les autres secteurs. »

« Le ministre des Finances procède actuellement à un examen des dépenses fiscales du Canada afin d’assurer qu’elles sont équitables et efficaces », a conclu M. Calderwood. « Notre recommandation est justement à cette fin : l’équité. Le droit fiscal actuel impose un fardeau considérable à notre industrie qui est déjà en péril face à une faible croissance économique. Nous sommes un regroupement de petites entreprises qui demandent simplement à être traitées équitablement. »

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Le golf canadien pleure la mort d’Arnold Palmer

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Arnold Palmer (Stuart Franklin/Getty Images)

C’est avec une immense tristesse que Golf Canada se joint à la communauté golfique internationale pour pleurer la mort du légendaire Arnold Palmer, qui s’est éteint le 25 septembre 2016 à l’âge de 87 ans.

Affectueusement surnommé « The King », Palmer, membre du World Golf Hall of Fame, laissera le souvenir d’une des personnalités les plus influentes de l’histoire du golf.

« Comme l’ensemble de la communauté golfique canadienne, nous sommes attristés au plus haut point par le départ de cette légende qu’est Arnold Palmer et nous offrons nos sincères condoléances », a déclaré Scott Simmons, chef de la direction de Golf Canada. « M. Palmer a fait un apport considérable au golf sur le parcours et en dehors et il a eu une influence inestimable sur ce sport. Il laisse l’héritage d’un immense champion, d’un entrepreneur averti, d’un mentor, d’un philanthrope, d’un visionnaire et d’un authentique gentleman. Nous sommes extrêmement fiers des liens particuliers qu’entretenait M. Palmer avec le golf canadien et nous nous joignons à la communauté golfique et sportive internationale pour rendre hommage à celui qui fut peut-être le plus grand ambassadeur du golf. »

Palmer a participé 17 fois à l’Omnium canadien au fil de son exemplaire carrière (1955-1958, 1964, 1965, 1967, 1968, 1971-1979).

Il a signé sa première victoire sur le PGA TOUR lors de l’Omnium canadien de 1955 au Weston Golf and Country Club de Toronto. En 2005, le club Weston a dévoilé une statue de Palmer – créée à partir d’une photographie de Gordon W. Powley – pour marquer le 50e anniversaire de sa victoire à l’Omnium canadien.

Outre sa victoire de 1955, Palmer a revendiqué six top 10 au championnat national ouvert masculin du Canada (E9 en 1956; 2e en 1964; 7e en 1967; E10 en 1973; 4e en 1975, E8 en 1978).

Palmer a aussi participé à deux reprises à l’Omnium canadien sénior, terminant 12e ex æquo en 1983 et 58e ex æquo en 1996.

De plus, Palmer a disputé quatre fois le Championnat de la PGA du Canada qu’il a remporté en 1980. Il a pris la 6e place en 1978, la 49e ex æquo en 1981 et la 12e ex æquo en 1983.

Ambassadeur international du golf et apôtre du golf comme plateforme caritative, Palmer fut le conférencier d’honneur à l’occasion du 100e anniversaire de l’Omnium canadien en 2004.

NOTE AUX MÉDIAS ─ On peut télécharger ici des photos d’Arnold Palmer tirées des archives du Temple de la renommée du golf canadien.

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Hymne au golf

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(Josh Schaefer/ Golf Canada)

Depuis 112 ans, l’exploit olympique du golf canadien s’inscrivait presque en marge de l’histoire. Cela va changer cet été, à Rio de Janeiro, lorsqu’on célèbrera la renaissance du golf olympique.

Le projecteur olympique est le plus brillant de la scène sportive mondiale. Les Jeux d’été – où 10 000 athlètes de 206 pays s’affrontent en compétition dans 306 disciplines durant 17 jours – sont réellement le summum du sport, et le fait que le golf soit présenté dans cette arène prestigieuse aura une influence sur notre sport à l’échelle planétaire.

Pour les 60 golfeurs et 60 golfeuses qui se joindront à leurs compatriotes au Brésil, il n’y aura aucun prix en argent, ni couperet, ni classement sur le circuit, ni prochaine fois. Ils et elles joueront pour leur drapeau – occasion unique, dans la vie d’un athlète, de monter sur le podium, au-dessus de ses concurrents, et de ressentir toute l’émotion de recevoir les honneurs aux accords de son hymne national.

Le succès des golfeurs professionnels se mesure trop souvent à leurs gains et à leur classement en tournois majeurs. Le golf olympique transcende tout ça. Les meilleurs joueurs de la planète se disputent des douzaines de majeurs en carrière, accumulant des millions de dollars. Le golf ne connaît pas cette culture de compétition sans lendemain, où le joueur est plongé dans une bulle avec les meilleurs athlètes au monde, sous l’immense pression d’avoir à livrer sa meilleure performance sur la plus grande scène de la planète.

Imaginez une finale où sept groupes de compétiteurs se présentent au 72 e trou du parcours olympique pour se disputer les médailles d’or, d’argent et de bronze. L’excitation, en cas de bris d’égalité, serait inimaginable. Les vainqueurs seront évidemment à la hauteur de l’occasion, et les autres se demanderont comment ils ont pu laisser échapper leur moment olympique. Imaginez nos quatre golfeurs et golfeuses arborant fièrement la feuille d’érable canadienne pour défendre notre titre olympique remporté par George S. Lyon en 1904. Tous les clubs de golf du pays, d’un océan à l’autre, partageront à ce moment-là l’esprit olympique.

Le mouvement Olympique est en effet bien plus qu’un théâtre sportif sur la plus grande scène qui soit, c’est la célébration suprême de valeurs fondamentales au golf : excellence, inclusion, équité, plaisir, intégrité, durabilité, accès au sport avec tout ce que cela représente de bien-être physique, psychologique et social. Pendant deux semaines en août, les Jeux rassembleront des milliards d’êtres humains autour d’une expérience sportive aussi intense qu’émotive.

Je crois au pouvoir des héros. Ces moments passés à admirer les athlètes olympiques en action allument notre amour du sport, stimulent nos passions. Des téléspectateurs, autour du globe, qui ne connaissent peut-être rien au golf, seront soudain gagnés par la fièvre en voyant leurs porte-couleurs claquer des balles pour leur pays; des enfants fascinés par ce qu’ils voient demanderont à leurs parents s’ils peuvent s’initier au golf. Voilà le réel pouvoir de ce retour du golf aux Olympiques.

Pour les fans canadiens du golf – dont moi-même, bien sûr – la seule chose plus gratifiante qu’un bon moment sur le parcours, cet été, serait d’entendre notre hymne national retentir à Rio après le dernier roulé.


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Hymne au golf

Cet article a été publié dans l’édition de mai 2016 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche.

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Le golf, sport sans contact

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(Dale MacMillan/ Golf Canada)

Les commotions cérébrales et les blessures au sport n’ont jamais fait autant parler. Certains spécialistes remettent même en question la participation des enfants aux sports de contact. Dans ce contexte, le golf détient un avantage concurrentiel : activité sûre à dimension sociale, il offre toute une vie de plaisirs gratifiants.

Il est essentiel de faire vivre cette expérience amusante aux enfants pour que toute la famille s’attache au golf. Ils apprendront l’étiquette du golf et les valeurs humaines qu’il véhicule comme l’intégrité, l’honnêteté, l’esprit sportif et la camaraderie caractéristiques de notre sport. Pensez aux bienfaits pour la santé de brûler 1 450 calories en marchant 18 trous au grand air, sans oublier l’endurance musculaire, la circulation sanguine, la souplesse et la vivacité mentale.

Comme le souligne John Gordon dans son article « Parents, à vous de jouer! » (p.50), les parents jouent un rôle essentiel dans l’attachement de leurs enfants au golf. Ce sont les parents qui les inscrivent aux activités et décident du niveau de participation. Selon une étude sur le sport et les jeunes, un enfant est 50 % moins enclin à participer à une activité s’il n’y a pas été initié avant 12 ans.

Je suis tout à fait d’accord : le rôle des parents est crucial. J’estime aussi que les établissements de golf peuvent en faire plus pour mobiliser les jeunes et leurs parents. Le golf junior est une source avérée de revenus pour les clubs. Il existe plusieurs Centres de développement du golf junior reconnus par Golf Canada et la PGA du Canada comme étant des établissements de haut calibre pour le perfectionnement du golf chez les jeunes.

Les clubs qui offrent un bon programme junior recueillent souvent les fruits de leurs efforts lorsque les enfants deviennent adultes, car ceux-ci sont susceptibles de devenir clients à vie. Les clubs qui s’associent à des écoles offrant le programme Golf en milieu scolaire savent que les étudiants qui apprennent à jouer au golf à l’école peuvent avoir envie de se rendre au club après la cloche, pour claquer des balles sur le terrain d’exercice, prendre des leçons, se payer une partie ou s’inscrire comme membre junior pour l’été. Avec ses 14 500 écoles primaires et secondaires, le réseau d’éducation physique du Canada offre le potentiel le plus riche d’initiation des enfants au sport, quel que soit leur âge, sexe ou milieu.

Que se passe-t-il quand votre enfant est assez vieux pour faire ses propres choix de dépenses récréatives? Qu’offre-t-on aux golfeurs de 18 à 35 ans qui veulent jouer sans crever leur budget? Le cycle de vie du sport dépend de ces mêmes personnes qui, un jour, auront une famille et choisiront les activités qui conviennent à leurs enfants.

Les clubs doivent offrir des expériences golfiques à la hauteur des attentes des consommateurs, et cela doit englober les enfants, les familles et tous ces mordus en puissance que sont les nouveaux arrivants et les groupes minoritaires. Pour certains, c’est le prix qui compte. Pour d’autres, c’est l’attrait d’une activité récréative conviviale et ouverte à l’innovation.

L’accès est un facteur important. Je me demande combien de familles en profiteraient si tous les parcours offraient l’accès gratuit aux enfants. Ceux-ci doivent se sentir bienvenus au club de golf. Les programmes de base comme Golf en milieu scolaire, Premiers élans CN et J’amène un enfant au terrain de golf initient chaque année des milliers d’enfants au golf. Mais les enfants, comme leurs parents, font des choix. Le golf fait concurrence à d’autres activités pour attirer leur attention.

Le golf junior est bon pour nos enfants. Et ce pourrait bien être la solution idéale que recherchent les parents soucieux de la sécurité de leurs enfants.


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Le golf, sport sans contact

Cet article a été publié dans l’édition de avril 2016 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche.

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Un mot de notre 113e président, Roland Deveau

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Roland Deveau (Archives de Golf Canada)

Ci-dessous le mot de remerciement du nouveau président de Golf Canada, Rolande Deveau, lors de l’Assemblée générale annuelle 2016.


Je suis très honoré d’avoir été nommé 113e président de Golf Canada. C’est une responsabilité que j’accepte en toute humilité tout en étant conscient de la contribution remarquable et généreuse de mes prédécesseurs et des nombreux bénévoles qui, comme vous, travaillent tous les jours pour le mieux-être du golf à l’échelle du pays.

Depuis que l’on m’a demandé de présider cette grande association, j’ai réfléchi aux nombreuses personnes qui m’ont influencé chemin faisant, dont plusieurs se trouvent dans cette salle. Je les remercie sincèrement de leur aide et de leur encouragement.

J’apprécie aussi grandement les sages conseils de tous nos présidents. Tout au long de l’année, je continuerai de tirer le meilleur parti de leur expérience collective et de leur perspicacité.

Je remercie le Conseil d’administration de Golf Canada pour son soutien indéfectible. Ces personnes ont travaillé sans relâche pour donner à notre association une orientation stratégique. Si les directeurs viennent tous d’horizons différents, ils représentent une force cohésive quand vient le moment de relever les défis et d’envisager les perspectives d’avenir.

Permettez-moi de mentionner une personne en particulier, notre président sortant, Paul McLean. À son arrivée à Golf Canada en 2010, Paul, à la direction d’une société florissante, était déjà une figure connue de l’industrie du golf. Il a généreusement donné de son temps et de son savoir-faire pour l’avancement de notre sport et de Golf Canada. Le Conseil apprécie l’originalité de ses opinions et nous lui sommes tous reconnaissants de sa sagesse et de ses conseils. Paul, merci beaucoup. À cause de toi, Golf Canada se trouve dans une bien meilleure position pour affronter les défis qui l’attendent.

Scott Simmons, notre chef de la direction, et son personnel dévoué méritent aussi nos remerciements. Si plusieurs d’entre nous sont tournés vers les perspectives d’avenir de notre association, Scott et ses proches doivent faire face aux défis quotidiens auxquels est confrontée une fédération nationale de sport. Le Conseil et moi savons que ce n’est pas une mince tâche, mais ils le font avec professionnalisme et avec un dévouement qui fait de notre association une fédération sportive de première classe, respectée par ses pairs aussi bien dans notre pays qu’à l’étranger. Nous vous en remercions.

À titre personnel, permettez-moi de remercier ma famille et mes amis de leur soutien continu, à commencer par la personne la plus importante de ma vie, mon épouse Jacqueline. Elle m’a soutenu tout au long de mon implication dans le golf et, comme le savent certains d’entre vous, dans les nombreux autres projets auxquels j’ai participé au fil des ans. Jackie, je t’aime beaucoup et je te remercie de ton soutien.

J’ai aussi apprécié au plus haut point le soutien que m’ont aimablement apporté les gouverneurs, les représentants des associations provinciales et les membres des comités. Je suis impatient de collaborer avec vous tous pour exécuter le mandat de Golf Canada.

Sur ce, j’aimerais vous faire part de mes idées sur la route qui s’ouvre pour Golf Canada.

J’ai toujours reconnu et apprécié les nombreuses personnes qui, comme vous, contribuent bénévolement à la cause du golf. Vous vous donnez sans compter à notre sport. Que ce soit sous le parapluie de Golf Canada ou dans votre communauté, votre effort collectif bénéficie grandement à notre sport. Nous ne pourrions tout simplement pas fonctionner sans votre apport.

Nombreuses sont les personnes qui trouvent dans le golf leur gagne-pain. Ils sont l’ossature de l’industrie du golf, vu le rôle essentiel qu’ils jouent aux premières lignes des établissements. Ce groupe comprend les professionnels, les propriétaires, les directeurs de club, les surintendants et j’en passe. Plusieurs d’entre eux sont des représentants de la NAGA, l’Alliance nationale des associations de golf, et nous honorent ce soir de leur présence.

Les bénévoles et ceux qui gagnent leur vie grâce au golf ont un trait commun : leur passion pour notre sport. Tous nous voulons assurer un meilleur avenir à notre sport de prédilection.

Nous savons tous ce que nous voulons pour l’avenir du golf. Le golf a été bon pour tous ceux ici présents. Nous aimons le golf, nous lui sommes reconnaissants des amitiés qu’il nous a permis de nouer et de l’excitation qu’il nous a procurée à chaque bon coup. Nous avons tous expérimenté la sérénité d’une partie jouée de bonne heure, quand la rosée perle encore sur les allées. Et nous avons tous admiré le paysage doré de notre parcours d’attache au coucher du soleil.

Voilà des expériences golfiques quoi nous tiennent à cœur.

Et je crois qu’en fin de compte, notre objectif commun est de permettre à tous les golfeurs, y compris les débutants, de vitre des expériences d’une aussi grande qualité.

Mais pour y parvenir, nous devons travailler à l’unisson. En tant que Fédération nationale de sport, nous devrons faire preuve de leadership pour le mieux-être de notre sport. Nous devons collaborer avec les provinces et nos partenaires de la NAGA. Si l’un d’entre nous en tire des bénéfices, nous en tirerons tous. Notre leadership doit fournir la vision de la réussite, mais il est essentiel que tous les intervenants participent dans l’harmonie au développement d’UNE VISION COMMUNE pour notre sport.

En 2013, nos rapports avec les provinces ont fait un pas de géant lors de notre assemblée de Charlottetown. Nous avons cette semaine continué sur cette lancée. Il reste beaucoup à faire et je m’engage à travailler avec vous tous dans la réalisation de notre objectif commun.

Je comprends les perspectives nationales et provinciales quand il s’agit de relever des défis. Mon implication dans le golf a commencé au niveau du club avant de s’étendre à la zone et à la province. Ayant maintenant été impliqué au niveau national, il m’est facile de comprendre les avantages énormes de la coopération.

Comme l’a mentionné Scott [Simmons] dans ses mots de bienvenue, la COLLABORATION  est à l’ordre du jour. Nous devons éviter les chevauchements, partager au besoin nos ressources et harmoniser nos stratégies.

Ce n’est pas une sinécure, mais les plus grandes récompenses sont le fruit du sacrifice et de l’effort. Nous avons une dette envers le golf : procurer à chaque golfeur des expériences de qualité égales aux nôtres.

Nous devons aussi collaborer avec nos partenaires de la NAGA parce que nous avons tous le même client : le golfeur. Notre sport vit un moment important. La conjoncture économique incertaine doit nous inciter à trouver de nouveaux moyens de mobiliser plus de golfeurs, qu’il s’agisse de membres ou de golfeurs publics.

Nous devons mettre de l’avant des programmes et services novateurs. Le Canada compte 5,7 millions de golfeurs et il est essentiel d’atteindre un plus grand nombre d’entre eux en leur proposant des avantages, des services et des programmes attrayants, ou en utilisant la technologie pour améliorer nos expériences numériques par le truchement de notre site Web ou des médias sociaux. Plus nos efforts seront concertés, plus seront grandes nos chances de succès.

Vous avez toutes les raisons d’être fiers du travail que vous faites pour Golf Canada. Qu’il s’agisse de l’organisation de championnats nationaux d’un bout à l’autre de notre grand pays, du développement à long terme du joueur, du handicap, de la formation aux règles du golf ou de l’élaboration de nouvelles expériences numériques pour nos membres, nous offrons une programmation de première classe, reconnue au Canada et aux quatre coins du monde.

Notre association est respectée par nos pairs de l’étranger et nous continuerons de collaborer avec les organismes de régie du golf, le R&A et la USGA, pour la promotion continue de notre sport.

Mais pour croître et réussir, il nous faut faire preuve d’audace. Nous devons prendre des mesures osées pour montrer que Golf Canada est un chef de file quand il s’agit de transformer des idées en réalités.

Au Canada, des personnes sont prêtes à afficher leur leadership. Nous admirons ces pionnières que sont Marlene Streit et Diane Dunlop-Hébert qui sont récemment devenues membres du R&A.

Nous avons de notre côté fait notre part cette semaine en annonçant que, pour la première fois, deux femmes, qui sont aussi mes amies, avaient été choisies pour représenter notre pays au sein du Comité des règles et comme conseil du Comité du statut d’amateur du R&A. Voilà une preuve de leadership. Je suis convaincu que Diane Barabé et Jean Stone-Seguin représenteront dignement notre pays sur la scène mondiale.

ET nous prendrons des mesures audacieuses pour promouvoir la diversité au sein de notre association en mettant sur pied un Groupe de travail sur la mise en valeur de la diversité, comme vous l’avez sans doute appris cette semaine. Pour ce faire, nous jetterons des ponts pour rejoindre les nouveaux Canadiens et les groupes sous-représentés. Nous continuerons aussi, dans la même veine, de promouvoir l’initiative Golf en milieu scolaire. Avec ses 10 000 écoles élémentaires et ses 4 500 écoles secondaires, le système canadien d’éducation physique représente une occasion en or d’initier au golf les élèves, de quelque horizon qu’ils viennent.

Je suis d’autant plus excité d’accéder cette année à la présidence que 2016 marque le retour tant attendu du golf aux Jeux olympiques. Selon moi, les Jeux olympiques représentent une expérience golfique de grande qualité qui augmentera le nombre d’adeptes.

George S. Lyon, un Canadien, a été le dernier médaillé d’or olympique de golf en 1904 et je suis ravi que le magnifique trophée olympique se trouve parmi nous cette semaine. Nous ne cesserons jamais de célébrer notre histoire et notre patrimoine golfiques, et les Jeux olympiques de Rio sauront sans doute attirer l’attention d’une nation éprise de golf comme la nôtre.

À titre de Fédération nationale de sport, nous ferons partie de la mission olympique qui comptera notamment des entraîneurs pour les quatre athlètes canadiens participant à la compétition de golf.

À cette heure, 25 athlètes ayant été impliqués dans des programmes de Golf Canada évoluent sur des circuits professionnels partout dans le monde. Et il est même possible que nos quatre athlètes olympiques soient issus du système de développement du joueur de Golf Canada, un système qui, à n’en pas douter, est riche de résultats.

Notre sport a besoin de héros. Quand des golfeurs canadiens participent à des compétitions et les gagnent, surtout dans des événements comme les Jeux olympiques, leur passion inspire la génération suivante de golfeurs. Grâce aux Jeux olympiques, des millions de téléspectateurs canadiens et étrangers pourront partager les valeurs et les avantages du golf. Voilà une occasion qu’il ne faut pas gaspiller.

Plusieurs de ces téléspectateurs seront sans doute des golfeurs du dimanche et d’autres, y compris les enfants, n’auront jamais tenu dans leurs mains un bâton de golf. Cela dit, ces champions les inspireront parce que ce sont des athlètes olympiques. Quant aux téléspectateurs qui sont déjà des adeptes du golf, nous voulons les inciter à jouer plus souvent ou à soutenir le golf en s’engageant auprès de Golf Canada.

Je vous invite tous à vous joindre à moi dans la célébration du mouvement olympique. Plusieurs d’entre vous ont joué un rôle dans le développement de nos jeunes athlètes, à des titres divers : bénévole lors de compétitions provinciales ou nationales, officiel des règles, initiateur des enfants au golf. Soyez fiers de constater que votre travail a contribué à leur développement et à leur capacité de se produire aux plus hauts niveaux, Jeux olympiques compris. L’équipe olympique, c’est votre équipe, c’est l’équipe du Canada. Et je suis convaincu que nos golfeurs olympiens ont la chance de remporter une médaille à Rio et de gagner.

Golf Canada doit saisir l’occasion pour se servir comme d’un levier du retour du golf au programme olympique. Il faut RECONNAÎTRE que le succès aux Jeux olympiques, sur une scène aussi prestigieuse, peut contribuer à l’essor de nos programmes destinés à la base. Il faut COLLABORER avec des partenaires comme RBC, la Compagnie de la baie d’Hudson et BMW qui font partie de l’écosystème olympique et de celui du Comité olympique canadien.

Mesdames et messieurs, des athlètes comme Brooke Henderson, Alena Sharp, David Hearn, Graham DeLaet et Adam Hadwin réalisent des hauts faits et voudront défendre le titre grâce auquel George S. Lyon a remporté ce magnifique trophée olympique en 1904.

En 2016, le thème olympique sera au cœur des efforts de marketing et de communication de Golf Canada. Du coup, nous invitons d’autres intervenants de l’industrie du golf – propriétaires, directeurs de club, pros et établissements – à célébrer le rêve olympique du golf canadien.

Nous invitons toute la communauté golfique canadienne à participer à la célébration olympique.

Et, ce faisant, nous souhaitons convaincre des Canadiens à jouer plus souvent ou à s’initier au golf.

Oui, notre sport vit un moment excitant et je suis impatient de collaborer avec toutes les personnes ici présentes pour créer des expériences golfiques de qualité qui emballeront l’ensemble des golfeurs canadiens. Pour terminer, je remercie à nouveau les membres de Golf Canada de m’avoir manifesté leur confiance en me nommant 113e président de cette association à la riche histoire.

Merci.

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Le Plan stratégique 2016 de Golf Canada

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Après cinq ans, Rémi Bouchard passe de Golf Canada au club Pinegrove

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Remi Bouchard (Bernard Brault/ Golf Canada)

Un des noms les plus connus et impliqués au Québec, Rémi Bouchard, quitte Golf Canada ayant accepté le poste de professionnel au club Pinegrove.

Depuis cinq ans quand même qu’il était le responsable des opérations de l’organisme national au Québec et au Nouveau-Brunswick.

Rémi Bouchard a d’abord été demandé pour ajouter son poste à la liste de candidats. La suite n’a pas tardé.

NOUVEAU DÉFI

La sélection a été officialisée ces derniers jours lors d’une réunion du bureau de direction de Pinegrove quoiqu’il demeure en poste à Golf Canada jusqu’à l’assemblée annuelle à Halifax à la fin du mois.

«Il faut croire que j’étais rendu là», dit-il au sujet du coup de barre surprise qu’il donne à sa carrière.

«La réputation de Pinegrove n’est plus à faire pour la qualité de son parcours. Les affaires vont bien avec 500 membres et presque 300 actionnaires. J’avais aussi travaillé avec le directeur général Bruno Hamelin pour la préparation du Salon du golf»,   commente-t-il.

Le nouveau pro âgé de 52 ans insiste qu’il conservera de très bons souvenirs de son passage à  Golf Canada. Il confinera de contribuer différemment.

«Je pense avoir fait de bonnes choses, les liens avec les clubs au Québec s’étant resserré», mentionne celui qui est resté associé au club Le Mirage pendant ses années en gestion.

Sa seule façon de progresser aurait été de déménager à Toronto ce qui n’est pas évident avec une famille. Il ne sera plus très loin de son travail étant né, ayant été élevé et demeurant toujours sur la rive-sud.

LES MEMBRES AVANT LA COMPÉTITION 

Un diplômé d’Indiana State, Remi Bouchard est aussi président de la PGA du Québec en pleine refonte.

Un des rares à avoir gagné tous les titres au Québec chez les pros, les amateurs, les juniors et même les juvéniles, il deviendra moins actif en compétition.

«Je vais disputer un nombre minimal de tournois. Je veux vraiment m’impliquer dans les activités du club. La formation d’une académie est dans les cartes. Il a y le personnel à embaucher. Je veux être présent dans la vie des membres», de terminer Rémi Bouchard qui aura de quoi se frotter avec Raoul Ménard, Joey Savoie et Étienne Papineau, tous des membres de Pinegrove qui contrôlent le golf amateur d’élite au Québec.

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Témoignage de gratitude

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Highland Country Club (Claus Andersen/ Mackenzie Tour-PGA Tour Canada)

La vitalité du golf au pays dépend d’une foule de facteurs, en particulier d’un engagement à faire passer les intérêts des golfeurs en premier. En leur nom, je suis reconnaissant aux nombreuses organisations et personnes qui assurent le succès de notre sport au Canada.

Cette gratitude va d’abord aux 5,7 millions de Canadiens qui jouent 60 millions de parties de golf par année. Les consommateurs doivent choisir comment dépenser leur budget de loisirs, et l’offre est astronomique. Heureusement, le golf peut compter sur une base solide de clients fidèles et de joueurs occasionnels qui foulent les allées de nos 2 346 établissements répartis d’un océan à l’autre.

Le golf est une industrie axée sur la clientèle. Il faut donc écouter le golfeur et trouver des façons innovantes de mobiliser son engagement. C’est encourageant d’entendre des golfeurs partager leur passion pour notre sport. Mais j’apprécie tout autant leurs critiques constructives, car cela signifie qu’ils s’en soucient et qu’ils veulent responsabiliser l’industrie du golf.

Aux 3 700 professionnels de la PGA qui sont en première ligne de notre industrie, je dis merci de votre engagement envers les golfeurs, qui s’incarne par la prestation de programmes et d’enseignement dans les clubs. Merci d’aider les fervents de golf, les mordus de fraiche date, les membres à vie, les familles et les jeunes à profiter au maximum de leur expérience golfique.

Je lève aussi mon chapeau aux surintendants de parcours qui travaillent de longues heures pour maintenir l’équilibre entre le défi du jeu, le plaisir du joueur et la durabilité du terrain. C’est une tâche titanesque de répondre aux exigences des golfeurs, et j’ai un immense respect pour le dévouement des équipes d’entretien, qui sont bien plus que des experts du gazon.

Le golf est une grosse industrie. Aux propriétaires de parcours, clubs de membres et fabricants qui engendrent des retombées de 11,3 milliards de dollars dans l’économie canadienne, merci d’assumer les risques de l’industrie golfique au pays. Pour la plupart d’entre nous, le golf est un jeu, mais pour les propriétaires et exploitants de clubs, et tous les autres partenaires qui s’y investissent financièrement, le golf est une entreprise concurrentielle exposée aux aléas de l’économie.

Aucun facteur n’a autant d’impact sur le golf que la météo; nous avons donc une dette de gratitude envers mère Nature qui s’est montrée généreuse pour la saison de golf 2015 au Canada. Les conditions ont été magnifiques dans la plupart des régions, et cela s’est traduit par une augmentation de 9,8 % du nombre de parties jouées au pays, par rapport à la saison 2014, selon le Rapport sur les rondes jouées et la météo de l’Association nationale des propriétaires de terrains de golf du Canada. C’est l’Alberta qui a connu la plus forte hausse (13,2 %), suivie de la Saskatchewan et du Manitoba (8,4 %), de la Colombie-Britannique (6,5 %), de l’Ontario (6 %) et du Québec (5 %). Seule ombre au tableau, on a vu un déclin de 11,6 % dans le Canada atlantique, à cause d’un début de saison très tardif. Dans l’ensemble, ce fut une saison ensoleillée pour les exploitants de parcours qui envisagent la saison 2016 avec optimisme.

Aux 37 000 événements caritatifs qui se tiennent chaque année sur les parcours de golf, un gros merci pour avoir su mettre notre sport à contribution afin de recueillir des fonds au sein des collectivités partout au Canada. Plus de 533 millions de dollars en dons de bienfaisance sont ainsi amassés annuellement grâce au golf. J’applaudis les participants et organisateurs de ces merveilleux événements.

Aux professionnels de talent, aux amateurs compétitifs, aux vedettes émergentes et aux légendes du golf canadien, merci de nous inspirer par votre jeu. Vous êtes la preuve que le Canada peut s’affirmer sur la scène mondiale du golf.

Les bénévoles sont de longue date l’élément moteur du golf au pays et l’on ne saurait assez remercier les dizaines de milliers de personnes qui s’investissent pour le plus grand bien de notre sport. Sans oublier les nombreux commanditaires qui prêtent leurs marques et leurs services au golf canadien.

Bravo aussi à nos plus proches partenaires, les employés et bénévoles des 10 associations provinciales de golf qui partagent notre intérêt pour l’adhésion, la prestation de programmes, le golf junior et le développement des joueurs. Je manquerais à mon devoir si je ne remerciais pas chaleureusement le personnel de Golf Canada pour son enthousiasme et son engagement envers notre sport et notre association.

Enfin, aux membres et aux clubs que Golf Canada a l’honneur de représenter, un remerciement des plus sincère pour votre soutien au golf d’un océan à l’autre. Merci de célébrer avec nous ce grand sport qu’est le golf.

Blog Notes de Golf Canada

Déclaration sur le futur usage du Glen Abbey Golf Club par ClubLink

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Glen Abbey Golf Club (ClubLink)

ClubLink a fait part à Golf Canada de son intention d’explorer de nouvelles avenues pour le Glen Abbey Golf Club et nous tiendra au courant de tout nouveau développement. À ce stade, cette décision ne touche pas au fonctionnement de Golf Canada, notamment en ce qui a trait à son siège social et au Temple de la renommée du golf canadien.

Pour l’heure, les affaires continuent et il est prématuré de conjecturer sur l’avenir de Glen Abbey. Golf Canada présentera comme prévu l’Omnium canadien RBC à Glen Abbey en juillet prochain. De plus, le club continuera d’être considéré comme le site de ce championnat au-delà de 2016.

Scott Simmons
Chef de la direction
Golf Canada