Blog Règles et situations de jeu

Aux prises avec un élément étranger?

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Pablo Larrazabal (Getty Images)

Au début de la saison, nous avions parlé de la façon dont les éléments étrangers peuvent intervenir sur les circuits de la PGA et du Web.com, les joueurs demandant assistance selon la règle 18-1 – Balle au repos déplacée par un élément étranger. Dans ces situations, les joueurs et les officiels pouvaient compter sur des images télévisées pour déterminer la position originale des balles des compétiteurs.

Plus récemment, Pablo Larrazabal a vécu une situation cocasse lors du Championnat BMW de la PGA européenne lorsque sa balle s’est arrêtée sur un élément étranger. La situation a été amplement couverte par la télévision et les médias sociaux, mais la preuve était concluante quand Larrazabal est arrivé à l’endroit où reposait sa balle.

Larrazabal effectuait son coup d’approche vers le 18e vert lorsque sa balle est venue se loger entre les jambes d’un spectateur où elle est restée coincée. Bien que la balle se soit immobilisée sur le spectateur, considéré comme un élément étranger, Larrazabal n’était pas obligé de « jouer la balle là où elle repose » contrairement aux règles utilisées dans le film Happy Gilmore.

Conformément à la règle 19-1 – Balle en mouvement déviée ou arrêtée par un élément étranger, Larrazabal a pu obtenir un allégement, sans pénalité, de sa situation. La règle 19-1 dit entre autres :

Si la balle en mouvement d’un joueur est accidentellement déviée ou arrêtée par tout élément étranger, il y a intervention fortuite, il n’y a pas de pénalité et la balle doit être jouée là où elle repose, sauf :

a)             si la balle d’un joueur, en mouvement après un coup autre que sur le vert, s’arrête dans ou sur un élément étranger en mouvement ou animé, la balle doit, sur le parcours ou dans un obstacle, être laissée tomber, ou sur le vert être placée, aussi près que possible de l’endroit où était l‘élément étranger lorsque la balle s’y est arrêtée ou logée, mais pas plus près du trou…

Puisque la balle ne touchait pas à une partie du terrain lorsqu’elle s’est arrêtée sur le parcours, Larrazabal a dû laisser tomber la balle aussi près que possible de l’endroit où elle reposait sur l’élément étranger. Malheureusement, Shooter McGavin n’avait pas eu droit au même type d’allégement lors de son match âprement contesté contre Happy Gilmore.

Connaissez-vous un cas sur les Règles du golf qui mériterait d’être discuté, clarifié ou dont vous cherchez la réponse? Envoyez-nous un courriel et nous tenterons d’inclure votre question dans un prochain blogue Règles et situations de jeu. Pour une question sur les règles à l’intention de nos experts, veuillez cliquer ici.

Pour de plus amples renseignements sur les règles du golf, veuillez cliquer ici.

Pour des détails sur la façon de procéder dans différentes situations concernant les règles, pour un guide sur le Système de handicap de Golf Canada ou autre, veuillez consulter nos publications sur les règles du golf – en vente à la boutique en ligne de Golf Canada, ou à une librairie près de chez vous.

 

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Deux histoires d’amour

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Photos Getty

Bien que l’annonce de la rupture du couple Rory McIlroy/Caroline Wozniacki ait été hautement médiatisée la semaine dernière, il y a encore des histoires d’amour plus heureuses à raconter…

L’annonce de l’annulation du mariage du golfeur irlandais et de l’étoile du tennis féminin s’est avérée être un choc, d’autant plus que les invitations à la cérémonie avait été envoyées à peine quelques jours auparavant.

Mais il y a une autre histoire d’amour qui, elle, semble plus belle et prometteuse : celle de Julien Trudeau, cadet de Graham DeLaet, et Mallory Blackwelder.

Alors que tout le monde pensait que la première personne de l’entourage immédiat de Trudeau à savourer la victoire allait être le golfeur canadien le mieux classé, c’est sa fiancée, Mallory Blackwelder, qui a franchi en premier le cercle des vainqueurs.

Son succès a été obtenu en fin de semaine passé lors du tournoi du Circuit Symetra, à Charlotte en Caroline du Nord, où, incidemment, Sara-Maude Juneau a obtenu son deuxième résultat consécutif dans le top 10, grâce à une fiche globale de -4 lui permettant de finir neuvième et d’encaisser 2 135$.

Lors de ce même tournoi, Maude-Aimée LeBlanc a été éliminée de la dernière ronde par deux coups. Elle a joué +5 à la suite d’un double bogey sur la normale 3 du 18e trou.

Une dernière carte de 67, pour un cumulatif de -10, a permis à Mallory, une Américaine du Kentucky, d’empocher 15 000$ avec une avance de deux coups.

Le couple Blackwelder/Trudeau s’était rencontré dans le cadre de la télé-réalité Big Break de 2011 qui a eu lieu en Irlande et qui a été diffusé sur la chaîne Golf Channel.

Est-ce nécessaire de dire que Julien a beaucoup consulté les résultats sur son cellulaire au tournoi Colonial, où DeLaet a fini 14e.

La famille Blackwelder en est une de golf.

La mère Myra est une ancienne de la LPGA devenue enseignante. Le père, qui était avec Cristie Kerr durant les plus florissantes années de cette dernière, et le frère de Mallory sont des cadets professionnels au sein du circuit féminin.

Tout est décidé pour les noces. Elles auront lieu au début de l’automne. « Le plus compliqué a été de trouver une date accommodante avec le calendrier de chacun », a soulevé Julien Trudeau.

Meilleurs vœux de bonheur!

Faut être fait fort!

Alors que des gens lui avaient suggéré de prendre congé pour la semaine après avoir admis qu’il était « seul responsable » de la situation, le nouveau célibataire Rory McIlroy a retranché cinq coups à la normale au neuf final pour 66 et remporter le Championnat de la PGA européenne BMW.

En retard par sept coups durant la fin semaine, McIlroy a réussi des oiselets sur les deux derniers trous pour signer son premier gain en 18 mois.

Caroline Wozniacki entreprend cette semaine Roland-Garros, la deuxième étape du grand chelem.

Donnons la première étoile…

Véronique Drouin-Luttrell n’aura certes pas volé l’honneur en menant l’Université d’Oklahoma à la quatrième place du Championnat de la NCAA.

Cette performance d’équipe constitue un sommet dans l’histoire de cette institution qui, rappelons-le, est dirigée par l’ancienne championne du Québec, originaire de la Beauce, qui agit comme entraîneure-chef.

Une bonne frousse

Les récents feux de forêt qui ont menacé la région de Carlsbad, en Californie, ont donné la frousse à l’industrie.

Des géants comme Callaway, Puma-Cobra, Taylor Made/adidas et Titleist sont tous installés à proximité de la zone la plus affectée par ces feux.

Les évacuations d’employés de leur domicile ont ralenti les opérations. Heureusement que Dame Nature s’est calmée, mai et juin étant deux mois intenses pour les ventes.

Nos sympathies

Nos pensées vont à famille de Serge Rocheleau, décédé ces derniers jours en Abitibi.

D’abord un dévoué bénévole de l’Abitibi dans le rôle d’officiel, le disparu était devenu un employé permanent de Golf Québec.

Séjour prolongé

Après avoir évité de justesse l’élimination, Adam Scott a remporté le Championnat Colonial en prolongation devant Jason Dufner pour également sauver son titre de numéro un au monde contesté par Henrik Stenson, qui avait terminé septième en Grande-Bretagne lors du Championnat BMW du Circuit européen.

Ernie Els, Fred Couples, Tom Lehman et même Tiger Woods ont déjà été en tête une seule semaine à un moment donné.

Deux Québécois errants

Ce sera le début du Circuit de la PGA Canada, de jeudi à dimanche prochain, à Vancouver. Deux anciens membres du Rouge et Or de l’Université Laval, Max Gilbert et Alexis Anghert, feront le voyage.

Plus près de nous, place à l’Omnium printanier qui sera disputé au club Beaconsfield, vendredi. Rémi Bouchard et Joey Savoie y défendront leur titre, respectivement, chez les professionnels et les amateurs.

Le chiffre de la semaine : 250 000 $

C’est le prix de la bague de fiançailles payée par Rory McIlroy!

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La véritable réussite de Mike Weir

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Mike Weir (Photo Getty)

Quelle bonne nouvelle que celle annonçant l’excellente performance du Canadien Mike Weir, le week-end dernier, lors du Championnat HP Byron Nelson.

Alors que tous attendaient les plus jeunes tels Graham DeLaet et David Hearn, c’est contre toute attente que Weir, le doyen du groupe à 44 ans, a failli devenir le premier Canadien depuis 2009 à franchir le cercle des vainqueurs au sein du Circuit de la PGA.

Bien sûr, Weir mérite nos applaudissements pour sa très belle deuxième place, à deux coups de Brandon Todd qui s’en est tiré grâce à un coup exceptionnel joué de la gauche parce qu’il était dans l’embarras derrière un arbre et ne pouvait effectuer un élan de la droite.

Weir a droit à notre admiration pour son courage et sa résilience, à la suite de cartes de 68, 66, 67 et 67.

Faut-il rappeler que, depuis 2010, il ne s’était pas classé parmi les 25 premiers lors d’un tournoi du Circuit de la PGA?

Il y a une blessure à l’avant-bras qui n’a pas aidé, mais quand même. Ce n’est pas un creux de vague dont se sort Weir, mais d’une totale sécheresse et nous lui souhaitons que ce bon temps s’étire pendant encore quelques semaines, voire des mois.

Au plus profond de son creux de vague, il a joué 17 tournois de suite sans parvenir à se qualifier pour les rondes du week-end. Douze de ces tournois ont eu lieu en 2012. Pour lui, frapper un coup de départ dans l’allée était devenu aussi improbable que de gagner à la loterie.

Et on sait quels problèmes cela engendre en pareil cas de détresse technique : le « putting » et la confiance, lesquels lui ont valu huit victoires, ont pris le bord, puisque le succès au golf découle d’un ensemble de facteurs.

Onze ans après avoir mérité son veston vert, Weir était de retour au sein du circuit uniquement en raison de ses gains en carrière, mais cette clause n’est pas éternelle.

Plusieurs joueurs auraient abandonné le golf s’ils avaient eu à combattre autant de souffrances (physiques et psychologiques) tout en étant aussi fortunés sur le plan financier. Car, comme on sait, Weir n’aura plus jamais de soucis financiers avec ses 27,8 millions $ accumulés en bourses pour se situer au 20e rang des boursiers de l’histoire.

Mais non. Le petit homme s’est bien battu. Il s’est accroché. Il a continué d’espérer même s’il était de plus en plus seul de son clan dans la dignité. Jamais il ne s’est pas plaint malgré la perte d’estime auprès de ses collègues et le fait d’avoir été culbuté de la quatrième à la millième place au classement mondial. Face au public, il a préféré bûcher encore davantage plutôt que de se plaindre. Voilà la plus admirable et véritable réussite de Mike Weir.

Bravo!

Faut jamais dire jamais…

Quoiqu’elle ait récemment annoncé qu’elle renonçait à la LPGA pour se consacrer au Circuit Symetra afin d’y finir l’année parmi les dix premières argentières de façon à obtenir une promotion directe à la LPGA en 2015, Maude-Aimée LeBlanc était néanmoins de retour dans les ligues majeures la semaine dernière pour participer au tournoi de Kingsmill.

Des cartes de 76-68, 75 et 76 lui ont valu la 74e place et 2 474$.

Il faudra voir pour la suite. Mais ils sont nombreux à croire que le meilleur choix reste le Circuit Symetra en y multipliant les solides performances pour sécuriser sa place maintenant quitte à retourner plus tard avec les grandes.

En passant, Maude-Aimée sera au tournoi de Charlotte à compter de vendredi… à moins d’un changement!

Sara-Maude Juneau reste fidèle au calendrier Symetra. Après avoir fait une huitième place la semaine précédente, elle a été éliminée par un coup en fin de semaine passée.

La première étoile…

Cette distinction va à Valérie Tanguay pour ses succès en Colombie-Britannique.

Après avoir enlevé la palme lors du tournoi Premiers élans chez les juniors, elle a terminé quatrième au premier rendez-vous du circuit des professionnelles canadiennes.

Parcours de 12 trous

L’attente achève. On saura ces prochains jours à quoi ressemble le nouveau parcours L’Actuel au Cerf de Longueuil.

La normale y est de 44 (six normales 3, quatre normales 4 et deux normales 5) et les distances varient de 2491 à 3358 verges.

Le directeur général du Cerf, Bernard Vaillancourt affirme que 35 000 parties sont disputées sur un concept semblable en Ontario et prévoit une multiplication prochaine ici.

Le temps de jeu se situe à trois heures ou moins.

Bien sûr qu’on en reparlera très bientôt.

En bref…

Champion il y a deux ans, Marc-Étienne Bussières apparaît de nouveau au nombre des inscrits à l’Omnium printanier qui aura lieu à Beaconsfield, le 30 mai.

Golf Canada prépare une annonce spéciale en vue de la journée des médias, le 2 juin au Club de Golf Royal Montréal, dans le cadre de l’Omnium canadien RBC du 24 au 27 juillet.

 

19e trou Blog

Une question de qualité

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Bois de départ PING i25 (Photo PING)

C’est lorsqu’il était cordonnier, dans les années 1930, que Karsten Solheim a compris un aspect important du service à la clientèle : offrir une qualité de produit avant tout! C’est sous cette même prémisse qu’il a fondé la compagnie PING et que cette entreprise familiale continue aujourd’hui à respecter au plus haut point sa vision des choses.

Bois de départ PING i25– 449 $

Les lignes dessinées sur la couronne du nouveau PING i25 sont de la même largeur qu’une balle de golf. Cela aide à avoir un meilleur alignement, mais aussi à amorcer votre élan de golf sur un meilleur plan. L’embout ajustable et très discret permet de varier de plus ou moins un demi-degré l’angle d’ouverture de la face.

Bois d’allée PING i25– 279 $

La face est légèrement plus volumineuse que la version i20. De plus, l’épaisseur de la face en acier inoxydable 17-4 varie, étant du même coup très mince en périphérie. Résultat : une vitesse de balle accrue lors des impacts imprécis.

ping2
Photo: Bois d’allée PING i25

Hybride PING i25– 249 $

En plus d’avoir une tête compacte, l’axe de l’embout du bâton est plus avancé que les versions précédentes. Cette technologie permet ainsi d’offrir un minimum d’effet rétro et un angle d’envol plus élevé. De plus, le centre de gravité a été positionné en fonction de l’angle d’ouverture afin de maximiser l’utilité de chaque bâton.

Fers PING i25– 899 $

On retrouve la même technologie des barres stabilisatrices dans la cavité arrière que dans les fers PING Anser de l’année dernière, mais cette fois à un prix compétitif. Un poids en tungstène de 10 grammes placé dans le bout de la tête augmente le contrôle et le moment d’inertie.

Fers PING Karsten– 1049 $

Faisant partie du nouvel ensemble combo fers/hybrides, les fers PING Karsten possèdent une très large semelle positionnant le centre de gravité très bas. L’insert en polymère est maintenant attaché à la semelle pour de meilleures sensations à l’impact. Les hybrides possèdent deux poids à l’intérieur de la tête, ce qui maximise le moment d’inertie.

Fers PING S55– 1149 $

Dans le but d’obtenir le meilleur des deux mondes dans cette catégorie de fers, le centre de gravité des nouveaux fers PING S55 a été légèrement avancé pour ce qui est des fers courts, tandis qu’il a été reculé dans les fers longs.

Fer droit PING Karsten TR– 169 $

C’est avec un fini cuivré que vous pouvez choisir parmi les cinq modèles de fers droits les plus populaires chez PING. On y retrouve la technologie « True Roll » en plus d’une insertion en élastomère pour optimiser le roulement et les sensations.

Quelques faits intéressants :

Karsten Solheim a réclamé son premier et seul prêt bancaire à la fin des années 50, pour un montant de 1100$, qui a servi à produire des têtes de fers droits dans le garage de sa maison familiale.

Le nom « Answer », donné aux droits PING, contenait trop de lettres pour être écrit sur le talon du fer droit. C’est alors que l’épouse de Karsten Solheim, Louise, lui a suggéré d’enlever le « w » pour pouvoir l’utiliser et en conserver la signification.

Pour la première fois de l’histoire, en 1988, les quatre gagnants des tournois majeurs ont tous utilisés un fer droit PING, soit Sandy Lyle, Curtis Strange, Seve Ballesteros et Jeff Sluman.

19e trou Blog

Place à la stabilité en toute légèreté

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FootJoy D.N.A (Photo FootJoy)

À la recherche de nouvelles chaussures? Voici peut-être ce qu’il vous faut!

FootJoy D.N.A – 219, 99 $

La famille Dry Joys a toujours présenté des chaussures classiques… jusqu’à aujourd’hui ! Le tout nouveau soulier FootJoy D.N.A propose un look revampé et un confort optimal grâce, entre autres à une mousse mémoire 3D située sur le col et la langue du soulier. De plus, neuf crampons ont été positionnés aux extrémités de la semelle pour un maximum de stabilité. Une garantie de deux ans est offerte.

Nike TW’14 – 199, 99 $

La quatrième génération des chaussures Nike TW possède une semelle unique ultra-flexible qui donne un contrôle absolu à votre pied tout en lui garantissant un maximum de confort. De plus, la structure du soulier – et de vos pieds – est assurée par la technologie Flywire. Une garantie de deux ans est également offerte.

nike

Puma Biofusion – 199, 99 $

Voilà le mariage parfait entre le style, le confort et la performance grâce à une nouvelle semelle externe très mince qui possède des points de flexions stratégiquement positionnés qui vous procure un contrôle absolu. Une microfibre nommée « Rovenica Plus » permet au soulier de conserver sa structure tout en étant très léger. Encore là, une garantie de deux ans est offerte.

AdiZero ONE – 199, 99 $

Comparativement au premier modèle, le nouveau soulier AdiZero One est 10% plus léger et sa semelle externe est 20% plus large. Cette dernière possède seulement sept crampons qui positionnés de façon à offrir un maximum de traction lors de l’élan tout en limitant le poids total du soulier. Une garantie de deux ans est aussi offerte.

Ecco Golf Street Evo ONE – 219, 99 $

Toutes les chaussures de golf Ecco sont fabriquées à partir d’une technologie unique : l’injection directe. Cette dernière permet d’assembler chimiquement la semelle et le haut du soulier sans colle, ni couture, pour une structure flexible, mais résistante. De plus, la semelle E-DTS extrêmement résistante possède près de 100 crampons vous donnant toute la traction nécessaire sur le parcours.

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adidas Golf présente sa collection de vêtements innovateurs climachill

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adidas climachill polo

Carlsbad, Calif. (13 mai 2014) – adidas Golf a procédé au lancement de sa nouvelle collection de vêtements climachill, mettant en vedette des technologies nouvelles conçues pour maintenir les joueurs au frais lorsque les températures sont à la hausse sur le terrain.

Avec comme objectif de créer des vêtements de plus en plus performants en réglant la température du corps, les ingénieurs d’adidas Golf ont révolutionné la technologie du vêtement de golf en incorporant dans les lignes de vêtements de la compagnie les tissus exclusifs climachill et le matériau le plus imperrespirant de son histoire. 

adidas

Stratégiquement placées sur l’encolure arrière, l’une des zones les plus chaudes du corps humain, de petites pastilles en aluminium procurent une sensation de fraîcheur au contact de la peau, Le tissu climachill utilise des fibres tissées en titane qui maximisent la surface de contact avec la peau. Remarquablement léger, le tissu climachill agit comme une maille ouverte pour accroître la perméabilité à l’air, en repoussant la chaleur du corps et en procurant une ventilation remarquable et un maximum d’évaporation sudorale pour ainsi maintenir les joueurs au frais comme jamais auparavant.

Les professionnels et ambassadeurs d’adidas Golf Dustin Johnson et Sergio Garcia ont étrenné la nouvelle collection de vêtements climachill dans le cadre du Championnat des joueurs il y a quelques jours et ils continueront de mettre la technologie en vedette tout au long de la saison 2014 du circuit de la PGA.

“Lorsque les températures sont à la hausse, j’ai besoin de vêtements qui me gardent au frais, confortable et concentré sur mon jeu, raconte Jason Day, gagnant du Championnat par trous WGC-Accenture 2014. Je suis ébahi par la technologie qu’adidas Golf a su incorporer à ses vêtements et avec climachill, non seulement je peux voir la nouvelle technologie, je peux aussi la ressentir.”

“Nous visons constamment à créer les vêtements les plus innovateurs possible afin de procurer un maximum de confort aux joueurs qui pourront ainsi se concentrer sur leur performance, explique Davide Mattucci, Directeur, Marketing global en vêtements de golf chez adidas Golf. Climachill est de loin le tissu le plus évolué de notre histoire et ses nombreux avantages se retrouvent dans toutes ses fibres. En plus d’avoir un look et une sensation de haute performance, il respire comme un tissu à mailles ouvertes. Une fois que vous l’avez essayé, la différence est indéniable.”

La collection de vêtements climachill inclut cinq polos pour hommes et trois polos pour femmes et sera disponible à partir du 1er juin. Visitez adidasgolf.ca pour en savoir davantage sur la technologie climachill et pour visualiser la collection complète.

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État des parcours : quand on se compare…

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Le Club de Golf Royal Montréal

Vous avez trouvé l’hiver rigoureux et trouvez que le printemps tarde à s’installer? Sachez qu’il existe bien pire ailleurs, du moins en ce qui concerne l’état des parcours.

Bien qu’on soit loin des conditions du club Augusta National, cette première fin de semaine de golf acceptable chez nous sur le plan de la température a permis aux adeptes de constater que, dans l’ensemble, nos parcours ont bien résisté à l’hiver exécrable qu’on a subi.

Ce n’est évidemment pas parfait, mais sachez que ce n’est pas la désolation comparativement à une large partie de Toronto et du sud de l’Ontario en raison du verglas de l’hiver dernier qui a « brûlé» le gazon.

Deux récents sites de l’Omnium canadien, Hamilton et St. George’s, arborent de très sérieuses cicatrices. Encore récemment, Hamilton a eu jusqu’à 27 verts temporaires sur… 27!

D’autres endroits de prestige comme Burlington, Islington et Whirlpool ont aussi perdu leur gazon, et pas seulement sur les verts mais aussi sur les allées et les tertres de départ. Cela pourrait prendre jusqu’à la fin juin et même en juillet à certains endroits pour revoir la verdure.

Le gazon de pâturin (poa annua) a davantage écopé que l’agrostide, ce qui fait que des administrateurs consultent les membres en ce moment pour savoir s’il ne faudra pas investir dès maintenant pour semer ce dernier type d’herbe plus résistant. Il y a de quoi réfléchir, car la facture pourrait grimper jusqu’à plus de 150 000$ si l’on inclut les travaux connexes.

Le nord des États-Unis est aux prises avec le même problème jusqu’à Detroit. Président des surintendants du Canada, Christian Pilon a écrit une lettre ouverte. On le félicite d’ailleurs pour son sens de la communication.

La USGA est également en mode de haute surveillance. Parole de Bill Paul, le parcours Bleu du Royal Montréal, lieu de la présentation l’Omnium canadien RBC cette année, s’en est bien tiré.

Comptons-nous donc chanceux d’avoir des terrains en état acceptable et montrons-nous patients à l’égard des surintendants qui sont souvent victimes des caprices de mère nature.

Une bougie d’allumage!

Grâce à Anne-Catherine Tanguay, reine au Québec dans les rangs amateurs au cours des deux dernières années, les Sooners de l’Oklahoma se qualifient pour une troisième année de suite au Championnat de la NCAA.

Cet exploit constitue une première et ne pouvait pas arriver à un meilleur moment, car le championnat aura lieu à un coup de départ de l’université de l’Oklahoma, soit au Country Club de Tulsa, du 20 au 23 mai.

Auteure de cartes de 75, 70 et 73 lors des finales régionales présentées à Cle Alum, en Oregon, Anne-Catherine s’est avérée être la bougie d’allumage de sa formation. Sa huitième place au classement individuel a permis aux Sooners de finir quatrièmes derrière l’Université Southern California (USC), favorites de la compétition.

C’était la cinquième fois en sept départs du calendrier en cours que la golfeuse de Québec terminait dans le top 12.

Malheureusement, Kent State, qui aligne la Beauceronne Josée Doyon, a raté la finale par un seul coup.

Cette semaine, Francis Berthiaume, un long cogneur de Valleyfield, tentera d’aider l’Université de l’Alabama à atteindre la finale masculine.

Autre note universitaire : en vacances à Savannah, Jocelyne Bourassa est allée encourager Joey Savoie, également dans cette région puisqu’il joue au sein de l’équipe de l’Université St. Leo. Elle a été impressionnée par la personnalité du jeune homme, ce qui fera très plaisir à son grand-père, Jean-Guy Lamarre.

Un bon coup de Murray

Très populaire auprès des membres au Club de golf Kanawaki, le professionnel John Murray a réussi un très bon coup en allant chercher Jean-Louis Lamarre à titre de professionnel associé.

Plus orienté dans l’enseignement ces dernières années, Jean-Louis, ancien champion de la PGA du Canada, retrouvera-t-il maintenant l’étincelle de la compétition en renouant avec Pierre Archambault, Gord Hanna et Jacques Nols qui étaient là durant ses années chez les amateurs?

Rappelons que Kanawaki célèbre son centenaire cette année.

Entre deux trous…

Frère de Jacques et ancien champion canadien chez les juniors, André Nols a acquis le centre Le Ricochet (près de Saint-Bruno, au Saguenay) après de nombreuses années comme professionnel au club d’Arvida.

Toujours dans la catégorie « emploi », Bob Ledoux joint l’équipe de Dave Ross à l’Estérel.

Une semaine « chaude » s’amorce en regard des qualifications en vue de l’Omnium du printemps. Il y aura des étapes de sélection aux clubs Royal Québec (lundi), La Tempête (mardi) et Valleyfield (mercredi). L’Omnium sera disputé à Beaconsfield, le 30 mai.

 

19e trou Blog

Les bois SLDRs et fers SLDR risquent de causer toute une révolution dans le monde du golf

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SLDR S series of clubs

Le fabricant TaylorMade a procédé au lancement d’une nouvelle famille de bâtons de golf, ceux des bois de modèle SLDRs et des fers de modèle SLDR qui risquent de causer toute une révolution dans le monde du golf.

« Je sais, a commencé par dire le vice président exécutif du département de la création de TaylorMade, Sean Toulon. Il y a des gens qui vont dire : ‘tiens un autre modèle qu’on pourra se procurer pour beaucoup moins cher dans six mois.’ Il y a une part de vrai là-dedans, mais réalisez-vous que le bois de départ SLDR a été lancé il y a 11 mois déjà ?

« Notre décision de lancer une autre famille de bâton découle aussi du fait que la demande pour le SLDR n’a jamais connu une baisse au niveau des ventes, contrairement à tout autre bâton de golf dans l’industrie car il produit de bons résultats, explique-t-il. Nous avons donc décidé de repousser ses limites et cela a donné la version SLDRs que nous voulons faire profiter tout de suite aux amateurs. »

On reconnaît d’abord le nouveau bois de départ SLDRs par sa teinte argentée, puis par le fait qu’il n’offre aucun modèle ayant un angle au repos (loft) de moins de 10 degrés. Ces bois sont exclusivement offerts en versions de 10, 12, 14 et 16 degrés et ne sont pas munis d’un système d’ajustement à ce niveau.

La face du bâton est noire et, vu en plan, la tête montre une esthétique sans tache. Mais ce qui compte, c’est ce qu’on ne voit pas, soit tout ce qui se trouve sur la semelle et à l’intérieur de la tête des bois.

« Le concept de ce nouveau modèle est que l’abaissement du centre de gravité et le déplacement du poids vers l’avant font en sorte qu’il est possible d’augmenter l’angle d’envol de manière à optimiser la trajectoire de la balle et à réduire son effet rétro », explique Benoît Vincent, technicien en chef et responsable de la conception des nouveaux produits TaylorMade.

Vers une trajectoire idéale

Le but visé par les ingénieurs de TaylorMade est de produire des coups qui ont une trajectoire idéale, soit un angle d’envol de 17 degrés et une rotation (spin) de 1700 tours, ce qui assurerait non seulement plus de distance, mais aussi plus de précision.

« Ce n’est un secret pour personne : une plus haute trajectoire et moins d’effet rétro maximisent la distance des coups, précise le docteur Vincent. Certains pensent que seuls les bons joueurs et les pros peuvent bénéficier d’un bâton ayant un angle d’envol plus élevé. C’est faux. Hausser l’angle d’envol de son bâton peut profiter à toutes les vitesses d’élan et c’est encore plus vrai avec le système de pesées insérées dans une glissière des modèles SLDRs qui aident à garder la balle plus droite car, règle générale, un coup qui est plus droit obtient plus de distance. C’est mathématique et la mathématique ne ment pas. »

Lors de la Classique Heritage, 14 joueurs ont utilisé un bois de départ ayant un angle au repos supérieur à 12 degrés. Ce même bois de départ était dans le sac de John Senden et J.B. Holmes lorsqu’ils ont remporté la victoire cette année au sein du PGA Tour.

Si la technologie du SLDRs profite à ces golfeurs de ce niveau, il est bien possible qu’elle vous rende meilleur sur les tertres.

Le bois de départ SLDRs est muni d’une tige Fujikura Speeder 57 en graphite. Sa poignée est de marque TaylorMade. Son prix en devises canadiennes : 359$

La technologie SLDRs est appliquée également aux bois d’allée et aux hybrides, dont les prix de détail sont, respectivement de 259 $ et 229 $.

La fin des fers forgés ?

Le slogan faisant la promotion des bois SLDRs s’applique autant aux nouveaux fers SLDR : Distance for all (de la distance pour tous) est ce que ressentiront les golfeurs qui s’élanceront avec ces bâtons munis de la technologie ThruSlot inspirée de la de la pochette de vélocité des modèles SpeedBlade.

Le secret des fers 3 à 7 de modèle SLDR est l’allongement de la pochette de vélocité qui permet d’avoir une tête d’une grosseur qui n’est pas sans rappeler les traditionnels fers forgés.

Avec une vue en plan du fer, son apparence est vraiment à s’y tromper tellement la tête est petite et mince, mais il s’agit bel et bien d’un fer moulé.

« Avant 2012, il y avait une énorme différence dans la sensation qu’on éprouvait à frapper un fer moulé par rapport à un fer forgé, indique Sean Toulon. Mais depuis que nous avons développé la technologie de la pochette de vélocité, c’est à s’y méprendre tellement la face du bâton génère de la vitesse à l’impact qui se traduit par des coups d’une plus longue distance. »

En plus d’aider les golfeurs à frapper plus loin, les fers SLDR conserve ses attributs en regard de sa tolérance aux impacts imprécis.

Les nouveaux fers SLDR seront offerts au Canada à compter du 6 juin. Pour plus d’information, consultez le site taylormadegolf.ca

On veut le voir !

On entend souvent : « on ne veut pas le savoir, on veut le voir. »

Par contre, on vous le dit tout de suite : les vidéos expliquant toute cette nouvelle technologie sont en anglais :

Blog Gordon et le golf

Ce que maman veut vraiment pour la fête des Mères

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(Donald Miralle/ Getty Images)

Encore une fois, l’anxiété vous ronge : qu’offrir à votre mère ou à votre femme comme cadeau de la fête des Mères?

Cessez de vous tourmenter : je suis un as du magasinage et j’ai la solution idéale.

Donnez-lui ce qu’elle veut vraiment : sa famille, enrubannée de golf.

Je ne parle pas ici de passer quelques heures avec elle à l’occasion de l’incontournable brunch de la fête des Mères à votre club – l’équivalent golfique de la carte quétaine sur les bords que (honte à vous!) vous lui avez achetée à la dernière minute dans une grande surface.

Que désire chaque maman, sinon passer plus de temps avec sa famille? Et le golf ne se prête-t-il pas merveilleusement bien à cet exercice?

Notre monde a incontestablement changé. Rares sont les familles qui, chaque soir, s’attablent ensemble pour partager un repas et leurs expériences de la journée. Encore plus rares sont les familles qui passent une soirée à s’adonner à des jeux de société, à jouer aux cartes ou à échanger de quelque autre façon. Aujourd’hui, après un repas pris à la sauvette, les membres de la famille se dispersent, chacun étant le plus souvent désireux de s’isoler en compagnie de son appareil électronique de prédilection.

Et si, chaque semaine, une soirée ou un après-midi était consacré à une excursion golfique?

Il incombe aux clubs de golf de saisir l’occasion, non seulement pour renforcer le tissu familial, mais aussi, dans des temps financièrement difficiles, pour augmenter le nombre de ses adhérents. Par exemple, ClubLink propose un abonnement appelé Famille au crépuscule à la conjointe et aux enfants de moins de 16 ans d’un membre d’un de ses clubs Prestige ou Platine. Ces sorties en famille comprennent de l’enseignement et des bâtons de location gratuits, neuf trous de golf (ou moins, le cas échéant), des menus spéciaux et d’autres activités hebdomadaires.

(Pour ne rien vous cacher, j’ai récemment quitté mon poste de Directeur des communications de ClubLink. Néanmoins, voilà une initiative que j’encourage tous les clubs à imiter. À vrai dire, il n’y aura jamais trop de programmes de ce type. Cela dit, si votre club a découvert une méthode efficace d’attirer les familles, je vous invite à m’en faire part pour alimenter une future chronique. Adressez-moi un courriel à gordongolf@outlook.com).

Révolue l’époque où le mari et père, après avoir ouvert la lettre l’invitant à verser sa cotisation annuelle à son club presque exclusivement mâle, annonçait à sa femme : « Chérie, devine combien ça va me coûter de plus cette année pour passer plus de temps loin de toi et des enfants? Où est notre chéquier? »

Sur une étagère de mon bureau se trouve la page couverture encadrée du numéro du 3 septembre 1960 du Saturday Evening Post. L’illustration, signée par Norman Rockwell, met en scène un homme rondelet qui, cigare au bec, chapeau rond sur le crâne et sac de golf à la main, affiche un air stupéfait au moment de franchir la porte de la cuisine. En effet, le long du comptoir reposent un ensemble de golf et des chaussures de golf flambant neufs – pour femme! Et, comme  si cela ne suffisait pas, sa femme en tablier fait rouler une balle sur le linoléum de la cuisine en direction d’un verre d’eau…

Il y a 54 ans, le message du magazine était que les Américaines, en pleine émancipation, s’apprêtaient à envahir les parcours de golf, jusque-là la chasse gardée des mâles.  Pourtant, il existe des illustrations de la fin du XIXe et du début du XXe siècle montrant des hommes et des femmes faisant partie du même quatuor. De fait, le tout premier tournoi de golf au vénérable Shinnecock Hills de Long Island, à New York, a été organisé par les femmes membres du club en 1891. Les femmes ont depuis longtemps une place bien méritée sur les parcours, et nous ne devrions pas avoir besoin d’une couverture de magazine ou d’un quelconque chroniqueur de golf pour nous le rappeler.

Alors, donnez à votre maman ou à votre femme et, par conséquent, à votre famille un cadeau durable à l’occasion de la fête des Mères. Engagez votre famille dans le golf! Voilà un présent qui a de l’avenir…

À titre de fier patriarche d’une famille de golfeurs, je sais de quoi je parle. Voici une anecdote qui tombe, je pense, fort à propos.

Il y a 13 ans, lors de la fête des Mères, ma belle-mère Shirley Ironstone, alors âgée de 70 ans, réussissait un as sur le septième trou du Midland Golf and Country Club. C’était son premier et aussi son dernier. C’est dire si nous avons fait la fête! Réunies dans le chalet familial, trois générations de golfeurs ont célébré l’occasion. Entourée de sa famille, Shirley a vécu son heure de gloire. Un certificat témoignant de son exploit a orné un mur de sa maison jusqu’à sa mort; il est maintenant suspendu dans la nôtre. Shirley a beau n’être plus parmi nous, ce souvenir de golf et plusieurs autres sont encore vivaces dans la mémoire de tous ceux qui l’ont aimée.

Les fleurs se fanent, les cartes se recyclent et l’appétit revient, même après le plus somptueux des brunchs. Cette année, offrez à la femme qui vous est le plus chère le cadeau de la famille, le cadeau du golf et, ce faisant, des souvenirs impérissables.

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Vue d’ensemble

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Rebecca Lee-Bentham, Jennifer Kirby, Mackenzie Hughes and Albin Choi (Golf Canada/ Graig Abel)

Suite à l’annonce, hier, de la formation Jeune pro, le programme Équipe Canada a pris une dimension nouvelle. Le tableau ci-dessous indique comment les 25 joueurs, les quatre entraîneurs et les six experts en sciences du sport s’imbriquent dans la « vue d’ensemble » d’Équipe Canada.

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