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Loin d’être certain que les cactus seront aussi appréciés que les palmiers!

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PGA du Canada

Seul titre national disputé à l’extérieur du pays, le Championnat des professionnels de club Titleist FootJoy du Canada, changera de site l’automne prochain.

Après dix ans sous les palmiers de la Floride, voilà que la présentation passe aux cactus de l’Arizona.

Le club Sunridge Canyon, de Fountain Hills, devient l’hôte de la présentation du 16 au 19 novembre après toutes ces années à Port St. Lucie.

Max Oxford avait eu et mis en place cette excellente idée des USA après la saison au pays de manière à ce que les pros puissent servir leurs membres et participer à leur championnat sans conflit de calendrier.

Max est aujourd’hui un heureux retraité dans le secteur de North Hatley.

PARTICIPATION DIMINUÉE?

PGA admet que la décision a été prise afin d’accroître la participation des pros de l’Ouest.

La nouvelle ne fera toutefois pas le bonheur des habitués du Québec.

Plusieurs possèdent un toit en Floride et décideront probablement de faire l’impasse en Arizona.

Même réaction en Ontario, la province comptant la plus forte représentation au pays.

Ben Boudreault (Le Cerf) et Éric Landreville (BelleVue) sont des vainqueurs ces récentes années. Yvan Beauchemin (La Tempête) avait été plusieurs fois titulaire dans le passé.

Au nom de l’harmonie, pourquoi ne pas établir un concept d’alternance Floride-Arizona dès maintenant? La suggestion est offerte.

MARCEL PAUL RAYMOND À LA PRÉSIDENCE

Golf Québec a un bon homme à sa suite à la nomination de Marcel Paul Raymond.

Sa curiosité lui a permis de toucher à plusieurs secteurs.

Une prochaine chronique sera consacrée aux intentions de Marcel Paul Raymond.

Soulignons le travail du prédécesseur Marc Tremblay pour ses trois ans à la présidence ce qui est très rare comme durée.

NOUVELLES DE L’INDUSTRIE

Quoiqu’à l’approche de la mi-février, l’Association des directeurs généraux du Québec annonce encore trois postes disponibles pour la saison 2014, soit Summerlea (36 trous), les Clubs de la Banlieue Ouest (Saint-Zotique, Saint-Polycarpe et Rivière Beaudette) ainsi que Château Bromont.

GUY BERNIER CHANGE D’ADRESSE

La nouvelle est de Mike Bremmer qui nous apprend compter sur un nouveau collègue chez Cleveland-Srixon avec Guy Bernier qui joint les rangs.

Ce dernier a longtemps été un meneur dans le domaine de l’équipement.

DÉCÈS D’UN EX-PRÉSIDENT

Il s’agit de John J. Hussar qui nous a quittés la semaine dernière.

Il a présidé Golf Québec en 2006 bien que résident d’Ottawa.

Malgré le maraudage de l’Ontario ces dernières années, il existe toujours des parcours de la Capitale fédérale qui maintiennent les liens avec le Québec, Montréal étant plus prêt que Toronto pour les tournois.

2… COMME CHIFFRE DE LA SEMAINE

Voila le nombre de minutes de clarté que l’on gagne quotidiennement. Bien sûr qu’il existe donc de l’espoir qu’on finisse par voir arriver le printemps.

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Face-à-face avec le champion de la Coupe Jones 2014

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Corey Conners (Golf Canada/Chuck Russell0

Corey Conners a l’habitude des feux de la rampe. N’a-t-il pas été demi-finaliste du Championnat amateur masculin des États-Unis l’an dernier? Ce haut fait est en soi impressionnant, mais le golfeur de 21 ans était toujours  en quête d’une grande victoire,  même s’il n’en laissait rien paraître.

Membre d’Équipe Canada, l’équipe nationale amateur, il respire la confiance en soi, sur le parcours et en dehors. Cela dit, il n’est pas du genre démonstratif. Il ne brandit pas le poing à la Tiger ni ne fait tournoyer son bâton après un bon coup. Étudiant de quatrième année l’Université Kent State (Ohio), il ne laisse pas libre cours à ses émotions durant la partie. Cette attitude lui est fort utile dans les moments de forte tension, comme il l’a prouvé dimanche en remportant en prolongation l’un des plus prestigieux tournois amateurs au monde.

Conners

GC : À quoi as-tu pensé après cette grande victoire?

CC : C’est une sensation énorme, car c’est un tournoi très prestigieux. J’étais très excité de l’emporter, et cela a stimulé ma confiance. J’ai maintenant hâte de voir ce qui se passera durant la saison universitaire.

GC : Est-ce la plus grande victoire de ta carrière?

CC : J’ai vécu des moments inoubliables sur le parcours, mais c’est fantastique d’avoir pu gagner un tournoi aussi important que la Coupe Jones. Pour moi, c’est un sommet.

GC : Est-ce que tu étais en quête d’une telle victoire depuis un bout de temps?

CC : Tu sais… (Hésitation) Je suis très fier de ma performance dans les grands tournois depuis le championnat amateur américain l’été dernier. Ce n’est pas agréable de perdre après s’être rendu si loin, mais ça ne m’a pas vraiment dérangé.

GC : Que s’est-il passé au 18e trou? [NDLR : Conners a commis un bogey alors qu’il détenait une avance d’un coup.]

CC : Le 18e trou est très difficile. C’est une longue normale 5 et le vent était défavorable ce jour-là. J’avais très bien joué durant toute la semaine et je me suis efforcé de rester calme et de ne pas déroger à ma stratégie. En fait, je pensais avoir une avance de deux coups, comme quoi je n’étais pas préoccupé par le tableau d’affichage.

GC : Avais-tu un cadet?

CC : Non, je transportais moi-même mon sac. Je le fais souvent dans les tournois universitaires, pour moi, ce n’est pas un problème. De plus, Garrett n’était pas disponible. (Rire) [Garrett Rank, également membre de l’équipe nationale, était le cadet de Conners lors du dernier championnat amateur des États-Unis.]

GC : Quel était ta stratégie sur ce parcours?

CC : Le parcours d’Ocean Forest est très ardu, et il est très facile de se couvrir de ridicule en se mettant dans une mauvaise position. J’avais joué le parcours l’an dernier et j’avais pris des notes. Je l’ai aussi foulé avec DI [Derek Ingram], ce qui m’a beaucoup aidé. Nous avons déterminé ensemble à quels endroits il était préférable de placer la balle aux abords des verts. Essentiellement, l’idée, c’était de frapper la balle dans l’allée à mes coups de départ et de prendre ensuite des décisions intelligentes.

GC : Qui as-tu d’abord appelé après ta victoire?

CC : Derek qui n’avait pu rester toute la journée. Après, j’ai appelé ma petite amie. Mon cellulaire ne fonctionnait pas dans les minutes qui ont suivi le tournoi et c’est pourquoi j’ai reçu un tas de textos un peu plus tard.

GC : Quels sont tes projets immédiats?

CC : Je suis de retour à l’université. Nous nous entraînons à tous les jours. Notre premier tournoi universitaire aura lieu début mars, ce qui me donne le temps de digérer ma victoire et de continuer à trimer dur pour peaufiner mon jeu.

 

Derek Ingram, Entraîneur-chef de l’équipe nationale masculine

DI

 Derek Ingram, Entraîneur-chef de l’équipe nationale masculine, accompagnait Conners en Georgie. Il est très fier de son élève à qui il prédit un brillant avenir.

« Je suis très excité pour lui. C’est l’un de plus importants tournois amateurs au monde  et c’est l’une des plus grandes victoires de l’histoire de notre programme, de dire un Derek Ingram plein d’enthousiasme. Nous avons mis au point un processus d’évaluation des rondes et d’étude des verts. Il est très intelligent, son QI de golf est très élevé. »

Selon l’entraîneur, la force mentale de Conners l’a aussi aidé à remporter le tournoi.

« Il a géré ses émotions et son taux d’adrénaline à la perfection, ce qui a joué un rôle important. Ça ne pouvait arriver à un meilleur gars. »

Blog Règles et situations de jeu

Le R&A permettra l’utilisation d’instruments de mesure de la distance dans des championnats amateurs

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Depuis 2006, les comités bénéficiaient de l’option consistant à adopter une règle locale en vertu des règles du golf pour permettre aux joueurs d’utiliser des instruments de mesure de la distance qui mesurent ou estiment uniquement la distance. Voir la note à la règle 14-3 des Règles du golf.

Depuis l’ajout de la note à la règle 14-3, l’utilisation d’un instrument de mesure de la distance était interdite dans les championnats de Golf Canada. Cette décision avait été ratifiée lors de la réunion du Comité des règles au cours de l’assemblée générale annuelle (AGA) chaque année et la question de leur utilisation sera de nouveau au programme le mois prochain.

Ainsi, les membres du Comité des règles se réuniront à London, en Ontario, pendant l’AGA de l’Association au début de février et ils discuteront de la question de savoir si l’utilisation d’un instrument de mesure de la distance sera permise lors des événements amateurs de Golf Canada en 2014. La décision fera l’objet d’une annonce au terme de la réunion.

Récemment, le Comité des championnats du R&A a décidé qu’il permettra l’utilisation d’instruments de mesure de la distance lors des événements amateurs du R&A en 2014.

Cette règle locale ne s’appliquera qu’aux événements amateurs du R&A. Elle ne s’appliquera pas pour l’Omnium britannique ni pour tout événement de qualification en vue de l’Omnium britannique.

Pour des informations supplémentaires concernant les règles du golf, cliquez ici.

Pour demander une question sur les règles du golf, cliquez ici.

Pour plus de renseignements sur la manière de procéder dans diverses situations impliquant les règles du golf, sur des conseils quant au système de handicap de Golf Canada et davantage, veuillez consulter nos publications consacrées aux règles du golf – en vente à la boutique en ligne de Golf Canada ou chez le libraire près de chez vous.

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Revoilà Dave Ross à la barre de l’Estérel

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Quoique Dave Ross ait toujours conservé sa résidence à l’Estérel, voilà qu’il y reviendra ce printemps après dix ans d’absence, à titre de professionnel et directeur des opérations du club portant le même nom.

La nouvelle va réjouir les habitués du club, mais aussi les amateurs des Laurentides auprès de qui il avait été très populaire lors d’un premier passage d’une durée de 21 ans.

C’est d’ailleurs à cette période que l’Estérel est passé à 18 trous.

Élève de Pat Fletcher (Royal Montréal) et d’Adrien Bigras (Rosemère), deux membres du Panthéon québécois, Ross a aussi institué le premier tournoi professionnel féminin indépendant réservé à des Canadiennes.

Lorie Kane est passée par l’Estérel et conserve encore à ce jour des pensées pour les gens qui lui ont permis de graduer et de si bien faire à la LPGA durant de nombreuses années.

De plus, le championnat canadien des adjoints a également été couronné à l’Estérel, sans parler des nombreux «pro-am» à l’automne.

Feuille de route bien garnie

Mentionnons que le vétéran Norman T. Doyle était auparavant en poste et avait été engagé par une administration précédente.

Avant l’Estérel, Dave Ross était à la barre du club Candiac, où il fut hôte de la LPGA (la classique Peter Jackson) il y a 40 ans, et le championnat des pros du Québec.

À Candiac, Richard Dupras, Jean-Louis Lamarre, la regrettée France Bouchard, Benoît Morin, Jean Morin, Jean Crispo, Gordie Ross, frère cadet de Dave, ainsi que Bob Preston y ont été ses adjoints-pro ou ses membres dès les rangs juniors pour la plupart.

Fier compétiteur, Dave a été titulaire du Québec chez les pros de club et des adjoints.

Il est diplômé de l’Université américaine St. Lawrence, où il a été boursier au hockey.

Invité au camp des Bruins de Boston, il a opté pour le golf.

Aussi bon administrateur que rassembleur, Dave Ross a servi dans l’important rôle de président de la PGA du Canada.

Pendant sa décennie éloignée de l’Estérel, il a aidé Bob Dion à Golf Québec, fait un saut au Falcon, œuvré avec succès au Nouveau-Brunswick, plus précisément aux clubs Gowan Brae, Miramichi et Mactaquac.

Un de ses protégés, Adam Chamberlain, a remporté le titre canadien des pros de club à la fin novembre.

Bon retour, Monsieur Dave, en vous souhaitant un autre 21 ans, minimum!

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Les directeurs généraux perdent un pionnier

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Ronald Beaucage

L’Association des directeurs généraux des clubs de golf du Québec a perdu un de ses pionniers la semaine dernière suite au décès de Ronald Beaucage.

L’organisme des DG atteint 45 ans d’existence cette année et le disparu a contribué à la durée et à l’évolution.

L’historique des DG a commencé avec Henri Legault, alors à la barre du club Hemmingford, qui a fondé le regroupement en compagnie de Roger Paré (L’Épiphanie) en plus d’en être le président pendant dix ans.

Avec sa personnalité de nature rassembleuse, M. Beaucage, qui nous a quitté à 83 ans, s’est beaucoup investi en compagnie de Ronald Duguay, Jacques Stephen, Évangeline Gaudet, David Checcini, Denys Boucher et autres à compter de la fin des années 70 et début 80.

PASSAGE DE FLAMBEAU RÉUSSI

Ronald Beaucage, qui avait terminé sa carrière au club Pinegrove après les Dunes et Boucherville, a été le quatrième président en 1981-82 tout en demeurant impliqué par la suite.

Marc Grenier, Jeannot Ratthé, René Noël chez les successeurs et maintenant Bernard Vaillancourt, président cette année, ont bien repris le flambeau.

D’abord institué afin de permettre l’échange d’idées et de trouver des solutions entre directeurs généraux, un regroupement d’achats afin d’aider les clubs à épargner des coûts a suivi et plus encore.

L’ensemble du golf au Québec offre ses condoléances à la famille de Ronald Beaucage.

OFFRE D’EMPLOI

La proposition est celle du Château Bromont, où la direction veut embaucher un pro-administrateur.

Cela dit, il faudra faire vite. L’acceptation des candidatures prend fin le 24 janvier.

PRÉCISION

Elle est d’André Maltais: le gentilhomme du golf tient à préciser qu’il œuvre avec Richard Marr, chroniqueur sportif à l’Éveil et Le Concorde, dans les Basses-Laurentides, pour la biographie sur son modèle Jules Huot en phase de révision pour parution à l’automne.

RETOUR ATTENDU DANS LES LAURENTIDES

Il n’y a pas que du ski dans les Laurentides.

Nos informateurs nous apprennent que les proprios d’un endroit (Il faut s’exprimer ainsi car il y a plus qu’un golf sur le site et que la direction demande de demeurer anonyme pour le moment), est à finaliser le retour d’une figure qui y a été très populaire pendant vingt ans avant de quitter.

En passant, vous verrez ces prochains jours que nos espions ne se trompent pas!

ESPOIR!

Météorologue du matin à la radio de la SRC, Ève Christian, nous annonce que les journées ont allongé de quinze minutes depuis la fin décembre.

Il y a donc l’espoir!

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Une biographie de Jules Huot signée André Maltais à venir

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Jules Huot (Golf Canada)

Il s’agira de la publication d’une biographie consacrée à la carrière de Jules Huot, un pionnier chez les pros francophones à une époque où la pratique du golf était exclusive à l’élite anglophone.

L’auteur est André Maltais, qui a si bien connu le héro né en 1908 à Boischatel et décédé en 1999 ayant été l’adjoint de Monsieur Huot à Laval-sur-le-Lac pendant des années avant de lui succéder avec brio.

En passant, André, œuvre toujours dans l’enseignement en Estrie, à Dufferin Heights, (où sa très chère Claire est l’efficace directrice générale) et au Manoir des Sables (avec Marc Viens), même ce sont des années et des années de besogne qu’il a consacrées au bouquin, notamment pour la recherche.

«Tout va bien», de déclarer l’auteur avec l’immense satisfaction d’avoir complété la rédaction.

PREMIER CANADIEN VICTORIEUX AU CIRCUIT DE LA PGA

Un ancien cadet, Jules Huot a marqué le golf ici et ailleurs au pays.

Bien avant Stan Leonard, Al Balding, George Knudson et Mike Weir plus récemment, il a été le premier pro natif du Canada à l’emporter à la PGA américaine.

C’était lors de l’Omnium General Brock, à Niagara Falls, en 1937 donc aux années de Ben Hogan, Sam Snead, Gene Sarazen et Harry Cooper.

Toujours aux USA, il a mené l’Omnium de Los Angeles après trois parcours.

Il a été invité trois fois au Tournoi des maîtres à Augusta (en 1935, 1936 et 1940) par les co-fondateurs Bobby Jones et Clifford Roberts.

Il fut trois champion de la PGA canadienne et deuxième au même tournoi à nombre de reprises.

Il a représenté le Canada dans les compétitions internationales.

DU TRAVAIL BIEN FAIT

De petite stature, Jules Huot a été un grand champion.

Parce qu’il avait une famille et que la PGA ne payait jamais les fortunes d’aujourd’hui, il revenait à Laval-sur-le-Lac pour garantir un salaire.

On a eu l’occasion de lire une partie du livre signé André Maltais, qui a été pro-proprio à Waterville après son expérience lavalloise.

C’est très bien fait.

Le lancement est déjà prévu à l’automne prochain avec son éditeur Québec-Amérique, un gros canon de l’édition.

«D’ici là, nous continuons de peaufiner les détails », de préciser André Maltais minutieux dans tout.

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C’est en s’entraînant qu’on parvient à la perfection

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Tandis que la plupart d’entre nous s’ajustaient à des habitudes d’après les Fêtes, les athlètes de l’Équipe canadienne amateur et de l’Équipe de développement s’activaient sur les parcours de golf.  Après leur premier camp d’entraînement tenu à la fin novembre dernier, les membres d’Équipe Canada travaillent maintenant à améliorer leurs points faibles décelés lors des essais du premier camp.

Chaque équipe s’entraînait dans différents établissements aux États-Unis du 2 au 7 janvier.  Découvrez ci-dessous les éléments sur lesquels ils se concentraient.

Équipe amateur masculine

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L’Équipe amateur masculine a réalisé son entraînement en profitant des installations haut de gamme du Vintage Club, à Palm Springs, en Floride, au cours du week-end.  Les superbes conditions météo qui prévalaient au Vintage Club furent une surprise bienvenue pour Derek Ingram, entraîneur chef de l’équipe, et natif de Winnipeg.

Derek Ingram

« David Woods et les membres du Vintage Club ont été des hôtes formidables et nous avons été très choyés de pouvoir nous entraîner dans leurs installations de calibre mondial, s’est enthousiasmé Ingram.  C’est le meilleur camp d’entraînement que nous ayons jamais tenu. »

Le travail d’Ingram a récemment été souligné puisqu’il est l’un des trois entraîneurs à faire partie de la liste de Golf Digest consacrée aux meilleurs enseignants hors des États-Unis.

Équipe de développement masculine

Robert Ratcliffe

Pendant ce temps, l’Équipe masculine de développement s’entraînait au The Raven Club at Verrado, à Phoenix, en Arizona, un établissement familier et ami de Golf Canada. Robert Ratcliffe, entraîneur chef de l’Équipe de développement, dirige la nouvelle équipe au cours de son deuxième camp officiel.

 

Le saviez-vous? : Ratcliffe a assumé la responsabilité entière à titre d’entraîneur chef de l’Équipe de développement. Dans le passé, il travaillait aux côtés d’Ingram comme entraîneur adjoint et il s’occupait des joueurs de l’Équipe amateur et de l’Équipe de développement.  Son nouveau rôle lui permet de se concentrer principalement sur les joueurs de l’Équipe de développement et de les préparer pour la transition vers l’Équipe amateur.  Il continuera de travailler en étroite collaboration avec Ingram.

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Équipe amateur féminine

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Chez les femmes, les membres de l’Équipe nationale ont travaillé au Desert Princess, à Cathedral City, en Californie, sous la direction de l’entraîneur chef Tristan Mullally.

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Mullally nourrit de grands espoirs pour l’année qui vient tandis qu’il continue de préparer ses plans d’entraînement en fonction des besoins individuels de chaque athlète.

« Nous avons eu beaucoup de plaisir au Desert Princess, nous avons utilisé toutes les installations et les responsables du club ont été formidables dans le soutien apporté à notre entraînement, souligne Mullally. Toutes les filles continuent de s’améliorer grâce à l’entraînement et Anne-Catherine (Tanguay), par exemple, a effectué de grands changements au cours des six dernières semaines et je suis très emballé pour ce qui s’annonce au cours de l’année à venir. »

 

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Tanguay, originaire de Québec, prendra de nouveau le départ avec ses coéquipières du Oklahoma Sooners le 9 février prochain lors du Northrop Grumman Regional Challenge, à Palos Verdes Estates, en Californie.

Équipe de développement féminine

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Enfin, les filles de l’Équipe de développement se sont entraînées au The Lodge at Ventana, à Tucson, en Arizona.

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Ann Carroll est l’entraîneure chef de l’équipe de développement féminine.  Le rôle de Carroll a également changé au sein d’Équipe Canada pour la prochaine saison de la même manière qu’en ce qui concerne Ratcliffe.

 

Le saviez-vous? : Carroll agira désormais comme entraîneure chef de l’Équipe de développement féminine, mais elle continuera à travailler avec Mullally au développement des membres des deux équipes.

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Ann Carroll et Tristan Mullally sont tout sourire

Au cas où vous l’auriez raté

Brooke Henderson, de Smiths Falls, en Ontario, a remporté haut la main le tournoi Orange Bowl Championship, à Coral Gables, en Floride, grâce à une partie finale de 67, devançant sa plus proche rivale par cinq coups.

Garrett Rank, d’Elmira, en Ontario, un membre de l’Équipe nationale amateur, a terminé à égalité au 7e rang au 83e Dixie Amateur Championship,  au Heron Bay Golf Club, à Coral Springs, en Floride.

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De Graham à Rory en passant par Ernie, Jack … et Julien

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Graham DeLaet (YouTube)

La question-piège de prédilection au golf québécois pendant les Fêtes consistait à savoir quel «pro» (hommes ou femmes) a été le plus riche boursier lors des tournois en 2013.

Afin de vous accorder le temps de bien y penser, voici d’abord deux nouvelles sur les changements de manufacturier ou commandite.

Golfeur numéro un au Canada, après sa remarquable année, Graham DeLaet est dorénavant vêtu par Puma.

Classé 36e au monde en date du 1er janvier et auteur d’une 2e et 3e place l’an dernier pour des gains de 2 834 700$, DeLaet ne passera pas inaperçu le dimanche après-midi à la PGA par son habillement.

Il annonce qu’il portera le rouge et blanc en dernière ronde au circuit à compter du tournoi State Farm qui débute le 23 janvier à San Diego.

Le golfeur de la Saskatchewan a été le vainqueur de l’Omnium de Montréal au circuit canadien en 2008.

Mentionnons que DeLaet a été choisi joueur par excellence au pays par l’Association canadienne de chroniqueurs de golf. Rebecca Lee-Bentham a mérité l’honneur chez les dames.

Brooke Henderson (qui d’autre?) et Corey Conners ont mérité les honneurs chez les amateurs.

«GENTIL ERNIE» PASSE CHEZ ADAMS

Côté équipement maintenant, la marque Adams a réussi un grand coup en enrôlant Ernie Els.

Bien qu’il ne gagne plus autant, le vainqueur de 70 titres en carrière, dont deux fois chacun les Omniums américain et britannique, demeure une figure très populaire auprès des amateurs partout sur la planète-golf.

«Gentil Ernie» était auparavant associé à Callaway.

OUBLIEZ LA SÉPARATION RORY-CARO

Au plan des mondanités, Rory McIlroy confirme les fiançailles avec sa joueuse de tennis Caroline Wozniacki après les rumeurs de rupture à l’automne.

Il a même publié la photo de la bague sur son site internet le 1er janvier.

Maintenant 10e mondiale, Caro a déjà confirmé sa présence à la Coupe Rogers à Montréal au début août au bonheur du directeur Eugène Lapierre, grand golfeur gaucher.

Il faudra voir concernant la présence de Rory à l’Omnium canadien RBC à Royal Montréal la semaine auparavant.

JACK NICKLAUS FINANCIER POUR LES RÉPUBLICAINS

Dans le milieu politique, Jack Nicklaus organise prochainement à sa résidence de Palm Beach un cocktail-bénéfices au profit du gouverneur de la Floride, Rick Scott.

Le don de base suggéré pour lever votre verre chez Jack et sa dame Barbara est de 10 000$ si jamais vous avez un intérêt.

Nicklaus est un Républicain fini. On l’a vu faire campagne auprès de Mitt Romney lors des élections présidentielles.

Mais plus encore comme intérêt, Scott voudrait créer le «Jack Nicklaus Golf Trail» en aménageant des golfs dans des parcs de l’État qui seraient conçus par qui pensez-vous?

ET LA RÉPONSE EST…

Bon. De retour à la question-piège en vous donnant quelques indices.

Il ne s’agit pas de Dave Lévesque, encore premier dans les gains au circuit du Québec, Max Gilbert, gagnant du Championnat du Circuit de la PGA Canada ou encore Maude-Aimée LeBlanc à la LPGA.

Le meilleur boursier québécois sur un parcours en 2013 a été Julien Trudeau, cadet de Graham DeLaet.

Même si le pourcentage de 10% des gains du joueur tient beaucoup de la légende, les ententes étant variables, le natif de Saint-Lambert a fait «la passe» et ce n’est pas fini.

Julien est déjà largement en avance pour l’année en cours.

Son «patron» a déjà amassé 449 667$ au calendrier 2014 avec deux top dix en trois tournois.

Plus encore, lui aussi a signé une entente avec Puma pour arrondir ses fins de mois.

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Bonne et très heureuse année garantie… au Québec!

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Brandt Snedeker (Golf Canada/ Bernard Brault)

D’accord, vous l’avez entendu cent fois et plus ce souhait à l’épicerie, à la station-service, de la part de tous les animateurs de radio en plus du beau-frère.

Mais notre « Bonne et heureuse année » possède toutefois la particularité et l’attrait de surpasser les vœux pour s’avérer une réalité assurée et même garantie au golf québécois.

De fait, 2014 sera une année de totale exception au plan des présentations d’envergure.

Pour la première fois, le Québec recevra deux fois la PGA l’été prochain.

La « fête » commencera avec le retour de l’Omnium canadien RBC du 21 au 28 juillet à Montréal.

La série des Champions enchaînera du 1er au 7 septembre en déménageant à Québec après quatre ans dans la région de Montréal.

Seuls quelques États comme la Californie, les Carolines, Hawaii, la Géorgie et la Floride notamment reçoivent les deux circuits.

Le Québec appartient à ce club sélect ce qui n’est pas rien.

DÉJÀ DES PLANS POUR l’OMNIUM

Parler d’un retour de l’Omnium national à Royal Montréal, berceau du golf en Amérique, est une réalité, la précédente présentation remontant à septembre 2001.

Comment oublier. Pas tant pour la victoire de Scott Verplank, mais un autre événement qui a changé le monde pour toujours.

C’est le lendemain de la ronde finale que les deux tours de New York étaient réduites en poussière et cimentière suite à l’attaque terroriste du 11 septembre.

Jasons golf.

Sans conteste «Monsieur Omnium canadien» à titre d’organisateur, Bill Paul était de passage à Montréal avant les Fêtes. Bien sûr qu’on l’a rencontré en compagnie de Dan Pino et Rémi Bouchard, respectivement directeur des communications et directeur régional au Québec et au Nouveau Brunswick chez Golf Canada.

Sachez que Bill est un ami du Québec. Et pas seulement en paroles, mais dans ses actions comme il l’a prouvé lors des Omniums de 2011 et 1997.

Il est déjà au travail.

La présence d’un talent d’ici est assurée.

Bill veut ramener une qualification strictement québécoise ce qui avait permis à Stéphane Talbot de se retrouver parmi les meneurs en 1997.

Il est encore tôt pour connaître les noms des têtes d’affiche qui feront le voyage.

Brandt Snedeker devrait être présent à titre de champion en titre.

Jim Furyk, Luke Donald, Graeme McDowell, Ernie Els, Hunter Mahan, Matt Kuchar devraient faire escale à Montréal pour la plupart, étant tous des porte-couleurs d’Équipe RBC.

Puisque Montréal suivra l’Omnium britannique, un jet a été nolisé pour transporter les joueurs gratuitement.

TOUT VA TRÈS BIEN À QUÉBEC

Le championnat de Québec est bel et bien celui de Montréal que Synchro Sports déplace au club La Tempête à la suggestion de la PGA ne raffolant pas d’être deux fois dans une même ville.

La précédente visite de la PGA dans la Vieille capitale remonte à 1956 avec la victoire de Billy Casper à l’Omnium Labatt à Royal Québec.

Synchro s’est associé à Jacques Tanguay (Remparts, Rouge et Or, Challenge de tennis Bell), ce qui fonctionne très bien, merci.

Même si l’annonce n’a été faite qu’à la mi-décembre, on me dit que les ventes fonctionnent très bien.

Avec toutes ces joyeuses nouvelles, vivement le retour à l’été!

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Les champions de la PGA à Québec bien avant les Nordiques!

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Oups! Alors que c’est le hockey de la LNH qui fait tant jaser et encore plus rêver à Québec, voilà que c’est le golf de la PGA qui s’y installe en premier avec ses légendes.

Plutôt que les Nordiques qui ne sont toujours que spéculation, la réalité veut que le Championnat de Montréal, à la série des Champions, deviendra très ironiquement le Championnat… de Québec, cela aussitôt que l’an prochain.

Tout est fait.

Le site, les dates, la bourse et quoi encore ont été officialisés vendredi en point de presse par le promoteur Synchro-Sport.

Après les deux premières années au Fontainebleau et les deux suivantes à la Vallée du Richelieu, la cinquième présentation du Championnat surviendra au club La Tempête, la semaine du 1er au 8 septembre, avec une bourse de 1,6 million de dollars à distribuer.

D’autres enjeux comme l’association avec les paliers de gouvernement, des commanditaires et le groupe Tanguay, étaient réglés.

De fait, même les billets pour assister étaient imprimés et prêts à être lancés en circulation depuis plusieurs mois quand même.

Il fallait toutefois attendre la négociation avec la PGA, laquelle est responsable avec Golf Canada de ramener l’Omnium canadien RBC au Royal Montréal en juillet, ce qui est depuis plus récemment affaire conclue entre François Plamondon, grand argentier de Synchro, et Mike Stevens, président chez les 50 ans et plus.

Directeur du Championnat, David Skitt a vite ajouté une précision.

«L’Omnium (canadien RBC) n’est pas le seul motif de notre présence à Québec. Nous somme ici sachant que la population est toujours très impliquée et présente lorsqu’il s’agit d’appuyer le Rouge et Or, les Remparts, le tennis ou le Crash Ice », d’insister Skitt.

Est-ce nécessaire de préciser que Skitt se fait très vite de nouveaux amis!

PRESQUE SIX DÉCENNIES PLUS TARD

La confirmation est majeure pour Québec.

Grâce au rayonnement de Golf Channel comme diffuseur, les images du Championnat seront vues dans presque 200 pays.