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Bravo à Golf Québec et à Constant Priondolo

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Jean-Pierre Beaulieu, directeur général, Marcel Paul Raymond, président, Marc Tremblay, ex-officio, et François Roy, directeur général adjoint (Photo de Golf Québec)

Malgré un printemps de misère qui ressemble plus à la fin de l’automne, il y a, heureusement, de bonnes nouvelles pour égayer notre quotidien.

Je parle de Golf Québec, choisi gagnant d’un Maurice au gala Sports Québec la semaine dernière, et de la nomination de Constant Priondolo à la présidence de la PGA du Canada.

Golf Québec l’a emporté dans la catégorie Fédération par excellence, ce qui n’est pas rien avec tout ce qui se fait de bien au regroupement du sport québécois installé dans les entrailles du Stade olympique.

Le directeur Jean-Pierre Beaulieu et son équipe peuvent être fiers.

Un coup de chapeau spécial au président sortant Marc Tremblay puisque ce prix est attribué pour 2013. Et chapeau aussi à ses prédécesseurs en remontant à Dave Shea, Tom Hunter, Jacques Nols, Roger H. Legault, Michel Saint-Laurent, André Fournier, André Bourgoyne, Jean-Claude Gagné et Diane Dunlop-Hébert. La liste est longue des dirigeants qui ont mis l’épaule à la roue au fil de toutes les années.

Madame Dunlop-Hébert a recruté et mis dans la chaise Marc Tremblay avant d’être promue à Golf Canada, où elle a accédé à la présidence nationale.

Toujours au sujet de Marc Tremblay, son mandat à la présidence prévu pour un an aura, finalement, duré trois en raison des besoins et zéro aspiration pour accéder au niveau pan-canadien.

«Je veux servir ici», a-t-il maintes fois admis.

Tant mieux!

Avec Marc Tremblay à sa barre, Golf Québec est parvenu à réunir les associations chez les amateurs, les pros, les proprios et d’autres pour œuvrer en équipe plutôt qu’en solo pour relever les défis de l’avenir.

Nouveau président, Marcel-Paul Raymond maîtrise bien les dossiers ce qui est bénéfique, les honneurs dans le sport condamnant à la recherche perpétuelle du succès.

À LA PRÉSIDENCE CANADIENNE

La nomination de Constant Priondolo à la présidence de la PGA du Canada est majeure.

Il passe à la tête de la plus imposante association de l’ensemble du sport professionnel au pays.

En plus de ses responsabilités à la Vallée du Richelieu, il devient responsable de 3700 collègues au pays.

Cette présidence québécoise est la première depuis Dave Ross en 1985-86.

Le Québec doit s’en réjouir. Alors que le golf doit faire face à de grandes décisions pour son futur, pas vrai qu’il est souhaitable de compter sur un représentant d’ici à la table.

À SURVEILLER…

Les pros du Québec vont jouer en Ontario l’été prochain comme il sera annoncé en milieu de semaine.

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Circuit de la PGA : faut voir des vedettes, ça presse!

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Seung-Yul Noh (Chris Graythen/ Getty Images)

Allo! Aaallooooh la PGA! Y a-t-il quelqu’un au quartier général de Ponte Vedra pour envoyer un courriel aux grands noms pour leur dire que le calendrier est en cours?

Seung-Yul Noh est sorti vainqueur à la Nouvelle-Orléans. Son nom s’ajoute à Matt Every, Chesson Hadley, Russell Henley, Chris Kirk, Steven Bowditch, tous aussi très connus de la parenté, ce qui s’arrête là.

Pas surprenant qu’ils soient aussi nombreux les nouveaux visages dans le cercle des gagnants. Les têtes d’affiche jouent si peu et certainement pas assez. Même avec Tiger Woods sur le carreau pour peut-être l’ensemble de l’année, les vacanciers de luxe sont devenus plus nombreux que jamais.

Pourtant au sommet de sa carrière, Adam Scott n’a disputé que six tournois sanctionnés par le Circuit de la PGA depuis le début de l’année. Rory McIlroy entreprendra son septième à Greensboro jeudi. Gagnant de la Coupe FedEx 2013, Henrik Stenson n’en compte que sept lui aussi. Dustin Johnson, Luke Donald et Jason Dufner suivent avec huit.

Bubba Watson, nouveau titulaire du Tournoi des Maîtres, n’est pas en « burn out » avec neuf sorties. Pas fort comme implication, la semaine qui commence étant la 19e de l’année.

Trop d’argent, pas assez de respect!

L’absentéisme est rendu tel que Phil Mickelson et Ernie Els passent presque pour des hommes de fer avec dix participations. Matt Kuchar est tout proche avec onze départs, ce qui n’a rien pour faire craindre l’épuisement professionnel encore là!

À une époque qui ne remonte pas à celle des tiges en bois quand même, Arnold Palmer, Lee Trevino et Billy Casper répondaient « présent » entre 22, 23, 24, voire 25 fois bon an mal an et aucun n’est mort d’assiduité. À son rythme actuel, Scott n’atteindra pas ce total avant juin… 2015.

« Il y a tellement d’argent de nos jours que les meilleurs n’ont plus besoin de vivre dans leurs valises comme auparavant », me disait Bill Paul très au fait de la situation dans son rôle de (très bon) directeur de l’Omnium canadien RBC.

Je veux bien comprendre, mais cela ne représente pas moins un danger lorsque mon ami Michel Lacroix est le nom le plus connu au golf de la PGA à RDS comme cela se produit trop souvent. Idem pour Carlo Blanchard.

Les gestionnaires des compagnies ne sont pas aveugles.

Pendant combien d’années encore vont-ils verser six et sept millions en bourses chaque semaine, si les gros menés passent plus de temps dans leur piscine?

On appelle cela le sens des responsabilités!

 

Blog Gordon et le golf

Garder la foi

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Le titre du communiqué se lit : « Le boom du golf en péril? ». Et voici l’accroche : « Pour croître et garder la santé, le golf canadien doit attirer plus de jeunes, mais son avenir est menacé en raison du manque d’orientation de l’industrie du golf,  a-t-on entendu jeudi, lors du premier Sommet du golf canadien. »

La date? Le 8 décembre 1989.

Il y a 25 ans, alors rédacteur en chef du magazine SCOREGolf, j’ai organisé et présidé le premier – et, à ce jour, le seul – Sommet du golf canadien. Ouvert au public, cet événement rassemblait les chefs de file des associations nationales de golf et d’autres parties intéressées. Chacun a pu expliquer son rôle dans le contexte du golf et, surtout, participer à des ateliers portant sur des sujets comme la prochaine génération des golfeurs canadiens, le développement et le financement des installations, l’enseignement et l’entraînement, la recherche, et j’en passe. Était réunie une distribution tout étoile de personnes qui, à titre individuel ou comme représentants du golf canadien, étaient directement intéressées par ce sommet.

Il y a peu, j’ai ressenti le besoin de sortir mes dossiers sur ce sommet dans la foulée de propos alarmistes qui, émanant des médias et de l’« industrie », prédisaient la mort imminente du golf. Je ne me suis pas luxé une épaule à force de me taper dans le dos pour me féliciter de ma grande prescience en 1989, mais peut-être me suis-je étiré un muscle…

Puis, j’ai lu The Kingdom of Golf in America de Richard Moss et The Future of Golf in America de Geoff Shackelford.

Le premier ouvrage, écrit par un intellectuel doublé d’un passionné de golf, est un guide historique qui relate le flux et le reflux du golf aux États-Unis; le second est une compilation d’essais par un rédacteur de golf perspicace, aux opinions bien arrêtées. Les deux nous disent sans ambages que les gens qui se soucient du golf ont été ses gardiens en des temps difficiles – pas seulement depuis 25 ans, mais depuis des siècles.

Distiller l’essence de ces deux livres tout en faisant des recherches connexes fut une leçon d’humilité. Pourtant, après mon arrivée à SCOREGolf en 1985,  quelqu’un avait attiré mon attention. Tom McBroom, aujourd’hui l’un des architectes de golf canadiens les plus renommés, avait pris quelques heures pour expliquer les faits de la vie golfique au novice que j’étais. À l’époque, m’a-t-il dit, nous étions en plein dans le troisième boom golfique du XXe siècle. Le premier avait eu lieu dans les années 1920, ce que l’on appelle souvent « l’âge d’or » du golf, et le deuxième dans les prospères années 1960. Indéniablement, ces deux vagues avaient atteint un creux après avoir déferlé, mais, cette fois, tout indiquait que le boom serait éternel.
Erreur. Le golf, comme ses adeptes, est un être vivant, qui respire. Comme la nôtre, son existence est faite de cycles. Actuellement, nous sommes dans un cycle négatif. Pour combien de temps? Les paris sont ouverts. Mais cette incertitude est inacceptable à notre époque de « fast-food », où la gratification doit être immédiate.

L’alarmisme et l’opposition systématique sont à la mode. Après avoir entendu des commentaires sinistres en provenance du salon du golf de la PGA à Orlando, en janvier, mon fils de 27 ans m’a passé un coup de fil. Lui et sa fiancée jouent deux ou trois parties par semaine sur un parcours miniature, accompagnés d’amis. « Je voulais juste te dire, papa, que le golf, c’est fini pour nous. On nous dit que ce n’est plus agréable ni cool. » (Bien sûr, il plaisantait, ayant hérité de son père un discutable sens de l’humour.)

Mon fils s’est initié au golf en bas âge, puis, comme beaucoup d’autres, l’a délaissé pour se consacrer à ses études et à la quête d’un emploi. Le voici maintenant rentré dans le rang, et pour toujours, je l’espère. Il a adopté le golf parce que ma femme et moi le pratiquions, et nous-mêmes le pratiquions parce que les parents de ma femme nous avaient donné à chacun un ensemble de bâtons incomplet. Et c’est ainsi que nous nous retrouvions tous les quatre sur le neuf trous local pour y vivre une expérience qui faisait oublier nos scores.

Dans son ouvrage, Richard Moss insiste sur le fait que le sentiment « communautaire » est garant de la vitalité du golf. En lisant ces passages, j’ai souri, me rappelant ces parties de neuf trous avec mes beaux-parents et, plus tard, avec mon fils et son grand-père. Qui gagnait? Je ne me rappelle pas. Et je m’en fiche. En dernière analyse, nous avons tous gagné.

Telle est l’essence du golf. Et le golf survivra malgré les prédictions sinistres qui ont actuellement cours. Celles-ci, comme l’histoire le prouve, ne sont qu’un rabâchage, mis au goût du jour, de rengaines dont on nous a rebattu les oreilles durant les nombreuses périodes où le golf a subi un déclin  – chaque fois temporaire, ne l’oublions surtout pas.

« Nous avons vu l’ennemi et c’est nous », constatait il y a longtemps un personnage de bande dessinée. Nous sommes tous à blâmer pour certaines carences du golf d’aujourd’hui – jeu lent, parcours trop difficiles, droits de jeu trop élevés – mais elles ne sont pas gravissimes. On peut y remédier avec un peu de soin et d’attention, sans procéder à une chirurgie invasive. Si vous aimez vraiment le golf, vous vous sentirez personnellement responsable.

Protégez-le. Adoptez des initiatives inspirées du sens commun comme « Partir des tertres avancées ». Appuyez Premiers élans CN, Golf en milieu scolaire et la Fondation Golf Canada. Créez ce sentiment communautaire si cher à Richard Moss en invitant un jeune, votre conjoint ou conjointe ou un ami à jouer avec vous. Et gardez la foi dans le golf et dans son avenir. Votre acte de foi ne sera pas déçu, une fois de plus.


À PROPOS DE JOHN GORDON

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John Gordon est un touche-à-tout du golf canadien depuis 1985, année où il a été nommé rédacteur en chef du magazine SCOREGolf. Son curriculum vitae est à cet égar d éloquent. Après SCOREGolf, il a été Directeur des communications et des services aux membres de Golf Canada et a mis sur pied le magazine Golf Canada. En 1994, il est devenu rédacteur de golf à temps plein. Il a écrit huit livres, a tenu une chronique dans le Toronto Sun et dans le National Post et a rédigé d’innombrables articles pour des publications de golf. Il a été analyste de golf à Rogers Sportsnet pendant huit ans avant de se joindre à ClubLink, l’un des plus importants propriétaires-exploitants de terrains de golf au monde, où il a structuré le service des communications et relancé le magazine d’entreprise ainsi que le site Web.

En 2014, John est revenu à la rédaction à temps plein, et il collaborera régulièrement à golfcanada.ca. Vous pouvez le suivre sur Twitter à @gordongolf.

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Atlantic City : Jouez autour de la « ville du jeu »

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Stockton Seaview

La Côte Est du continent américain regorge de terrains de golf magnifiques et la région d’Atlantic City ne fait pas exception à cette règle.

McCullough’s Emerald, Shore Gate, Seaview, Twisted Dunes, Blue Heron Points… Il se peut que ces noms ne vous soient pas forcément familiers. Par contre, si je mentionne Ventnor, Boardwalk et Atlantic Avenue, je pense que ça va vous en dire un peu plus et si, en plus, j’ajoute Trump Casino, Tropicana et Ceasar’s, vous allez sans doute deviner que je vous parle d’Atlantic City, New Jersey.

Reconnue pour avoir inspiré la création du fameux jeu de Monopoly, « AC », comme on surnomme cette ville, est encore mieux connue pour ses casinos et son célèbre Boardwalk. Il y a très peu de temps encore, toute la publicité de cette ville du New Jersey tournait autour de ces maisons où les visiteurs peuvent satisfaire leur appétit des jeux de hasard.

Cette tendance commence toutefois à changer. Le Bureau du Tourisme fait maintenant de sérieux efforts pour que les gens découvrent autre chose que les casinos qui, il ne faut pas en douter, demeurent toutefois le pain et le beurre d’Atlantic City.

Un beau choix

Saviez-vous que, dans un rayon de 45 minutes en voiture, à partir du centre-ville, on peut découvrir une véritable destination golf avec une quantité de parcours qui valent amplement le déplacement. Alors, pourquoi pas allier le casino et le golf  ?

D’abord, les coûts d’hébergement sont vraiment intéressants, puisque les gros hôtels abritant des casinos proposent des chambres à des prix très raisonnables. De plus, toutes les commodités, telles : restauration, aires de jeux ouvertes à tout heure du jour et de la nuit, boutiques, bref tout est sous un même toit. Évidemment, pour les gens qui aiment ça, il y a là une vie nocturne qui n’est pas à dédaigner. Pour ceux qui aiment vivre le jour, il y a également plein d’activités, dont le sujet qui nous intéresse le plus, le golf ! Le New Jersey compte quelque 300 terrains de golf.

Dans la région immédiate d’Atlantic City il s’en trouve 19, dont le joyau est sans contredit le Atlantic City Country Club, fondé en 1897. Dès l’arrivée, tout le groupe est intrigué par la cloche qui trône au devant d’un chalet qui a conservé tout son cachet. Cette cloche rappelle qu’au début du siècle, alors que l’automobile et les routes en étaient à un stage très peu développé, c’est le tramway qui transportait les golfeurs vers Atlantic City. Et la cloche servait à annoncer le dernier départ vers la ville.

Les premières impressions en pénétrant dans le chalet laissent déjà deviner toute l’histoire qu’il abrite. Ça commence avec la salle à dîner huppée où l’on peut voir plein de photos de personnages connus, allant de la vedette de cinéma aux membres illustres de la Mafia en passant par des athlètes connus et des chanteurs et chanteuses réputés. En passant au vestiaire, garni de luxueux fauteuils en cuir, avec un endroit pour prendre le lunch, les yeux s’illuminent devant les casiers au nom de Willie Mays, de Jack Nicklaus ou encore de Sam Snead, et on en passe. Voilà des souvenirs incroyables.

Le parcours s’étire sur 6577 verges et présente un bon défi à chacun des 18 trous. De plus, on jouit d’une superbe vue sur les casinos de la grande ville. Mais si vous le pouvez, gardez vous cette destination pour le dessert et allez d’abord découvrir quelques autres petits chef d’œuvres d’architecture de golf, à commencer par un arrêt au McCullough’s Emerald Golf Links.

Pour tous les goûts

Fondé par le maire actuel d’Atlantic City, James « Sonny » McCullough, ce parcours de 6535 verges a été construit sur un site d’enfouissement et se veut une réplique de 17 des trous les plus pittoresques des Îles britanniques. D’ailleurs, le 7e trou a été construit en hommage à l’architecte Alister McKenzie.

Vous pouvez ensuite aller plus au sud, au club Shore Gate d’Ocean View, que les gros cogneurs peuvent jouer avec un immense plaisir jusqu’à 7227 verges. Mais attention, le grand défi de ce parcours réside dans les innombrables fosses de sable que le golfeur a toujours dans la face. À tel point qu’il se prend plusieurs paris à savoir quel membre du quatuor en visitera le plus !

Une visite au Seaview Resort & Spa, un complexe de 36 trous, plaira à tout le monde. Le parcours Bay Course s’étend à 6247 verges, ce qui semble peu mais le problème là-bas, c’est le vent et, quand il se met de la partie, ce n’est pas de la rigolade. Il suffit de le demander aux filles de la LPGA qui y disputent chaque année le tournoi ShopRite. Lors de notre visite, on procédait cependant à l’allongement de quelques trous.

Un autre terrain à découvrir est le Twisted Dunes. Les deux noms disent réellement ce qu’ils signifient et le visiteur doit être dans une bonne condition pour espérer un bon score sur un parcours qui peut être joué jusqu’à 7248 verges.

Avant d’aller au Atlantic City Country Club, je vous propose une visite au Blue Heron Pines, de la compagnie appartenant à Ron Jaworski. Cet ancien joueur de football n’était pas présent lors de notre visite, mais son épouse Liz s’est chargée, avec une très grande classe, de l’accueil des visiteurs. Un autre beau défi de golf sur un terrain qui s’allonge jusqu’à 6810 verges.

Si les casinos demeurent l’âme d’Atlantic City, il se trouve autre chose à faire, dont le golf, et sur des parcours de premier ordre. L’avantage c’est qu’il est facile de s’y rendre en voiture ou par avion, jusqu’à Philadelphie, qui est à seulement une heure et demie de route de la « ville du jeu ».

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Une année de vérité

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Trois clubs de golf ont officiellement annoncé qu’ils ne seront plus en opération en 2014 : Mascouche, Deux-Montagnes et La Providence. Faut-il presser le bouton de panique?

Peut-être pas. Pour le moment, on a juste entendu une alarme qui nous avertit qu’un danger nous guette si on ne réagit pas. Alors, pas de panique…

Plusieurs motifs ont mené à cette décision des propriétaires de ces trois établissements dont, évidemment, une baisse de revenus. Mais personne n’a encore parlé de faillite! Comprenons-nous bien : leur décision aurait-elle été la même si on ne leur avait pas proposé une très belle opportunité d’affaires dans le domaine immobilier? Ou encore s’ils étaient convaincus de pouvoir compter sur la relève requise pour opérer leur entreprise?

Ces questions méritent d’être posées mais, quoi qu’il en soit, il faut reconnaître que la participation est en baisse depuis quelques années dans nos clubs de golf. Ce constat dérange au point où les diverses associations – sept en tout, du jamais vu auparavant – se sont donné la main pour former une table de concertation dont l’objectif est de trouver une façon d’augmenter la fréquentation des terrains de golf et d’acquérir (ou reconquérir) plus de clients.

En tout premier lieu, on a commandé aux firmes Ipsos Marketing et DAA Stratégies une analyse du potentiel du marché du golf au Québec, afin d’identifier les problèmes de l’industrie et d’être davantage en mesure de les affronter.

On en est rendu-là.

Deux bonnes nouvelles

La création d’une table de concertation et l’identification des problèmes par une firme externe sont, en soi, deux excellentes nouvelles. Mais maintenant qu’on connaît mieux le marché, il reste à voir comment réagiront non seulement ceux qui ont commandé cette étude, mais surtout ceux qui ne sont associés à aucun organisme ou mouvement et qui croient être capables de surmonter, par eux-mêmes, les défis qui se posent.

Il y a plusieurs clubs appartenant à l’entreprise privée, pour lesquels on n’a pas les chiffres exacts de leur rendement financier. Par contre, de nombreux observateurs s’entendent sur le fait que, grosso modo, la moitié des clubs de golf ont accusé un déficit au terme de leurs opérations en 2013, alors que le quart a fait des profits et que l’autre quart avait des revenus équivalents à leurs dépenses.

C’est peut-être mieux ou pire mais, chose certaine, les prochains mois s’annoncent excitants et ce n’est pas seulement en raison du retour de l’Omnium canadien RBC au club Royal Montréal. Il y aura également de l’action dans les coulisses du golf québécois, car 2014 est une année de vérité pour cette industrie.

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Longueuil innove avec un parcours de 12 trous

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Le Parcours du Cerf

Dès ce printemps, les amateurs qui se rendront au Parcours du Cerf de Longueuil auront l’occasion de vivre une toute nouvelle expérience de golf en y jouant un parcours de 12 trous – le tout premier du genre au Québec et le deuxième au Canada!

Le but de l’exercice c’est de répondre aux attentes exprimées par les nombreux amateurs souhaitant réduire le temps de jeu sans pour autant diminuer la qualité et les défis du jeu de golf », résume sommairement Bernard Vaillancourt, directeur général de ce club de golf municipal qui compte maintenant 39 trous plutôt que ses 36 originaux – les 18 du Brocard et les 18 du Faon – inaugurés en 1992.

Pour faciliter et bien comprendre le déroulement futur des opérations, ces trous seront divisés ainsi :

  1. Le Classique, constitué de trois parcours de neuf trous maintenant identifiés au nom des couleurs Bleu, Blanc et Rouge et sur lesquels les golfeurs pourront jouer leur traditionnel parcours de 18 trous;
  2. L’Actuel, un parcours de 12 trous dédié principalement aux gens qui désirent allier plaisir de jouer, coût abordable et un temps de jeu inférieur à trois heures.

Et tout cela dans un club réputé pour offrir d’excellentes conditions de jeu.

« D’autres expériences similaires ont connu un grand succès ailleurs dans le monde, notamment en Australie et aux États-Unis, indique Vaillancourt. Au Canada, le club Derrydale en Ontario connaît un franc succès depuis quelques années avec un tel concept de 12 trous et un autre est actuellement en construction à Saskatoon. Dans ce domaine comme dans un autre, l’idée est d’offrir aux consommateurs ce qu’ils veulent et, dans cette perspective, tous les indicateurs nous suggèrent fortement d’innover. »

Le fait d’innover constitue évidemment un risque en soi mais, selon le directeur général, il s’agit d’un « risque calculé ». « Innover est extrêmement stimulant, précise-t-il. Pour les valeurs qu’il véhicule et le plaisir qu’il procure, le golf demeure encore le sport le plus pratiqué et le plus apprécié au Québec. Si l’on parvient à le rendre plus accessible en réduisant ce qu’il en coûte et le temps qu’il faut pour le jouer, je persiste à croire que nous éliminons deux grands irritants. »

Nouveaux trous

D’une distance variant de 2491 à 3358 verges (selon les jalons choisis), ce nouveau parcours à normale 44 sera constitué de 4 normales 4, 2 normales 5 et de 6 normales 3 qui s’étendent sur des distances de 126 à 197 verges, à partir des jalons les plus reculés. Il ne s’agit donc pas non plus d’un chip and putt, comme disent les Anglais, et tous les bâtons devraient y être utiles.

L’architecte de golf Yannick Pilon a orchestré ce résultat en ajoutant trois nouveaux trous au neuf de retour du parcours Faon. Il va sans dire qu’il est très fier d’être de l’équipe qui a lancé ce premier projet du genre au Québec : « Avec son design moderne, la variété de ses 12 trous et les standards de qualité du Parcours du Cerf, ce nouveau parcours saura répondre aux besoins des golfeurs et golfeuses de tous niveaux, assure-t-il. De plus, il sera possible de le jouer en moins de trois heures. »

Voilà un aspect important à considérer, car en raison d’une vie professionnelle ou familiale qui leur réclame passablement de temps, les gens ont de moins en moins de temps à consacrer au golf. D’autres n’ont tout simplement pas le désir, l’énergie ou la condition physique requise pour jouer une ronde de 4h30 et le fait de jouer 12 trous plutôt que 18 fera bien leur affaire.

La direction de l’établissement estime que ce parcours pourra recevoir à lui seul jusqu’à 30 000 rondes de golf par année. Quant à la tarification, elle variera entre 21$ et 35$, tout dépendant de la période de l’année ou de la journée à laquelle on accèdera au parcours. En prime, les résidants de Longueuil ont droit à un escompte appréciable.

Une expérience totale pour les amateurs de golf d’aujourd’hui

Le golf est une expérience qui, dans son ensemble, s’étend beaucoup plus loin qu’au jeu lui-même et le Club de golf du Parcours du Cerf en est un bel exemple.

Cet établissement appartenant à la ville de Longueuil a notamment comme mission « d’offrir aux citoyens et à sa clientèle des parcours et des installations de grande qualité, de rendre le jeu de golf accessible à tous et d’assurer le développement de la relève. Le tout dans un cadre enchanteur et respectueux des pratiques environnementales reconnues ».

À cet égard, le Parcours du Cerf est reconnu depuis des années pour la qualité de ses installations. Dessinés par l’architecte Graham Cooke, les allées des parcours sont bordées de nombreuses buttes, fosses de sable et plans d’eau. Les verts sont surélevés et leurs ondulations ne sont pas dramatiques, mais nécessitent une bonne lecture. Rappelons enfin que ces allées et verts sont en agrostide.

Pour plus d’information : parcoursducerf.com

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Place à la tournée « Golf Demo Tour »

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Si vous voulez faire l’essai des plus récents équipements de golf, la tournée GOLF DEMO TOUR vous permettra de le faire en plein air à compter de ce week-end.

Composée de Robert Interlino, Daniel Desforges, Nancy Day, Jean-Marc Tourangeau et Denis Miron, l’équipe de GOLF DEMO TOUR saura accueillir les amateurs de golf de chez nous.

Consultez l’horaire et passez le mot à vos amis golfeurs. Bonne tournée !

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Un précurseur en terme de technologie

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Bois de départ JetSpeed (Photo TaylorMade)

Le fondateur de TaylorMade, Gary Adams, a rapidement compris une importante prémisse dans l’industrie du golf : si les meilleurs golfeurs jouent avec de l’équipement TaylorMade, le golfeur de tous les jours achètera des produits de marque TaylorMade. À l’époque, cette vision ne faisait pas l’unanimité, mais aujourd’hui, elle explique parfaitement pourquoi ce fabricant demeure un précurseur en matière de technologies et de marketing.

Bois de départ JetSpeed – 349 $

Il s’agit du premier bois de départ muni de la fameuse technologie « Speed Pocket ». Cette dernière permet de minimiser l’effet rétro, principalement lorsque la balle est frappée dans le bas de la face du bâton. De plus, la position du centre de gravité a été abaissée, mais avancée de façon à abaisser davantage le centre de gravité. Voilà pourquoi TaylorMade suggère d’opter pour un angle d’ouverture plus élevé.

Bois d’allée et hybrides JetSpeed – 259 $/229 $

Contrairement aux anciennes versions, la technologie « Speed Pocket » sur les nouveaux bois d’allée et hybrides JetSpeed est beaucoup plus petites et a été remplie de polymère afin de maximiser les sensations et le son, en plus d’éviter aux saletés de s’y loger. Un nouveau positionnement du centre de gravité permet de diminuer l’effet rétro comparativement à la version RBZ Stage 2.

Bois de départ SLDR – 449 $

La technologie du poids amovibles sur rail permet de positionner une masse de 20 grammes selon 21 positions. Étant positionné près de la face, cette technologie change considérablement la position du centre de gravité comparativement aux anciens modèles. L’embout de la tige permet également de modifier de plus ou moins 1,5 degré l’angle d’ouverture, pour un total de 12 possibilités.

Bois d’allée et hybrides SLDR – 299 $/249 $

Contrairement à la famille JetSpeed, les nouveaux bois d’allée et hybrides SLDR proposent un ajustement au niveau de l’embout de la tige. Une douzaine de positions différentes vous permettent d’augmenter ou de diminuer de 1,5 degré l’angle de la tête de votre bâton.

Fers Tour Preferred CB/MC/MB – 999 $/1099 $/1199 $

Conçu pour le golfeur qui recherche le maximum d’un fer forgé, la nouvelle famille de fers TaylorMade Tour Preferred propose trois modèles au fini satin-chromé. Les fers Tour Preferred CB et MC offrent la technologie Speed Pocket pour les fers 3 à fers 7 afin de maximiser le coefficient de restitution (effet trampoline) dans le bas de la face.

Balles Tour Preferred – 50 $

Fabriquées et conçues avec l’aide de plusieurs professionnels renommés, les nouvelles balles Tour Preferred (4 couches) et Tour Preferred X (5 couches) possèdent une nouvelle enveloppe en uréthane, plus durable mais offrant autant d’effet rétro. La principale différence entre les deux modèles se situe au niveau de la trajectoire de la balle avec les fers longs et moyens, alors que la Tour Preferred aura davantage d’effet rétro.

Quelques faits intéressants :

Ce sont les bois fabriqués en métal qui ont fait la popularité de TaylorMade. Pour maximiser l’engouement, le fondateur, Gary Adams, avait convaincu pas moins de 47 golfeurs professionnels pour qu’ils utilisent ses nouveaux « metalwood ».

Au début des années 90, TaylorMade a injecté la plus grosse somme d’argent jamais investi dans un budget publicitaire, soit 18 millions de dollars, afin de lancer la nouvelle technologie des tiges Bubble avec les bois Burner.

En 1997, le groupe TaylorMade-Salomon est acheté par Adidas Group pour la somme de 1,53 milliards de dollars. À partir de ce moment, l’objectif était de dominer le marché des bois de départ.

Blog Gardez le contact avec Équipe Canada

Ajustement d’attitude

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Tristan Mullally (Golf Canada)

Êtes-vous un thermomètre ou un thermostat? Voilà une question qui peut sembler étrange, mais je l’ai souvent posée aux membres d’Équipe Canada. Selon moi, le golf, plus que tout autre sport, est un reflet de la vie, avec ses hauts et ses bas innombrables. Nos réactions dans les moments importants peuvent avoir des conséquences longtemps après. la plupart des golfeurs laissent leurs résultats contrôler leur attitude. S’ils jouent bien, tout va pour le mieux; quand leur jeu est mauvais, leur attitude l’est tout autant. allez dans le pavillon après une partie et vous entendrez des conversations entières portant sur les coups ratés, les trois coups roulés et les balles perdues à jamais. Dans la vie ou sur le parcours, quelqu’un tire-t-il avantage de cette attitude négative?

La règle des 50%

50% de vos partenaires de jeu se fichent de votre score de 80 et les autres souhaitent que vous ayez joué 81.

Des facteurs tels que la météo, l’état du terrain et les résultats des autres joueurs échappent à votre contrôle, mais vous êtes complètement maître de votre réaction à chaque coup. La phase la plus importante de tout coup pourrait bien se résumer aux quelques premières secondes après l’impact. Ce que vous faites à ce momentlà pourrait engendrer de merveilleux souvenirs ou provoquer une cascade d’événements qui vous empêcheront de jouer au mieux de vos capacités.

Les moments qui suivent chaque coup fournissent une retroaction que vous pouvez ou bien célébrer, ou bien mettre à profit pour vous ajuster. Si vous êtes un thermomètre, vous réagissez et affichez le changement dans votre comportement. Selon le résultat du coup, votre température (attitude) est susceptible de changer radicalement. Si vous êtes un thermostat, vous gardez le contrôle et vous pouvez régler votre température optimale sans égard au résultat.

Exercice d’habileté

Tout est question de contrôle.

Le contrôle de votre attitude est une habileté et, comme pour toute habileté, vous pouvez la posséder à fond si vous vous entraînez correctement.

Allez sur un vert d’exercice pour coups lobés et prenez deux balles pour chaque cible. Choisissez une trajectoire et un point d’atterrissage bien définis, exécutez votre séquence préparatoire, puis frappez votre premier coup.

Analysez le résultat. Le contact était-il celui que vous souhaitiez? La balle a-t-elle atterri au bon endroit? S’est-elle comportée sur la surface comme prévu? Où a-t-elle terminé sa course?

À l’aide de ces critères, vous pouvez vous ajuster pour le deuxième coup. Le truc consiste à profiter d’une rétroaction constructive à partir du résultat, plutôt que d’y réagir émotionnellement.

Avec votre deuxième balle, essayez de mettre en oeuvre les ajustements requis pour obtenir le résultat souhaité. Cela peut se traduire par un changement de bâton ou de point d’atterrissage, ou le choix d’un repère technique pour améliorer le contact. N’oubliez pas que le but est d’obtenir une rétroaction et de faire des ajustements.

Après la deuxième balle, répétez le processus : analysez le résultat, mais cette fois, simulez les changements nécessaires sans frapper d’autre balle. Réfléchissez aux ajustements et poursuivez votre chemin vers la deuxième cible, comme vous le feriez sur le parcours de golf.

Si vous avez exécuté le coup tel que planifié, vous devriez célébrer; pour qu’on s’en souvienne, un résultat positif doit s’accompagner de renforcement. Créez une petite célébration personnelle pour les coups réussis et répétez-la chaque fois qu’un coup correspond à votre intention.

Au golf comme dans la vie, vous commettrez toujours des erreurs; dans les deux cas, efforcez-vous d’en tirer les leçons et allez de l’avant. Thermomètre ou thermostat?


Cet article a été tiré du numéro d’avril 2014 du magazine Golf Canada.

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Bonnes nouvelles pour Tanguay et Savoie

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Joey Savoie (Saint Leo University Athletics)

Et puis, le chocolat était bon? Les nouvelles concernant nos talents québécois évoluant dans la NCAA le sont aussi.

Même en congé, Anne-Catherine Tanguay est dans les honneurs.

La championne amateur du Québec en 2013 et porte-couleurs de l’Université d’Oklahoma a été sélectionnée ces derniers jours au sein de l’équipe des étoiles de la division Big 12 pour les notes académiques chez les athlètes-étudiantes.

Tanguay, qui est étudiante en administration, reçoit cet honneur pour la troisième année de suite.

Entraîneuse à Oklahoma, Véronique Drouin-Luttrell, aussi une ancienne titulaire des rangs féminins, dose certainement très bien études et sports, deux autres de ses filles ayant obtenues le même honneur sur les 21 gagnantes.

« Tout le mérite leur revient, dit Drouin-Luttrell. Elles sont des modèles pour quiconque désire bien équilibrer ses efforts et réussir dans plus d’un domaine. »

Coté golf, Oklahoma, 13e au classement américain cette semaine, sera hôte du Championnat de la NCAA du 27 mai au 1er juin.

Vice-championne provinciale dans les rangs amateurs l’an dernier, Josée Doyon a aidé en fin de semaine Kent à prendre la deuxième place du tournoi Lady Buckeye en Ohio.

Sur le plan individuel, Josée a terminé 10e.

Une réussite familiale

Joey Savoie en est un autre pour qui ça fonctionne bien. Il porte les couleurs de l’Université St. Leo, en Floride.

Le champion junior du Québec de 2011 termine avril avec deux deuxièmes positions d’affilée, sa plus récente étant méritée lors du Championnat Sunshine.

L’ancien champion du Masters Junior International à Buffalo n’a été devancé que par Adam Svensson, sans conteste le Canadien le plus en feu au sein de la NCCA, puisqu’il compte rien de moins que sept titres avec la formation de Barry.

Cela dit, bon sang ne saurait mentir : l’oncle de Joey est le professionnel bien connu Jean-Louis Lamarre et son cousin, Iannick Lamarre, est aussi ancien champion dans la catégorie junior.

Il ne faut pas non plus oublier dans la dynastie le grand-père Jean-Guy Lamarre, figure populaire du golf québécois.

La grosse misère

En raison du très mauvais temps qui a sévi la semaine dernière dans la région d’Orlando, un seul aspirant a terminé sous la normale lors de la version floridienne du tournoi de qualification du Circuit de la PGA Canada présentée au Centre de villégiature de golf de Reunion, sur le parcours signé Jack Nicklaus.

La pluie et le vent étaient au rendez-vous à un tel point qu’une fiche de +7 a suffi pour terminer parmi les 18 premiers et obtenir la certification requise pour évoluer au sein du Circuit de la PGA Canada l’été prochain.

Un combiné +12 a assuré à son auteur un rôle de substitut.

Auteur d’un 56e rang à +12, Mathieu Perron a été le meilleur de la délégation québécoise complétée par Louis-Alexandre Pitre, Jean-Philip Cornellier et Jean-Michel.

Tous devront donc se reprendre. Notons que vingt joueurs ont abandonné en cours de route.

LE pro a 80 ans!

On souhaite un très heureux 80e anniversaire de naissance à Jean-Marie Laforge, qui est encore actif comme professionnel-enseignant à La Tuque.

Jean-Marie a donné quelque 40 000 leçons de golf au cours de sa carrière et ajoute à son record à tous les jours.

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À moins d’un imprévu, ROGER BOUCHARD et DANIEL TALBOT referont équipe dans l’enseignement au Centre de golf du Village Olympique qui a été modernisé l’automne dernier.

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Ajoutez CANDIAC au nombre de clubs qui seront en opération à compter de jeudi.

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Les habitués du club GODEFROY auront la surprise de voir un pavillon refait et modernisé lors de leur première visite.

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Mes espions disent que la nouvelle direction du Club de golf LE CHANTECLER compte garder la vocation actuelle pendant au moins une autre année.