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Conseil : Coup d’approche

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Blog Gordon et le golf

Le Défi junior d’habiletés Premiers élans CN

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(Magazine Golf Canada)

Les jeunes qui aiment le golf trouvent tout ce qu’il leur faut au Défi junior d’habiletés Premiers élans CN : une motivation pour passer plus de temps sur le parcours ou le terrain d’exercice, l’occasion de se mesurer à leurs semblables aux niveaux local, provincial et national, un suivi en ligne de leurs statistiques et classement personnel, ainsi que la chance d’atteindre la finale nationale au Club de golf Glen Abbey le samedi précédant l’Omnium canadien RBC, de jouer sur le parcours et de côtoyer leurs idoles.

Le Défi junior d’habiletés Premiers élans CN, lancé en 2008, est axé sur le développement des habiletés clés du golf : coups roulés et cochés, jeu de fers et coups de départ. Administré par Golf Canada et mis en oeuvre par des professionnels de la PGA dans des clubs partout au pays, le programme permet aux participants de 6 à 18 ans de concourir dans ces quatre catégories d’habiletés pour obtenir un score dans chacune.

« À sa création, c’était le premier jalon de notre programme de Développement à long terme du joueur (DLTJ), explique Jeff Thompson, directeur en chef du sport à Golf Canada. Dans sa nouvelle version, le Défi junior d’habiletés est un programme interactif, conforme aux directives du DLTJ, qui s’articule autour des habiletés essentielles au golf plutôt que simplement sur le score. Il fait maintenant partie intégrante de l’éventail de programmes juniors off erts aux enfants partout au Canada. »

En plus du Défi junior d’habiletés, le programme Premiers élans CN comprend plusieurs volets : Apprendre à jouer, Cours mobiles, Ligues de golf junior, Club de fi lles et Championnats Premiers élans CN. Entre autres appuis fi nanciers au développement du golf junior au Canada, le CN soutient également Golf en milieu scolaire.

En 2014, pas moins de 150 concours de qualifi cation du Défi junior d’habiletés ont eu lieu d’un océan à l’autre, auxquels ont participé 3 500 juniors. Depuis le lancement du défi en 2008, plus de 15 000 jeunes y ont participé.

La finale nationale de 2014 s’est tenue en septembre dernier au Club de golf Angus Glen à Markham, en Ontario, à l’occasion du Championnat mondial junior féminin. Les vainqueurs étaient Braxton Kuntz, du Breezy Bend Country Club, Manitoba (Garçons 9-11); Sarah Gallagher, du Braeben Golf Course, Ontario (Filles 9-11); Finn Lawlor, du Seymour Golf Club, Colombie- Britannique (Garçons 12-14); Laura Wong, du Seymour Golf Club, C.-B. (Filles 12-14); Tyler Leclair, du Seymour Golf Club,C. -B. (Garçons 15-18); Molly MacDermaid, du Gowan Brae Golf Club, Nouveau- Brunswick (Filles 15-18).

« On s’est bien amusés ici, a déclaré Leclair après sa victoire. C’était spécial, pour moi, de gagner. Le concours était bien organisé, les commanditaires étaient super. C’était difficile, tout le monde a fait des efforts et la lutte était chaude. Ça s’est terminé sur un coup roulé. C’est très agréable de gagner au niveau national. »

Cette année, les meilleurs juniors seront invités à Glen Abbey (Oakville, ON), pour participer à la finale nationale le 18 juillet, soit le samedi précédant l’Omnium canadien RBC. Le lendemain, ils joueront dans un tournoi s’inspirant de la Coupe Ryder sur le parcours de l’Omnium. Le lundi, ils auront la chance d’être cadets pour les golfeurs du Pro- Am de la Fondation Golf Canada et le mercredi, ils pourront accompagner un pro à l’intérieur des cordes. « Une expérience inoubliable d’une semaine », souligne Thompson.

Chacun des participants à la finale recevra en outre un cadeau d’une valeur de 200$ offert par Titleist pour sa performance. Les gagnants masculins et féminins de chaque groupe d’âge se verront aussi décerner par Titleist un prix à la performance valant 300$. Enfin, les champions nationaux de la classe des 15 à 18 ans obtiendront un laissezpasser pour participer à un Championnat Premiers élans CN en 2016.

Les juniors peuvent participer de deux façons, sans frais. D’une part, ils peuvent s’inscrire à l’un des établissements dotés des installations officielles du Défi junior d’habiletés Premiers élans CN (la liste en est affichée sur le site www.premierselanscn.com). Là, un professionnel de la PGA du Canada leur fait passer un test d’habiletés et par la suite, les juniors peuvent afficher leur score d’habiletés sur le tableau d’affichage national et y suivre leur évolution.

L’option est aussi offerte aux jeunes de participer individuellement. Chacun et chacune peut, à son propre rythme, développer ses habiletés là où ça lui convient : sur un terrain de golf ou d’exercice, dans un champ ou dans sa cour. Une carte de score personnalisée est offerte en ligne à chaque participant, sur un site privé sécurisé, pour y inscrire ses scores de coups roulés et cochés, de jeu de fers et de coups de départ.

« Une des forces du Défi junior d’habiletés Premiers élans CN est que le programme est conçu de manière à récompenser les jeunes qui jouent une partie de golf bien équilibrée, note Thompson. C’est un des objectifs de notre programme de Développement à long terme du joueur. »

Les détails du Défi junior d’habiletés Premiers élans CN, la liste de tous les programmes pour juniors et des informations pour ceux-ci, leurs parents et leurs enseignants, de même que le répertoire des établissements participants, se retrouvent sur le site www.premierselanscn.com.


Le Défi junior d’habiletés Premiers élans CN

Cet article a été publié dans l’édition de juin 2015 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche.

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Souhaitons que Tanguay reçoive un appel de la USGA au plus tôt

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Anne-Catherine Tanguay (Eric Bolte/ Golf Canada)

Anne-Catherine Tanguay attend le téléphone de l’Auguste United States Association.

La golfeuse de Québec, qui fonctionne de façon prometteuse à son année recrue chez les professionnelles, se situant 30e au classement général Symetra en seulement six sorties, est sur la liste des remplaçantes de l’Omnium des États-Unis.

Lors de l’une des 21 qualifications à Ferncroft, au Massachusetts, la semaine dernière, Tanguay a terminé ex-aequo en troisième place à 146 avec 36 trous le même jour, n’étant devancée que par deux et un coup.

Le « hic », c’est que seules les deux premières recevaient leur entrée directe.

Comme les blessures existent au golf, comme partout dans le sport, souhaitons-lui un appel avant le 8 juillet, la veille de la première ronde.

La présentation cette année a lieu à Lancaster, en Pennsylvanie, avec Michelle Wie qui défendra son titre si elle peut recouvrer la santé. Elle a déclaré forfait de la Classique canadienne la semaine dernière.

Un lundi marathon

À propos de l’Omnium masculin des États-Unis cette fois, un très gros lundi attend le Montréalais d’adoption Beon-Yeong Lee et Keven Fortin-Simard, professionnel et directeur général au Club Lac-Saint-Jean.

Ce sera à leur tour de disputer, aujourd’hui, le marathon final de 36 trous pour décider des derniers élus à Chambers Bay, dans l’État de Washington, du 18 au 21 juin.

Michel Robert : une solide acquisition pour les Cantons

Nom très actif du golf dans la région de Québec comme pro-enseignant, en plus d’être le vaillant capitaine du club Royal Québec, Michel Robert change d’adresse et fait maintenant équipe avec Max Oxford au club Dufferin.

Voilà une très solide acquisition pour les Cantons-de-l’Est.

Prof d’éducation physique de formation, Robert avait aussi été responsable de ce grand succès qu’avait été la création du premier terrain de Québec sur les Plaines d’Abraham dans le cadre des fêtes du 375e anniversaire à « Labeaumeville. »

Des dollars injectés

Des investissements se font encore et le club Castor (Valcartier) en est la preuve.

Les membres profiteront, au début 2016, d’un nouveau pavillon modernisé et agrandi pour le golf et les autres activités sur la base militaire.

Le Joyeux Mexicain toujours actif

Probablement la figure la plus populaire qui soit passée au Québec en incluant Jack, Arnold et Tiger, Lee Trevino, deux fois gagnant dans la province, continue de démontrer que le golf est le sport d’une vie.

À 79 ans, voilà que celui surnommé le « Joyeux Mexicain » accepte le poste de pro émérite ou en résidence au Complexe The Greenbrier, en Virginie, auquel Sam Snead a été identifié pendant des décennies.

Bubba Watson et Webb Simpson font aussi partie du personnel de professionnels, alors que Nick Faldo y a installé une de ses académies.

Les « D.G. » sur les verts

Directeur général du Club Saint-Hyacinthe, Éric Lafrenière est l’hôte de ses collègues de l’Association provinciale dirigée par Michel Lafrenière.

On sera là en compagnie de Daniel Caza, Michel Lacroix et du « patron » Richard Beaudry afin de prendre le pouls de l’ensemble de la saison.

Un 63 pour l’autre Woods

Il ne s’agit pas ici de Tiger, mais bien de sa nièce Cheyenne, qui a réussi ce pointage de 63 lors de la première journée de la classique Manuvie.

C’est rien de moins que 22 coups de moins que le « mononcle », auteur d’un 85 au troisième tour du Memorial.

Laval-sur-le-Lac se souvient

Un geste à souligner est celui de Luc Lapointe, directeur général de Laval-sur-le-Lac, qui a passé une commande de 500 copies de la biographie de Jules Huot, premier Canadien à gagner à la PGA américaine et professionnel de Laval pendant des décennies.

La lecture est destinée aux membres.

On se réjouit pour André Maltais, successeur de Monsieur Huot et auteur qui s’est tellement donné pour rassembler un document historique qui mérite vraiment d’être lu.

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Blanchie dans les gains au circuit Symetra en fin de semaine, Maude-Aimée LeBlanc a glissée au 9e rang avec 26 934 $ encaissés en neuf départs.

L’écart n’est plus que de 588 $ sur la 10e place (ou mieux) qui vaudra une promotion directe à la LPGA en 2016.

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Dans les autres résultats d’ici, il faut ajouter la 65e place de David Guertin, lui qui a fait le voyage à Cambridge, en Ontario, pour la classique Manuvie.

Il agissait comme cadet de l’Américaine Kelly Shon.

David avait tenu ce rôle auprès de Maude-Aimée LeBlanc à la première année de celle-ci sur le grand circuit.

Blog Règles et situations de jeu

Respecter le golf, c’est aussi respecter le terrain

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(Kim Stallknecht/ Golf Canada)

Au moment où l’été pointe le nez, plusieurs clubs terminent l’entretien printanier pour attaquer la haute saison. Partout dans le monde, les équipes d’entretien travaillent sans relâche pour maintenir les parcours dans un état impeccable pour les golfeurs et les tournois. La section Étiquette des règles du golf vise à aider les préposés à l’entretien à prendre soin du terrain. Les règles ne sont que des lignes directrices, leur objectif n’est pas de pénaliser les golfeurs.

La Décision 1-2/07 fournit des éclaircissements sur la signification de « dans le seul but de prendre soin du terrain », eu égard à la Règle 1-2.

Décision 1-2/0.7

« L’expression « seul but de prendre soin du terrain » de l’exception se rapporte à l’exécution d’actions qui sont encouragées dans la section étiquette des règles du golf pourvu qu’elles soient effectuées au moment opportun et d’une manière autorisée par les règles. Les dispositions de la Règle 1-2 n’empêchent pas un joueur d’effectuer des actions conformes à la section Étiquette, à condition que le joueur agisse ainsi dans le seul but de prendre soin du terrain et sans influencer intentionnellement le mouvement d’une balle, ou les conditions physiques affectant le jeu. »

On nous pose souvent la question à savoir si un joueur dont la balle repose dans une fosse de sable a le droit de ratisser les empreintes de pas près de la balle avant d’exécuter son coup. Le livre des Règles du golf aborde la question du « soin du parcours » dans la section Étiquette. Pour parler simplement, les joueurs sont invités à ratisser leurs empreintes de pas (et celles d’autres joueurs) avant de sortir d’une fosse de sable.

Dans cette situation, le joueur ne sera pas pénalisé s’il ratisse les empreintes « dans le seul but de prendre soin du terrain ». Cependant, il y aura pénalité si la prise de position du joueur, l’emplacement de la balle ou l’espace requis pour son élan s’en trouvent modifiés.

Le golf repose sur la conduite respectueuse et disciplinée des joueurs. Il importe de se rappeler que le terrain doit aussi être respecté. Les joueurs doivent éviter de l’endommager en replaçant les mottes de terre, peu importe quand ou comment elles ont été créées, et ce aussi bien durant une partie qu’à l’entraînement.

Bien que les Règles du golf encouragent le soin du terrain, un joueur doit s’assurer que ses gestes ne contreviennent pas aux règles suivantes :

  • Règle 1-2 Exercer une influence sur le mouvement de la balle ou modifier des conditions physiques
  • Règle 13-4 Balle dans un obstacle; actions prohibées

Il en va de même des verts. Cette vidéo montre l’effet que vos chaussures peuvent avoir sur les joueurs et le terrain même. N’oubliez pas de respecter le golf et le terrain en toutes circonstances.

Blog Gardez le contact avec Équipe Canada

Passer le flambeau : une nouvelle vague d’athlètes d’Équipe Canada est prête à briller dans la NCAA

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Sur le plan universitaire, 2015 aura été une année étrange pour Équipe Canada.

Taylor Pendrith (Richmond Hill, ON) et Corey Conners (Listowel, ON), coéquipiers à Kent State et co-lauréats du prix Mid-American Player of the Year, ont obtenu leur diplôme et entamé leur carrière professionnelle en tant que membres de la formation Jeune pro d’Équipe Canada.

Adam Svensson (Surrey, C.-B.) est passé chez les pros au milieu de sa troisième année à l’Université Barry de Miami, après avoir décroché huit titres de la NCAA. Lui aussi s’est joint à la formation Jeune pro à la mi-saison, tout comme Conners qui a accédé aux rangs professionnels après le Tournoi des Maîtres.

Brittany Marchand (Orangeville, ON) a entrepris sa cinquième année en génie chimique à North Carolina State, devenant du fait inadmissible au sein de l’équipe des Wolfpacks.

Brooke Henderson, 17 ans (Smiths Falls, ON) a choisi de devenir professionnelle et de joindre la formation Jeune pro, abandonnant sa bourse pour l’Université de la Floride après avoir atteint le premier rang du classement mondial amateur féminin.

Austin Connelly, qui possède la double nationalité canadienne et américaine, a entrepris sa première année au sein de l’équipe amateur d’Équipe Canada, lui qui à 18 ans, alors même qu’il était élève du secondaire, a percé le top 20 du classement mondial amateur.

Ainsi, il ne reste plus que cinq athlètes inscrits à des programmes de la NCAA – quatre au sein de l’équipe amateur et un au sein de la formation de développement (Tyler Saunders). Ces cinq athlètes ont tous été sélectionnés au sein de la première équipe d’étoiles de leur association respective de la NCAA. Voyez comment :

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Comme Ha et Tong ont obtenu leur diplôme et que Hamilton entame sa quatrième année, les vétérans d’Équipe Canada devront passer le flambeau à la génération suivante, dont plusieurs membres entreprendront leur carrière universitaire en 2016 :

Tony Gil (Vaughan, ON – Université de Houston

Trevor Ranton (Waterloo, ON) – Université de l’Indiana

AJ Armstrong (St. Albert, AB) – Université Washington State

Patrick Murphy (Crossfield, AB) – UCLA

Jaclyn Lee (Calgary, AB) – Université Ohio State

Naomi Ko (Victoria, C.-B.) – Université N.C. State

Austin Connelly (double nationalité canadienne et américaine) – Université de l’Arkansas

Équipe Canada vit une période de transition excitante. Conformément au sentier prévu dans le programme, les athlètes grimpent les échelons dans l’espoir de faire partie de l’élite canadienne du golf.

Étienne Papineau (St-Jean-sur-Richelieu, QC) annoncera l’université pour laquelle il évoluera le 1er juillet.

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Étiquette : Laissez la voiturette loin du vert

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Étiquette : Ne vous traînez pas les pieds!

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Municipal Dorval à Ottawa pour « sauver » leur golf

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Pour la deuxième fois en quelques mois, le gouvernement Harper devra composer de nouveau avec la visite du milieu du golf à Ottawa. Après le regroupement des associations nationales qui tentait de faire ajouter le golf aux dépenses déductibles permises aux compagnies, ce sera au tour d’un groupe très tenace de gens s’opposant à la disparation du club Dorval Municipal de se rendre à la colline parlementaire.

Il est question ici des neuf trous de la rue Cardinal. Ceux-ci occupent une partie de l’ancien terrain du club Elm Ridge depuis longtemps déménagé à l’Île-Bizard. De plus, il ne s’agit pas non plus du Golf Dorval, puisque ce dernier a déjà été amputé de 18 de ses 36 trous depuis quelques années.

Ce qui a incité les gens à protester, c’est que les aéroports de Montréal (ADM) veulent ériger sur ce terrain des locaux pour la sécurité.

Même s’il est trop tôt pour lui décerner le prix au club où les membres et leurs résidants voisins montrent le plus grand attachement à leur golf, le Dorval Municipal prend certainement une solide longueur d’avance avec sa façon de réagir dans cette histoire.

Voilà des mois qu’ils font ensemble des actions pour sauver leur golf installé sur un fond de terrain qui appartient à la société de la Couronne.

Grâce à leur travail inlassable, rien de moins que 11 000 signatures ont été obtenues pour faire cesser les opérations entreprises. On tient à protéger cet espace vert en milieu urbain et à profiter de l’activité physique qu’il permet d’y faire à un prix abordable.

Malgré le mécontentement de la population, ADM refuse mordicus de changer ses plans. Le propriétaire d’une maison doit obtenir la permission de la ville pour construire un simple cabanon dans sa cour alors que l’ADM peut faire à sa guise pour des travaux de construction beaucoup plus importants », a déclaré en substance le maire Edgar Rouleau à Kathryn Greenaway, du journal The Gazette.

RENDEZ-VOUS LE 2 JUIN

Le périple à Ottawa en autobus aura lieu le 2 juin. En plus du maire Rouleau, Isabelle Morin, députée locale du NPD, accompagnera Jean-Guy Aubry, président du golf, et Bruce Orr, vice-président, deux personnes très engagées à la survie des neuf trous.

« Le but est de rencontrer la Ministre des transports Lisa Raitt. Il faudra faire vite car juin est la fin de la session », rappelle Madame Morin. Les élections suivront à l’automne avec le résultat que les travaux auraient eu tout le temps de s’amorcer avant la reprise en Chambre des Communes.

Si vous voulez ajouter votre soutien et votre encouragement, vous pouvez envoyer votre témoignage message via golfmunidorval.com.

ALBERT A COMMENCÉ AU GOLF

Le collègue Albert Ladouceur a perdu en fin de semaine à 63 ans son très courageux combat contre le cancer.

Albert a beaucoup été associé au hockey pendant ses quarante ans et plus de carrière, dont la plupart à Québec. Ce que le public sait moins à son sujet est qu’il a été associé au golf. Il faut ajouter la couverture de l’Omnium canadien et des tournois de la LPGA à l’époque où il était jeune journaliste.

Albert a également écrit deux bouquins durant sa maladie. L’un d’eux s’intitule « Raconte-moi les Nordiques ». Il a aussi rédigé une chronique posthume à être publiée après ses obsèques. La boxe a été une autre de ses passions.

Nos pensées les plus sincères accompagnent son épouse.

DANS LA BONNE DIRECTION

Une mention spéciale doit être accordée au Britanno-Colombien Adam Hadwin pour sa cinquième place, dimanche, au Championnat Colonial, grâce à un dernier effort de 66.

On maintient notre prédiction : il y aura au moins une victoire canadienne dans un événement du circuit PGA Tour cette année.

CITATION

« Comme je ne m’entraîne plus, je ne veux pas voler la place d’un jeune qui pourrait devenir le prochain Tom Watson, Jack Nicklaus ou Greg Norman. »

– Greg Norman, qui a choisi de céder sa place garantie à l’Omnium britannique à titre de double champion.

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Le pourcentage des amateurs qui ne frappent pas la balle au centre de la face du bâton, selon le manufacturier TaylorMade.

À SURVEILLER

Le championnat universitaire canadien a lieu cette semaine à Guelph, Ontario, à compter de mardi. Les Carabins et le Rouge et Or sont deux équipes qui ont été couronnés dans le passé.

RETOUR DU PGA TOUR CANADA

Aussi à surveiller – et cela à compter de jeudi – le début d’une autre saison du circuit PGA TOUR Canada, qui aura lieu à Vancouver.

Le Montréalais Beon Yeong Lee et Jean-Philip Cornellier, porte-couleur de Cowansville, sont au club Point Grey pour participer à l’Omnium PC Financial doté de 175 000$.

Blog Règles et situations de jeu

L’évolution des règles

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(Magazine Golf Canada)

La première version connue des règles du golf, Articles and Laws in Playing at Golf, fut écrite en 1744 pour un tournoi qui se tenait au Leith Links en Écosse.  Bien des choses ont changé depuis, mais certains principes de base font toujours partie du golf moderne.  Les 13 règles établies à l’origine tenaient compte de l’ordre de jeu, des éléments étrangers et des pénalités pour une balle perdue, entre autres.  En somme, elles étaient assez semblables à ce qu’on retrouve dans les règles officielles utilisées de nos jours.

Voici quelques exemples du libellé des 13 règles originales (traduction libre) :

  • Si votre balle a été perdue, parce qu’elle a été ramassée ou pour toute autre raison, vous devez retourner à l’endroit où vous l’avez d’abord frappée et laisser tomber une autre balle, concédant ainsi un coup à votre adversaire pour votre malchance.
  • Si une balle est arrêtée par quelque personne, cheval, chien ou autre chose, la balle arrêtée doit être jouée où elle repose.
  • Celui dont la balle est la plus éloignée du trou est obligé de jouer le premier.

Outre ces ressemblances, toutefois, les règles ont beaucoup évolué au fildes siècles, tout comme l’équipement et les parcours. Voici un aperçu des changements les plus significatifs.

Aire de départ

Au début, les joueurs devaient prendre le départ à moins d’une longueur de bâton du dernier trou joué.  Avec l’importance que l’on accorde aujourd’hui au rythme de jeu, imaginez tout le temps perdu à attendre que le groupe précédent ait pris le départ pour le trou suivant avant de pouvoir jouer vers le vert.  D’une longueur de bâton, on est passé à deux, puis à quatre longueurs avant d’établir une aire de départ distincte du vert en 1875.

Définition actuelle dans les Règles du golf : L’aire de départ est l’endroit où débute le trou à jouer.  C’est un espace rectangulaire de deux longueurs de bâton en profondeur dont l’avant et les côtés sont définis par les limites extérieures de deux jalons.  Une balle est en dehors des limites de l’aire de départ lorsqu’elle se retrouve tout entière en dehors de ces limites.

Le terrain et le  vert

Pendant des années, le mot anglais green (vert) désignait le terrain de golf en entier, d’où le terme familier green fee pour les droits de jeu d’une journée.  La notion de vert telle qu’on l’entend aujourd’hui n’est apparue dans les règles qu’en 1812, et c’est en 1815 que ce mot a été défini comme étant toute la surface de jeu située à moins de 15 verges du trou.  Ce « plateau », comme certains l’appelaient parfois, n’était pas aménagé spécialement pour les coups roulés et ressemblait au reste du terrain jusqu’à ce qu’on détermine un endroit distinct réservé au départ.

Définitions actuelles dans les Règles du golf : Le terrain est la totalité de la zone située à l’intérieur des limites établies par le comité. Le vert est toute la surface du trou qu’on est en train de jouer spécialement aménagée pour les coups roulés ou autrement définie comme telle par le comité.

Le « stymie »

Les plus âgés se souviendront probablement de cette situation cocasse qu’on a éliminée dans les règles en 1952.  Auparavant, dans un match simple, un joueur pouvait profiter de la situation lorsque sa balle se retrouvait sur le vert, directement sur la ligne de jeu de son adversaire, créant ainsi un obstacle pour celui qui devait jouer le premier. Avant l’abolition de ce jeu défensif, on a vu certaines variantes où la règle prévoyait que la balle pouvait être levée seulement si elle se trouvait à moins de six pouces de l’autre balle.  Plus tard, on a modifié le texte pour préciser qu’un joueur peut lever sa balle s’il juge que celle-ci peut aider un autre joueur, et aussi qu’un joueur peut faire lever une balle n’importe où sur le parcours si cette balle nuit à son coup.

On n’a plus à vivre cette situation, mais il subsiste encore des traces de la règle initiale dans les parties par trous, où il n’y a pas de pénalité sur le vert si la balle en mouvement d’un joueur frappe la balle de son adversaire. En partie par coups cependant, le joueur encourt une pénalité de deux coups si sa balle en mouvement frappe la balle d’un co-compétiteur lorsque les deux balles sont sur le vert.

Laisser tomber la balle

Il arrive aux meilleurs golfeurs de la planète de laisser tomber la balle incorrectement, ou même d’être confus quant à l’endroit où la laisser tomber.  La première procédure pour laisser tomber une balle est apparue en 1754. Si sa balle s’arrêtait dans un obstacle d’eau, le joueur pouvait la lancer jusqu’à six verges derrière l’obstacle.  En 1858, on a établi un principe, toujours en vigueur, qui permet au joueur de laisser tomber la balle derrière l’obstacle d’eau sur une ligne imaginaire partant du trou.

À ce sujet, l’image la plus souvent présente à notre esprit est cette procédure, introduite en 1908, qui prévoyait que « le joueur devait se tenir bien droit face au trou, puis laisser tomber la balle derrière lui, pardessus son épaule.  » Cette façon de faire a subsisté jusqu’en 1984, alors que la procédure actuelle a été établie.

Définition actuelle dans les Règles du golf : Une balle qui doit être laissée tomber selon les règles doit l’être par le joueur luimême.Il doit se tenir droit, tenir la balle à hauteur d’épaule et à bout de bras et la laisser tomber.

Les règles du golf vont continuer d’évoluer afin de préserver l’esprit et l’intégrité de notre sport.  Les organismes directeurs du golf analysent régulièrement toutes les situations et conditions qui se présentent en cours de jeu.  Le dernier cycle de quatre ans arrive à terme cette année et un nouveau code des règles entrera en vigueur le 1er janvier 2016.


L’évolution des règles

Cet article a été publié dans l’édition d’avril 2015 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche.

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Conseil : Fosse de sable près du vert

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