Inscription aux Séminaires de Niveau 4 sur les règles du golf en 2016
Les séminaires de Niveau 4 sur les règles du golf consistent en une combinaison de théorie en classe et de séances interactives qui permettent de rehausser votre compréhension de l’application pratique lorsque vous agissez comme officiel en tournoi. Pour qu’ils puissent profiter pleinement du curriculum, les participants sont censés avoir une bonne compréhension des règles du golf et ils doivent avoir obtenu la certification de Niveau 3.
Pour savoir si vous pouvez y participer et pour en apprendre davantage sur nos séminaires de Niveau 4 sur les règles du golf, cliquez ici.
L’inscription est maintenant ouverte. Cliquez ici pour vous inscrire.
Séminaires de Niveau 4 sur les règles du golf 2016 :
1er – 3 avril | Winnipeg, MB (Endroit : Niakwa Country Club) |
15-17 avril | Vancouver, BC (Endroit : Point Grey Golf & Country Club) |
15-17 avril | Ottawa, ON (Endroit : ACU) |
22-24 avril | Montréal, QC (en français) – (Endroit : Club de golf Elm Ridge) |
22-24 avril | Moncton, NB (Endroit : Royal Oaks Golf Club) |
Le Niveau 4 est le summum de notre Voie de formation en matière de règles (certification nationale) et nous encourageons toutes les personnes mordues de golf à acquérir un certain degré de connaissance des règles.
Notre Programme de formation en matière de règles est conçu pour quiconque souhaite en apprendre sur les règles du golf, y compris les golfeurs du dimanche, les golfeurs qui participent à des compétitions, les golfeurs professionnels et les officiels des règles. Que vous manifestiez de l’intérêt pour apprendre les bases des règles pour mieux apprécier le jeu ou que vous souhaitiez obtenir la certification nationale, le programme de Golf Canada, qui comporte quatre niveaux, a été créé pour répondre aux objectifs de chacun.
Les associations provinciales présentent les séminaires de Niveau 3 (certification provinciale). Pour des renseignements supplémentaires sur les séminaires de Niveau 3 dans votre région, consultez les liens provinciaux en cliquant ici.
Et si vous souhaitez commencer votre formation sur les règles du golf grâce à notre programme en ligne, cliquez ici.
Cliquez ici pour ouvrir un document intitulé le « Cheminement éducatif en matière de règles » (format PDF).
Le golf québécois perd un ami généreux et précieux
Le golf canadien a perdu un des plus solides compétiteurs de son histoire avec le décès subit la semaine dernière de Dan Halldorson.
Deux victoires à la PGA, deux autres à Coupe du monde dans les années 1980, 413 départs au grand circuit et 28 top dix et cela en presque trente ans sont des statistiques qui ne sont vraiment surpassées dans les annales que par Mike Weir et George Knudson.
Suite à un accident vasculaire cérébral qui n’a laissé aucune chance à ce membre du Panthéon canadien âgé que de 63 ans ce qui s’avère tellement hâtif, le golf au Québec déplore le départ d’un ami généreux et précieux.
Dan Halldorson et Dave Barr ont été des années à prendre une pause de la PGA pour revenir disputer l’Omnium Lactancia à Victoriaville pour un succès qui n’a jamais été égalé au plan de l’affiche.
Une année, Dan, Dave, Jim Nelford, Richard Zokol et Ray Stewart étaient tous là.
Même si le tournoi d’Hartford en même temps pas très loin offrait à l’époque deux millions de dollars et donc vingt fois plus, Dan et Dave revenaient à Victo.
J’ai eu le privilège d’être assez intime pour savoir que ce n’était pour les enveloppes brunes glissées sous la table.
L’entente était tellement simple. Nos deux locomotives du golf ne demandaient à Jean-Marc Fréchette, vice-président du commanditaire Lactantia, qu’un cachet ordinaire qui allait être déduit de leur chèque à la fin de la semaine avec le résultat qu’il n’en coûtait que le billet d’avion et la facture de l’hôtel, la paire finissant toujours parmi les meneurs.
D’ailleurs, Halldorson a gagné une fois en 1980 et a été finaliste une autre année avant que Barr ne l’emporte au huitième trou de prolongation.
Que ce soit à l’Omnium canadien à Glen Abbey, à Doral ou à la classique Honda en Floride, Jean-Marc Fréchette et les autres dirigeants de Victo comme Guy Aubert, Jacques Roux. Michel Hinse et compagnie, c’était no problèmo pour les billets et le… 19e trou.
Une fois, à la PGA, Halldorson, pourtant Manitobain, avait demandé d’être identifié ainsi au tableau principal de la PGA : Dan Halldorson, Victoriaville, QC, Canada.
Quand on dit que Halldorson a été un ami du golf québécois, il a maintenu les liens durant sa deuxième carrière dans le rôle de bras droit à Rick Janes, commissaire du Circuit canadien.
Il était là et revenue souvent pour aider David Skitt et Synchro Sports ont relancé l’Omnium de Montréal.
Jean-Louis Lamarre, Marc Girouard et encore plus Daniel Talbot ont beaucoup joué en compagnie de Dan Halldorson au circuit. Il en va de même pour Mike Weir à ses débuts.
« Bien avant d’atteindre la notoriété au Tournoi des Maîtres, Dan Halldorson était là pour me supporter », a dit Weir.
Bill Paul, qui en a vu des joueurs à l’approche des 40 ans d’association avec l’Omnium canadien, est un autre fort peiné.
« Tu sais, un champion ne se mesura pas uniquement par la quincaillerie (lire les trophées installés au-dessus du foyer du salon), mais par ses actions loin des projecteurs pour aider ses pairs au nom de la promotion de son sport. Voilà pourquoi on perd en Dan Halldorson un très grand champion », estime-il.
Merci Dan pour les moments de générosité et sur l’amitié pendant toutes ces décennies.
B0UCHERVILLE INVESTIT
C’est un budget d’un million de dollars que la direction du club Boucherville investit pour des travaux de modernisation qui s’échelonneront sur une période de trois ans.
Le sixième trou à normale trois sera refait.
C’est l’architecte montréalais Darrell Huxham, qui a signé la conception du club La Tempête entre autres, qui a obtenu le contrat.
PHILIPPE MONGEAU DÉMÉNAGE…
Philippe Mongeau quitte le club Terrebonne, où il était une figure populaire, ayant été recruté par le club Beloeil.
Il y occupera le double rôle de pro et directeur général.
… IANNICK LAMARRE AUSSI
Toujours dans notre section on change d’adresse, Iannick Lamarre, le fils de Jean-Louis, s’installe comme adjoint-pro à la Vallée du Richelieu après Whitlock.
ANDRÉ MALTAIS EN GRANDE COMPAGNIE
Qui ne souhaiterait pas passer du temps avec Marie Laberge, Michel Tremblay, Dominique Demers et Dany Laferrière?
C’était le cas d’André Maltais en fin de semaine dernière au Salon du livre de Montréal. Il était l’invité de son éditeur Québec Amérique pour son livre sur la légende Jules Huot lancé plus tôt cette année.
DOMMAGE QUE LE RIDEAU TOMBE
Les Canadiens ont terminé en force dans les grands circuits avec la 9e place à -10 de David Hearn au tournoi Sea Island, en Géorgie, et le score de 66 de Brittany Henderson lors de la dernière journée pour la 13e place du Championnat du circuit de la LPGA.
Dommage que le calendrier officiel aux circuits de la PGA et la LPGA prenne fin.
UN REVENANT
Mike Weir a effectué un retour en fin de semaine passée au tournoi invitation Taylor Made de Pebble Beach. Il a complété à +2.
Son long arrêt de presque cinq mois a été pour raison personnelle cette fois et non médicale afin de demeurer auprès de ses deux filles suite au divorce de son couple.
NOTE DE 20 SUR 10!
Absolument soufflante la performance de la co-propriétaire du club Le Mirage à qui l’industrie de la musique américaine avait demandé pour ses Awards à la télé d’interpréter le grand classique l’Hymne à l’amour d’Édith Piaf en mémoire aux 130 morts des attentats du 13 novembre à Paris.
Vous aurez deviné que l’on parle de Céline évidemment.
TROU D’UN COUP… JUSTE À TEMPS!
L’ami André Rousseau m’informe que Paul Scofield, un grand passionné de golf, a réussi samedi un trou d’un coup au club Les Légendes.
C’est ce qu’on appelle savoir saisir le bon moment puisque le pro Jean Morin fermait son parcours le lendemain pour la préparation hivernale.
Daniel Mélançon, TVA a aussi fait un as dernièrement… en Arizona toutefois.
À l’an prochain pour nos golfeurs qui rêvent aux USA
Telle est la réalité des golfeurs du Québec qui tentaient cet automne de faire leur place dans les grands circuits sanctionnés par la PGA aux États-Unis.
Très malheureusement, Michel Dagenais a raté ton ticket à la finale chez les Champions de la PGA dans un mois par un seul coup après avoir gardé le meilleur pour la fin à Montgomery, au Texas.
Le représentant du club Champlain, dans l’Outaouais, Dagenais a scellé avec 68 après 71, 76 et 76 pour un cumulatif de +3 dans une conclusion crève-cœur alors qu’il fallait afficher +2 afin de pouvoir poursuivre.
JIM RUTLEDGE DOMINE
À Soboda Springs en Californie, Rémi Bouchard, de Golf Canada et du Mirage, a joué 77, 71, 75 et 75 pour +10, ce qui a excédé la limite par quatre coups.
Mentionnons que le Britanno-Colombien Jim Rutledge a coiffé le classement de la sélection californienne à -13 au cumulatif des quatre jours. Aussi de la Colombie-Britannique, Rick Gibson (total égal à la normale), a également mérité le droit de disputer la finale.
Auteur de cartes de 80, 74, 73 et 76 à Réunion, en Floride, Marc Hurtubise, de Chambly, a complété à plus +15, ce qui est 12 coups de trop.
LA FIN A ÉTÉ DE TROP POUR GILBERT
Au Circuit Web.com, Max Gilbert était en affaires avec une ronde à compléter lors de la deuxième des trois étapes à Beaumont, en Californie.
Le Beauceron, couronné champion de la PGA du Québec à la fin septembre, a dû se contenter de 78 en conclusion après 75, 65 et 73 pour rater la limite par sept coups.
PLACE AUX FILLES AU DÉBUT DU MOIS PROCHAIN
Les seuls espoirs de voir des talents du golf québécois graduer dans les ligues majeures en 2016 reposent désormais sur les filles.
Maude-Aimée LeBlanc, Sara-Maude Juneau et Anne-Catherine Tanguay disputeront la finale des qualifications de la LPGA à Daytona Beach la première semaine de décembre.
Le golf canadien pleure le décès de Dan Halldorson
C’est avec beaucoup de tristesse que Golf Canada, le Temple de la renommée du golf canadien et la communauté golfique dans son ensemble pleure le décès de Daniel (Dan) Albert Halldorson le 18 novembre 2015 à l’âge de 63 ans.
Halldorson a subi un accident vasculaire cérébral lundi le 16 novembre à son domicile de Cambridge, Illinois, et est décédé deux jours plus tard. Il laisse dans le deuil son épouse Patricia, sa fille Angela, son fils Mark et trois petits-enfants, ainsi que d’innombrables amis au sein de la communauté golfique canadienne et internationale.
Né le 2 avril 1951 à Winnipeg, le fils d’Alice et Daniel Halldorson a eu une influence marquante sur le golf, tant sur les parcours que dans le monde du golf en général.
Jeune golfeur, il a été cadet d’un autre membre du Temple de la renommée du golf canadien, le Saskatchewannais Wilf Homenuik avec qui il se liera d’une grande amitié. Halldorson a toujours reconnu que Homenuik avait été l’un de ses mentors au golf.
Devenu professionnel en 1971, il a connu sa première victoire à ce titre la même année en remportant le Championnat de la PGA du Manitoba.
L’un des golfeurs canadiens les plus constants tout au long de sa carrière professionnelle, Halldorson a été membre du Circuit de la PGA de 1975 à 2004, où il a connu des victoires à l’Omnium de Pensacola en 1980 et à la Classique de golf Deposit Guaranty en 1986. Entre autres exploits, il a remporté la Coupe du monde pour le Canada en duo à deux reprises, soit avec Jim Nelford en 1980 et avec Dave Barr en 1985.
Longtemps concurrent et supporter de l’ancien Circuit canadien (aujourd’hui le Circuit Mackenzie – PGA TOUR Canada), il a accumulé sept victoires en carrière sur ce circuit et en fut nommé membre à vie en 2005. Il allait devenir directeur exécutif adjoint du Circuit canadien de 2005 à 2011.
Élu deux fois golfeur professionnel de l’année au Canada par ScoreGolf, en 1981 et 1983, Halldorson était depuis 2013 directeur du golf au club d’Oak Island Resort au Manitoba.
Sa contribution au golf lui a valu son intronisation au Temple de la renommée du golf canadien en 2002, ainsi qu’au Manitoba Golf Hall of Fame en 2003 et au Manitoba Sports Hall of Fame en 2007.
Déclaration de Jeff Monday, président du Mackenzie Tour – PGA TOUR Canada :
« C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Dan Halldorson, un homme dont les accomplissements pour le golf canadien, tant à titre de golfeur que de bâtisseur de ce qui est maintenant le Circuit Mackenzie, font de lui l’un des plus importants contributeurs au golf de l’histoire canadienne. En tant que golfeur, Dan s’est inscrit parmi les meilleurs de sa génération, avec une victoire sur le Circuit de la PGA, sept sur le Circuit Mackenzie et deux en duo pour le Canada à la Coupe du monde. Son apport au golf professionnel canadien va cependant bien au-delà de ses années de jeu, notamment par son implication dans la création, puis dans l’administration du Circuit Mackenzie comme Commissaire adjoint. Nos pensées vont à sa famille en ces moments de peine. »
Déclaration de Scott Simmons, chef de la direction de Golf Canada :
« Au nom de toute la communauté golfique, des golfeurs, des associations et des concurrents dont la vie a été marquée par son passage, nous sommes profondément attristés par le décès de Dan Halldorson. Ses succès sur les parcours de golf et sa contribution au vénérable sport ont été remarquables et, bien que nous pleurions sa perte, son héritage exceptionnel mérite d’être célébré. »
Les accomplissements de Dan Halldorson à titre de golfeur de compétition tant amateur que professionnel sur les scènes provinciale, nationale et internationale comprennent :
- 1970 Champion junior du Manitoba
- 1971 Champion de la PGA du Manitoba
- 1977 Champion de l’Omnium de Saskatchewan
- 1977, 1978, 1983, 1984 Champion de l’Omnium du Manitoba
- 1980 Champion de l’Omnium du Québec
- 1980 Champion de l’Omnium Pensacola (PGA TOUR)
- 1980 Champion de la Coupe du monde (avec Jim Nelford)
- 1983 Gagnant de l’Ordre du mérite du Circuit canadien
- 1985 Champion de la Coupe du monde (avec Dave Barr)
- 1986 Champion de la Classique de golf Deposit Guaranty (PGA TOUR)
- 1982 Champion de l’Omnium Colorado
- 1986 Champion du Championnat de la PGA du Canada
- 28 résultats dans le top-10 à 431 tournois du Circuit PGA TOUR
Un mulligan à la vie et la liberté, SVP
Frayeur et horreur, attaques et carnages de même que terrorisme et actes de guerre sont des mots à peine assez forts pour commenter les attaques immensément malheureuses à Paris vendredi soir qui ont tout bousculé.
Trois équipes de terroristes coordonnées avec armes automatiques et des ceintures explosives ont semé l’effroi et tellement pire encore.
Dix mois après Charlie Hebdo, nous voilà avec 129 morts au plus récent décompte qui se poursuit.
En comparaison avec les tristes événements de New York du 11 septembre, ce n’est pas un symbole des tours qui a été attaqué, mais des endroits où des gens ordinaires qui pourraient aussi bien être nous ou, atrocement pire, nos filles et nos fils, qui ont été les cibles.
Le sport n’est pas à l’écart. Imaginez un instant au Stade de France si les attaquants bourrés de dynamite avaient pénétré à l’intérieur durant le match Allemagne-France réunissant 70 000 spectateurs.
À bien y penser, pourquoi pas un mulligan… pour tout reprendre dans l’harmonie au nom de la vie et de la liberté.
BROOKE EN VOITURE
Brooke Henderson confirme via twitter joindre l’équipe BMW.
Les affaires continuent donc de fonctionner joyeusement pour la jeune phénomène de Smiths Falls, en Ontario.
En plus de sa victoire au tournoi de Seattle à la LPGA, elle a empoché 732 000$ à 18 ans pour un chiffre qui en dit long sur la suite à venir.
Join us in welcoming @BrookeHenderson, Canada’s top ranked female golfer, to #TeamBMW! #PoweringPerformance pic.twitter.com/o2roIkKN7p
— BMW Canada (@bmwcanada) November 13, 2015
LE CHAMPIONNAT CANADIEN SÉNIOR À KANAWAKI EN 2017…
On ne pourra pas accuser les amis de Golf Canada de lésiner. Alors que la saison 2015 s’étire, le comité des tournois est déjà prêt en prévision de… 2017.
C’est ainsi que le club Kanawaki a déjà été choisi pour être l’hôte du Championnat canadien chez les séniors.
Plus encore, les dates du 12 au 15 septembre 2017 pour la présentation apparaissent au calendrier.
DEUX TITRES NATIONAUX AUSSI DISPUTÉS AU QUÉBEC L’ÉTÉ PROCHAIN
En 2016, le Championnat canadien amateur masculin aura lieu du 8 au 11 août au club Royal Ottawa, lequel est situé à… Gatineau.
Voilà une bonne nouvelle pour les golfeurs québécois connaissant le site ayant été plusieurs fois le théâtre du tournoi Alexandre de Tunis à la triple couronne provinciale.
Toujours l’an prochain, Golf Canada a aussi attribué au Québec le Championnat canadien mid-amateur masculin (25 ans et plus) du 23 au 26 août. On vous tiendra évidement informé de la décision du comité actuellement en cours à propos de la sélection d’un terrain.
JOYEUX QUART DE SIÈCLE, MONSIEUR ST-LAURENT
Pour poursuivre dans la colonne des chiffres, mentionnons les 25 ans de Kevin St-Laurent au club St-Pamphile.
Un élève de Dave Ross à l’Estérel, Kevin est le parfait exemple des gens de talent à l’extérieur des grands centres.
Bravo!
TRÈS GROSSE SEMAINE!
Ils seront rien de moins que quinze du Québec aux USA impliqués cette semaine au Championnat Titliest/FootJoy ainsi qu’aux qualifications des circuits des Champions et Web.com.
Une pensée pour Marc-Étienne Bussières, qui a raté vendredi passé la finale du Web.com par un coup avec une fiche de moins deux pour quatre jours.
Tout s’est beaucoup décidé au quatrième trou de la troisième ronde. Son triple bogey (7) l’oblige à patienter une autre année.
Semaine québécoise très occupée aux USA
Dès lundi, ils seront onze du Québec à disputer à Verrado, en Arizona, le championnat Titleist/Footjoy des professionnels de club du Canada.
Il faut rappeler que cette bonne idée d’aller aux USA est celle de Max Oxford afin que les pros puissent rester proches de leurs membres l’été.
Une bourse de 85 000$ sera mise à l’enjeu sur le parcours de 7 200 verges co-signé Tom Lehman et John Fought.
Installé troisième au classement canadien, Dave Lévesque, de la Vallée du Richelieu, s’avère l’inscrit détenant la position la plus reluisante, un rang devant le redoutable Ontarien Danny King.
Ex-titulaire, Ben Boudreau, du Parcours du Cerf, est sur les rangs, de même Jean Laforce (Le Champêtre), Billy Houle (Le Portage) et Éric Laporte (Montcalm).
Il faut ajouter Luc Boisvert, homme-orchestre au Ki-8-Eb, deuxième en compagnie de Louis-Pierre Godin, au Championnat en équipe Nike aux Bermudes il y a deux semaines, et Jean-Sébastien Légaré, pro à l’Atlantide de même qu’expert de l’enseignent au jeu à Golf International et au 19e dans les médias.
TRIO CHEZ LES CHAMPIONS
À compter de mardi, Rémi Bouchard, du Mirage, Michel Dagenais, de Gatineau, et Marc Hurtubise, de Chambly, entreprennent la première des deux étapes de qualification du circuit des Champions d’une durée de 72 trous.
La PGA a déterminé Soboba Springs (Californie), Reunion, (Floride) et Montgomery (Texas) comme sites du test initial.
AU TOUR DE GILBERT
Toujours mardi, Max Gilbert, du club Saint-Georges en Beauce, s’attaquera à la deuxième des trois phases de la série Web.com à Beaumont, en Californie.
ÇA CONTINUE…
Au Québec, des parcours reportent une fois de plus leur fermeture avec raison.
Le temps frisquet n’est que de passage. La météo estime que le thermomètre pourrait remonter à 14 ou 15 Celsius au milieu de la semaine prochaine.
Bon golf donc en conseillant très fortement de téléphoner avant de quitter à savoir qui est ouvert ou fermé, plusieurs clubs fonctionnant au jour le jour.
Jocelyne Bourassa : intronisation doublement mérité au Panthéon des sports canadiens
« Cela me rappelle plein de souvenirs », déclare Jocelyne Bourassa au sujet de son intronisation au Panthéon des sports canadiens, tenue à Toronto le 21 octobre avant sa télédiffusion sur Sportsnet 1 le 2 novembre à 19h.
Dans le cas de la grande dame du golf de Shawinigan, ils sont d’autant plus nombreux les grands moments que, fait rare quand même, elle a mené deux carrières distinctes et autant remplies de succès d’abord comme compétitrice, où elle possède des marques inégalées encore à ce jour, avant que les événements ne l’amènent à devenir directrice-gestionnaire et créatrice ce qui lui vaut en double sa place parmi les légendes.
Sept fois titulaire au Québec et deux autres fois au Canada, Jocelyne a également été couronnée championne d’Écosse et de la Nouvelle-Zélande à l’international à ses années dans les rangs juniors et amateurs.
Elle prendra une considérable décision en 1972. Éducatrice physique de formation, elle renonce à un emploi et à la sécurité pour tenter la grande aventure de la LPGA avec le soutien du mécène Jean-Louis Lévesque.
Il y a d’abord eu le trophée de recrue par excellence au circuit américain suivi de sa spectaculaire victoire devant son monde au club Municipal de Montréal en 1973 à La Canadienne. Aucune autre Canadienne n’a égalé la réalisation depuis voilà 42 ans.
INITIATION MODESTE, MAIS RÉUSSITE GIGANTESQUE
Les temps ont tellement changé. Jocelyne Bourassa n’est certainement pas issue des huppées clubs privés et encore moins des décocheurs à 550$.
« J’ai été initiée dans la cour du chalet familial aux Vieilles-Forges, où mon père Léger m’avait aménagé un mini-golf en enfouissant des boites vides de tomates pour servir de coupes et en accompagnant mon frère Gilles pour lui servir de cadet », dit-elle.
Pour revenir à la carrière comme joueuse, la santé n’a pas aidé.
Une vieille blessure à un genou subie en ski à ses années avec l’équipe de l’université de Montréal n’a jamais guérie, une grande décision s’est imposée.
« Comme je ne voulais pas d’une autre opération au genou, déjà que j’en avais subies trois, j’ai décidé de changer mon élan pour éviter le bistouri », explique-t-elle.
TRANSITION VITE RÉUSSIE
Le plan B n’a pas fonctionné ce qui n’allait surtout pas arrêter Jocelyne ni même la ralentir.
« Jocelyne a été joueuse, entraîneure (à l’université de l’Arizona) et responsable de tournois en même temps », révèle Marlene Stewart Streit pour imager le dynamisme de son ex-rivale.
Directeur-fondateur de La Canadienne, Luc Brien possède un excellent flair. Il recommande en 1979 Jocelyne Bourassa à Imperial pour lui succéder.
Jocelyne se distinguera à la barre pendant plus de vingt ans. En plus de présenter les Nancy Lopez, Annika Sorenstam, Lorena Ochoa et autres étoiles partout au pays, elle va créer une série destinée aux golfeuses canadiennes qui continue toujours de servir de tremplin.
Lorie Kane, Dawn Coe-Jones, Gail Graham et Lisa Walters jusqu’à Brooke Henderson plus récemment sont toutes des graduées de cette formation. Il en va de même avec Debbie Savoy-Morel, première et seule femme au pays professionnelle en titre d’un 36 trous au Mirage.
UNE RÉUSSITE QUI DÉPASSE SON SPORT
L’impact de Jocelyne Bourassa excède largement son sport.
Première francophone à réussir dans le sport, elle a ouvert la voie aux Jacqueline Gareau, nos trois Sylvie (Bernier, Daigle et Fréchette) Nathalie Lambert, Myriam Bédard, Mélanie Turgeon et toutes les autres qui continuent de nous faire honneur aux Olympiques ou aux Championnats du monde.
Toujours impliquée malgré la retraite au pays de Fred Pellerin à Saint-Élie de Caxton où elle est dorénavant installée, Jocelyne Bourassa aurait pu tout aussi bien être intronisée dans la catégorie athlètes.
Le comité du Temple peut se rassurer. Le choix dans le groupe des « bâtisseurs » est tout aussi juste.
« J’ai beaucoup apprécié la compétition, mais je considère que mes années à tenter d’aider (les autres joueuses) demeurent immensément satisfaisantes, cela m’ayant permis de remettre ce que j’ai reçu », conclut-elle.
Merci Madame Bourassa pour vos actions dans le sport et la place faite aux femmes.
La pertinence retrouvée
Vous voulez qu’on parle des trophées célèbres de l’histoire du golf? Ça tombe bien, c’est une de mes spécialités. Vous êtes au bon endroit.
Le Claret Jug? C’est notre aîné à tous. Le R&A le décerne au vainqueur de l’Omnium britannique depuis 1873. Toute une longévité pour un pichet de claret! C’est pourquoi il a tout notre respect.
Tout golfeur d’élite qui se respecte veut son veston vert et le trophée du Tournoi des Maîtres qui l’accompagne. Il est majestueux. On m’a dit qu’il avait fallu 900 pièces d’argent sterling pour fabriquer ce modèle réduit du pavillon de l’Augusta National. Le plus beau trophée de golf, à mon avis.
Le feu s’est vraiment acharné sur mes collègues de Far Hills, au New Jersey. Le premier trophée de l’Omnium des États-Unis et le Havemeyer, décerné au champion amateur des États-Unis, ont tous deux péri dans des incendies, il y a des années de cela. Une tragédie, mais ceux avec lesquels l’USGA les a remplacés ont fière allure.
Ça me fait penser à une anecdote survenue en 1963. Il n’y a pas eu de feu, mais le trophée Wannamaker était devenu si chaud, à rester au soleil sur le terrain du Dallas Athletic Club, que Jack Nicklaus, champion de la PGA cette année-là, avait dû l’envelopper d’une serviette pour le tenir.
Et moi? Eh, bien! Je trône ici, au Musée et Temple de la renommée du golf canadien, depuis très longtemps. Je ne suis pas aussi célèbre que ces autres trophées dont je viens de parler, et bien des gens ne savent même pas que j’existe. La dernière fois qu’on a golfé aux Jeux olympiques, c’était en 1904. Difficile de garder sa pertinence quand on est absent depuis plus d’un siècle.
Mais voilà, avec le retour du golf aux Jeux de Rio l’été prochain, je vis un regain de popularité. Le monde s’intéresse de plus en plus à moi. Idem pour le type qui m’a gagné, George S. Lyon. Golfeur de talent, il a coiffé Chandler Egan pour me remporter ainsi que la médaille d’or sous une pluie battante au Glen Echo Country Club de Saint-Louis, cette année-là. George nous a quittés en 1938, mais depuis que le Comité international olympique a décidé de ramener le golf aux Jeux, son étoile brille à nouveau. Les gens veulent le connaître, savoir qui il était et ce qu’il a fait.
Par exemple, Golf Channel a délégué une équipe de tournage ici, à Oakville, il y a quelques semaines. Ils ont filmé plein de trucs et interviewé la curatrice du Musée, Meggan Gardner, à propos de George et de moi. Une journée épuisante…
Depuis, je suis en tournée. Golf Canada m’a exposé à Glen Abbey durant l’Omnium canadien RBC cet été. Je me suis bien amusé! On m’a même photographié en compagnie de Graeme McDowell et Nick Taylor.
La semaine suivante, l’adjointe au musée Alyssa Reynolds m’a conduit à Akron, en Ohio, pour le WGC Bridgestone Invitational. Ils sont gentils, chez Bridgestone, ils ont payé toutes nos dépenses pendant cinq jours. En échange, j’ai fait plusieurs apparitions publiques. Ils m’ont même fait participer à la conférence de presse « Un an avant le retour du golf aux Olympiques » avec Matt Kuchar, Byeong-Hun An et Henrik Stenson qui ont pris des tas d’égoportraits pour les médias sociaux. Super cool!
Juste après, aux frais de Golf Canada, je me suis envolé vers Vancouver pour l’Omnium féminin Canadien Pacifique. J’ai eu beaucoup de succès auprès de ces dames de la LPGA. Elles voulaient toutes ma photo, mais certaines n’osaient pas me prendre dans leurs bras. Peut-être par superstition, pour ne pas nuire à leurs chances de représenter leur pays aux Jeux de Rio, qui sait?
Et moi, qu’est-ce que l’avenir me réserve? On me dit que je serai très en demande d’ici l’été prochain, alors que le Canada défendra son titre de champion olympique 112 ans après le fait. Une grosse année en perspective, avec de nombreuses apparitions à la télé et des tonnes de questions à propos de George et de sa victoire de 1904.
Suis-je prêt? Absolument. Comme je le disais aux autres trophées ce matin, justement, c’est agréable de retrouver sa pertinence.
La pertinence retrouvée Cet article a été publié dans l’édition de septembre 2015 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche. |
Novembre occupé ici et ailleurs… au golf québécois!
Avec les températures douces de 14, 15 et 16 degrés que prévoit la météo cette semaine, bien sûr qu’il sera très tentant de prétexter un rendez-vous chez le… dentiste afin d’aller frapper la petite balle blanche.
Bien que certains administrations de parcours aient décidé de prolonger les opérations de quelques jours ou jusqu’à ce que la neige arrive pour y rester, vaut mieux téléphoner à l’avance, d’autres ayant maintenu le 1er novembre comme date de fermeture surtout si les travaux préparatoires pour l’hiver n’avaient pas été entrepris.
Voilà!
En souhaitant que Dame Nature garde sa bonne humeur longtemps, l’ensemble de novembre sera occupé ici ou ailleurs au golf québécois côté compétition.
DIRECTION USA
Les jeux sont faits à la PGA américaine, laquelle a déterminé qui jouera où et quand chez les Québécois lors de la deuxième des trois phases de qualifications de sa série Web.com.
La semaine prochaine (10 au 13 novembre), Marc-Étienne Bussières, Beon Yeong Lee et Sonny Michaud seront au Texas à deux endroits différents.
Ce sera Kingwood pour Bussières (club LongChamp) et Lee (St-Raphaël) alors que Michaud (Dallaire) prendra la direction de Brookville.
Quatrième et seul autre survivant de la province, Max Gilbert (St-Georges de Beauce) aura une semaine de plus afin de se préparer.
Il a été assigné à la sélection de Beaumont, en Californie, où le test aura lieu du 17 au 20 novembre.
Toujours en Californie, Rémi Bouchard est engagé aux qualifications au circuit des Champions de la PGA du 18 au 21 novembre dans la région de Palm Springs.
Après le Championnat Nike en équipe aux Bermudes la semaine dernière où Luc Boisvert et Louis-Pierre Godin ont terminé au 2e rang, le championnat Titleist/FootJoy des pros de club de la PGA du Canada se rendra en Arizona au club Verrado, du 16 au 18 novembre avec 85 000$ à l’enjeu.
Yvan Beauchemin (4 fois) de même que Éric Landreville et Ben Boudreau plus récemment y ont été des vainqueurs.
GOLF… EN DÉCEMBRE ASSURÉ
Maude-Aimée LeBlanc, Sara-Maude Juneau et la recrue Anne-Catherine Tanguay ont déjà leur place garantie à sa sélection finale de la LPGA.
Les dates de cette phase ultime sont celles du 30 novembre au 6 décembre à Daytona Beach.
Le Web.com et les Champions tiendront leur décisive qualification la même semaine à West Palm Beach, en Floride et Scottsdale, en Arizona.
Quant au golf au Québec, l’International 2000 a déjà reçu des golfeurs sur son parcours jusqu’aux Fêtes avec l’absence de neige même aussi tardivement. Tourtière et dinde étaient au menu du 19e trou!
BON 80e, MONSIEUR PLAYER
Même à 80 ans qu’il a célébrés dimanche, Gary Player ne change pas ou si peu.
«J’ai joué au golf tous les jours cette année et pas une fois au-delà de 80», de déclarer le premier véritable champion international avec 167 victoires sur la planète, dont neuf au Grand Chelem pour un total qui n’est surpassé que par Jack Nicklaus et Tiger Woods dans l’ère moderne.
L’octogénaire déclare faire quotidiennement 1300 redressements, mais il faut savoir que le taquin n’a jamais eu peur d’exagérer!
La légende était un ami personnel du mécène Jean-Louis Lévesque, les deux partageant la même passion pour les chevaux!
Il est toujours actif. De fait, il a fait le voyage Floride-Asie le jour de sa fête pour honorer un contrat ce qui explique que la fête avec famille et amis dans son Afrique du Sud natale a été décalée d’une semaine.
Gary Player, qui est aussi grand-père à 22 reprises, agira dans le rôle de capitaine de l’équipe sud-africaine aux Olympiques de Rio l’été prochain, refuse de s’arrêter et même ralentir.
«Prendre sa retraite est comme signer mon arrêt de mort!», affirme-t-il au Daily Mail pour montrer qu’il ne cessera jamais de tout grossir.
CLAUDE LANGLOIS RENTRE AU BERÇAIL
Depuis cette semaine, Claude Langlois est le nouveau directif général au club Montmorency.
Il a quitté après plus de quinze ans la barre du club Heriot, où il a été un élément clé dans les améliorations en plus d’y être une figure populaire.
Pourquoi Claude Langlois alors a-t-il fait le choix de déménager alors qu’on insiste qu’il était parfaitement heureux au club drummondvillois?
«Je suis de Québec où j’ai toujours de la famille», est l’explication donnée à Jonathan Habashi, de l’Express.
Claude Langlois avait auparavant vécu l’expérience du golf en France.
OFFRES D’EMPOI
Dévoué homme orchestre de l’Association provinciale, Michel Lafrenière informe que les clubs Alpin, Beloeil et Canton doivent combler le poste de gestionnaire.
ÉCHOS DE LA PGA…
Voilà que Steve Williams lance un livre dans lequel il continue de régler ses comptes avec Tiger Woods. Il faudrait bien que quelqu’un dise au robuste cadet que le golf est depuis longtemps passé à un autre sujet… En passant, qui aurait pensé que le Tiger se retrouverait 362e mondial, ce qui est la réalité cette semaine?… Le Britanno-Colombien Nick Taylor est le champion défendant au tournoi Sanderson Farms à la PGA cette semaine. C’est à Jackson, Mississippi!… Au nombre des inscrits chez les Canadiens, Graham DeLaet a joint le club des futurs papas au circuit.
FRANCIS ARMSTRONG N’EST PLUS
C’est avec consternation que nous apprenons le décès de Francis Armstrong, ex-président du club Pinegrove, après un très long mais digne combat contre le cancer.
Avant de diriger, il avait siégé au conseil pendant les années de transition qui ont assuré la relance de Pinegrove avec le succès que l’on sait.
Nos pensées vont à sa conjointe Hélène qui aura été là au golf comme dans la maladie.
Ancrage interdit
On a beaucoup discuté, ces dernières années, de la règle destinée à interdire l’ancrage du bâton pour effectuer un coup roulé. Adoptée en 2013, cette règle entrera en vigueur prochainement.
Quelles sont la signification et la portée de cette règle?
Devant l’usage de plus en plus répandu d’une méthode d’ancrage pour effectuer un coup roulé, tant chez les amateurs que chez les professionnels, les instances régissant le golf en sont venues à la conclusion qu’il importait de préserver les défis fondamentaux que pose le golf. Les principes mêmes à la base des règles du golf, plus précisément la règle 14, exigent que la balle soit frappée franchement. Le joueur doit effectuer un élan libre avec les mains pour frapper la balle. Par conséquent, toute technique permettant au joueur de lier physiquement le bâton à son corps a pour effet de procurer un avantage indu en matière de support et de stabilité.
La formulation de la règle interdisant l’ancrage du bâton et le calendrier de sa mise en application ont fait l’objet de sérieuses réflexions. Une consultation sans précédent de 90 jours a permis de recueillir les commentaires de toutes les parties intéressées au sujet de la nouvelle règle 14-1b proposée.
C’est ainsi que le 20 mai 2013 était annoncée l’approbation finale de la règle 14-1b. Les parties se sont entendues sur une période de transition suffisamment longue pour permettre à tous les golfeurs et compétiteurs d’adapter leur technique de coup roulé aux exigences de la nouvelle règle.
La règle 14-1b entrera en vigueur le 1er janvier 2016 avec la publication du nouveau code des Règles du golf qui paraît tous les quatre ans.
La règle 14-1 actuelle des Règles du golf sera désormais renumérotée 14-1a pour permettre l’ajout de la nouvelle règle 14-1b, qui se lira comme suit :
14-1b Ancrage du bâton
Dans l’exécution d’un coup, le joueur ne doit pas ancrer le bâton contre son corps, que ce soit « directement » ou en créant « un point d’ancrage ».
Note 1 : Le bâton est considéré comme « ancré directement » lorsque le joueur place intentionnellement une partie du bâton ou la main qui tient la prise en contact avec toute partie du corps, sauf que le joueur peut tenir le bâton ou la prise contre l’autre main ou contre l’avant-bras.
Note 2 : Un « point d’ancrage » existe lorsque le joueur place intentionnellement l’avant-bras en contact avec toute partie du corps pour que la main qui tient la prise agisse comme point d’appui stable autour duquel l’autre main peut effectuer l’élan.
Le point d’ancrage :
L’emploi du terme « point d’ancrage » dans cette règle a pour but d’empêcher le joueur d’utiliser son avant-bras pour produire le même effet que si sa main ou son bâton était appuyé contre son corps. Le fait de tenir l’avant-bras contre le corps stabilise la prise sur le manche (point fixe) et permet aux mains de travailler indépendamment l’une de l’autre.
Note importante :
- La règle 14-1b ne concerne pas l’équipement. Les fers droits allongés ou à long manche sont toujours permis, en autant qu’ils soient conformes aux règles et ne soient pas ancrés pour effectuer le coup.
Pour de plus amples détails concernant la règle 14-1b, voir golfcanada.ca/regles-du-golf
Ancrage interdit Cet article a été publié dans l’édition de septembre 2015 du magazine Golf Canada. Pour lire l’article dans le format original, cliquez sur l’image à la gauche. |